Couv. The Economist 2025 /// Maintenant que le décor est planté, on sait que l'image cache des choses, autant qu’elle en montre ; il va falloir lui accorder l’intérêt qu’elle mérite ! Êtes vous ok ?
Un cœur ouvert vous parle …
La couverture de « The Economist 2024 » en quelques mots … ci dessus.
La nouvelle édition « World Ahead 2025 » du magazine The Economist, cette année plus que les précédentes, ne se regarde pas comme un rébus qui serait un ensemble de codes à décrypter un par un, puis entre eux, pour trouver une logique, mais comme une séance d'hypnose à laquelle il ne faut pas succomber !
Il faut néanmoins laisser la curiosité s'aiguiser en regardant les détails qui sautent aux yeux... dont la présence de certains visages connus et l'absence, factice, d'autres qui semblent pourtant importants.
Ainsi, Emmanuel Macron et Benjamin Netanyahu ne sont pas sur l'image, ni la notion des BRICS et encore moins la conquête de l'espace version Elon Musk ou Jeff Bezos, qui pourtant, que ce soit pour SpaceX ou pour les BRICS, défrayent largement la chronique des amateurs de la mort du dollar ou de voyages dans le futur, ce rêve d'Icare 2.0 qui a laissé croire à tant de monde qu'Neil Armstrong et d'autres avaient posé le pied sur la lune (ce qui est faux, selon certaines théories du complot...).
Même la seringue n'a rien à voir avec le Covid ; elle fait davantage penser au malade imaginaire qu'au maléfique Fauci et autres malandrins de chez Pfizer ou Moderna (j'ai pris des mots qui commencent par « mal… » volontairement).
Saturne est là, bien visible, presque triomphale au sommet de ce disque, qui ressemble à une scie circulaire (plus qu'à un rouage), alors que Jane Austen fait grise mine, reléguée en bas de l'image, écrasée par le poids du reste. Orgueil et Préjugés (dans ce livre, je pense que l'auteur, à travers ses personnages caricaturaux, dresse la satire d'une société hypocrite où le rang, la richesse, l'apparence ont plus d'importance que les vraies valeurs morales, ce qui est bien pire aujourd’hui, plus que jamais ?) aux oubliettes, avec un Trump, fier, au centre de l'image, qui peut réserver le pire comme le meilleur ; il est aussi au cœur de la cible (car ce disque peut faire penser aux cibles à fléchettes des pubs anglais) ?
Maintenant que le décor est planté... on sait que l'image cache des choses, autant qu’elle en montre ; il va falloir lui accorder l’intérêt qu’elle mérite !
Un premier détail m’a troublé... car la mémoire de la couverture 2024 était fraîche et avait démontré plus que de l’à-propos... a priori et a posteriori, dont l’élection de Trump (et son attentat ?) et celle de Claudia Sheinbaum (première présidente de confession juive du Mexique, en guerre contre l’Église catholique dont les fidèles représentent l’immense majorité du pays).
La couverture 2024 annonçait, selon The Economist, l’avènement aux quatre coins du monde du sionisme, avec l’omniprésence de l’étoile de David. L’élection de Javier Milei en Argentine l’a confirmé, celle de Keir Starmer au Royaume-Uni (dont la femme a expliqué, dès l’élection de son mari au 10 Downing Street, que chaque vendredi on y ferait Shabbat ; la pauvre Élisabeth II a dû se retourner dans sa tombe, mais pas Charles III ?) a planté le couvercle du cercueil de la diversité sur cette question en Angleterre (avec l’élection de Starmer, Jeremy Corbyn et d’autres supporters de la cause palestinienne ont été balayés du Parlement anglais) et idem on a observé le soutien massif des médias et réseaux sociaux, vis-à-vis d’Israël, malgré le génocide à Gaza. Quand les réseaux sociaux n’agissait pas proactivement sur cette questions, des dispositifs légaux étaient votés puis imposés (menaces contre X par le commissaire de l’UE sur ces questions ; garde à vue du fondateur et patron de Telegram Pavel Durov ; refus de Rumble d’exercer en France en raison de la censure et des doubles standards …).
Tout cela a confirmé la force de cette religion à imposer son narratif et à essaimer aux sommets de tous les pouvoirs du monde contemporain, malgré son caractère infiniment minoritaire et sa réputation à travers les âges, qui a rarement été flatteuse. Être fort aux États-Unis et en France semble suffire pour essaimer ailleurs. Ainsi, aux États-Unis, grâce à l’AIPAC et de nombreux « philanthropes », Israël a conquis les esprits et les cœurs, mais aussi le Sénat et le Congrès, ainsi que le Nasdaq et le Dow Jones, sans parler des couloirs de la Maison-Blanche, peu importe l’administration au pouvoir ; ceux qui n’étaient pas « conquis » n’avaient de toute façon pas d’avenir. Depuis plus d’un siècle, chaque génération l’a intégré mieux que la précédente. De même, et peut-être même plus encore en France, où la liberté d’expression n’existe plus sur ce sujet, qui pourtant mériterait qu’on s’y intéresse. Comment justifier la puissance quasi sans partage dont bénéficient Israël et ses partisans, y compris pendant longtemps en Russie, si on ne peut jamais en parler? À un moment, avec ce qui se passe au Proche-Orient, cela devient INTENABLE ET INACCEPTABLE pour ceux qui sont encore humains.
J’y reviendrai et j’en parle « bravement », comme d’autres, même si nos proches nous le déconseillent. En effet, pour de simples tweets, certainement excessifs et donc condamnables, mais peut-être excusables au vu de l’actualité et du profil de la plaignante, une jeune mère de famille de 34 ans, assistante médicale sans casier judiciaire, a été condamnée à Nice à 3 ans de prison, pour la publication de quelques messages « interdits » ! Il faut dire que les actes de Netanyahu et de ses pairs, sur le terrain de Gaza, au Liban, en Syrie et en Cisjordanie, lui valent les honneurs des palais de la République Française et de nos plus grandes chaînes de TV, sans mots qui fâchent, au contraire ; sauf pour le théâtre, lorsque cela s’y prête pour chacun.
Alors qui osera parler, questionner ou fustiger ce régime génocidaire, après cela ? Quel sujet que celui de l’attitude d’Israël dans la région et de son poids dans les déséquilibres mondiaux, incluant l'influence sur les questions de vaccination, la censure, l’IVG, le wokisme, le LGBT+, et que sais-je encore ! Bref, autant de sujets dangereux à traiter, qui semblent pourtant importants et à ne pas sous-estimer pour la paix dans le monde et le destin de l'humanité. Il faut refuser la compromission et les doubles standards.
Revenons à cette couverture et à la précédente.
Outre que l’on est passé d’une image aseptisée et millimétrée à une image presque brouillonne, pour ne pas dire baveuse, comme si elle avait été imprimée avec de vieilles rotatives d’avant-guerre, et conçue par des affichistes de la révolution bolchevique, il est clair que cette image n’a pas été faite dans l’urgence : l’aspect bâclé est voulu ! Bizarre le côté révolution russe de l’ambiance ? Pas tellement quand on sait qui a financé cette révolution, qui visait essentiellement à assassiner les derniers membres de la dynastie Romanov, puis à démembrer le pays « sainte Russie », en alimentant ici et là, dans l’immense territoire, des révolutions de couleur (que se passe-t-il en ce moment en Géorgie ? En Arménie ? Et avant en Tchétchénie et en Ukraine, et où après ?).
À nouveau, c’est un autre sujet, qui reviendra dans mes lettres sur Substack, mais pour lequel la littérature sérieuse ne manque pas.
Quoi qu’il en soit, en 2024... on était proche de la fin du sablier, ce qui n’était pas vraiment rassurant. Mais finalement, c’était le sablier des élections et donc il fallait en conclure qu’on allait assister aux dernières ? En 2025, un nouveau sablier commence… un nouveau chapitre, où la tyrannie ne s’encombrera plus de la mascarade des scrutins populaires ? C’est ce que je pense qu’il fallait lire en 2024. Alors que lire en 2025 ? En effet, le sablier à l’apparence bien plus ancienne a été retourné ; il est plein. Il commence juste à se vider, comme si nous étions repartis pour un tour ? Mais pas d’élections cette fois… juste des crises et des guerres, des pénuries, des murs et des grillages… et un monde qui se radicalise.
Ainsi, ce sont les détails qui comptent, c’est là que se cache le diable.
En 2024, le sable était blanc, comme la fumée blanche d’élections (celle du pape, par exemple).
En 2025, le sable est noir, ce qui peut faire penser à la fumée noire des bombes et de la guerre. Bref… la victoire se fera par les armes ; fini les élections : on revient à visage découvert à la loi du plus fort ?
Car ce n’est pas un hasard si ce sable passe de blanc à noir… D’ailleurs, d’autres choses ont connu le même « remplacement » en négatif ; beaucoup de ce qui était blanc est passé au noir, y compris les continents sur le globe terrestre !!!
Alors comment ne pas penser à la chute de la natalité, surtout parmi les populations occidentales qui sont remplacées, y compris dans les contrées, par des flux de nouveaux venus, surtout du Sud. Ces derniers prennent la place où se mélangent, puis prennent la place, comme si les génotypes devaient disparaître pour n’en laisser qu’un… sans plus de réelle diversité ?
Autre « détail », en 2024, au centre de l’image, il y avait une urne qui se remplissait de bulletins de vote. Puis cette année, l’urne est toute fêlée et excentrée. Cela corrobore ce qui précède et semble indiquer que les peuples ne seront plus consultés, que voter sera un souvenir faussement nostalgique du passé, dont le seul intérêt était d’user et d’abuser de la violence légitime confiée par le peuple à une oligarchie indigne, qui en a abusé sur ce même peuple… réduit au fil du temps en pire que des esclaves, sauf peut-être dans de rares pays, dont les USA, la Chine et la Russie, mais peut-être aussi l’Iran ? Je m’égare ?
Pour analyser ce genre d’image,
Il faut surtout laisser parler son intuition…
Et ensuite, lorsque l’on liste tout ce que l’on ressent, alors peut commencer l’analyse ; sinon, cela reste superficiel et on regarde la couverture comme un divertissement pour singe savant ou Intelligence Artificielle en quête d’exercices. Cette couverture doit être « appréciée » comme un message, diabolique ou divin. Ici, vous le savez, c’est un aveu d’adorateurs du diable, qui s’adressent au Monde avec ce qui n’est sinon qu’une feuille de chou comme une autre. Ces gens diaboliques s’amusent de nous depuis si longtemps, car ils disent tout, mais on a appris à refuser de les croire. C’est un comble de refuser de voir le diable, surtout quand il s’affiche sous nos yeux et nous laisse voir presque tous ses crimes.
D’habitude, ou plutôt jusqu’à l’image de 2025, ce que l’auteur (et ses commanditaires) de l’image a voulu exprimer, de façon synthétique sur une seule feuille, se lit de façon assez classique, même si beaucoup de détails restent incompréhensibles, car ils nous projettent dans un futur par définition incertain et inconnu. Cette année, c’est différent ; il y a la révélation de ce qui était jusqu’ici invisible pour des yeux non initiés. Mais même partiellement dévoilé, cela reste largement imperceptible, presque plus d’ailleurs.
C’est pourquoi on parle de ces couvertures comme d’un véritable travail d’orfèvre, attendu chaque année, qui impressionne et fait couler beaucoup d’encre à sa sortie, mais aussi pendant de nombreuses années. Souvent, les images ne se comprennent que longtemps après, comme le « pangolin » (après nous avoir forcé à croire à cette piste… on sait que c’était une diversion, pour qui et pour quoi ; en tout cas, ce Pangolin-là, sur cette couverture-là, début 2019, c’était diabolique). Que dire alors du face-à-face si incongru entre Netanyahu et un « courageux soldat / méchant terroriste » du Hamas, qui se battent chacun aux commandes de leur deltaplane ! Inutile d’imaginer la surprise d’une telle image, après celles tout aussi improbables du 7 octobre, avec des deltaplanes du Hamas (leur fameuse armée de l’air) qui survolent les murs de Gaza pour atterrir aux abords d’une rave party bondée de jeunes gens, désarmés et inconscients du danger d’un tel événement, la veille de Kippour, et alors que le régime de Netanyahu ne cessait de recevoir des alertes au sujet d’un événement majeur en préparation au Nord de Gaza. De là à imaginer que la rave devait avoir lieu ce soir-là, à cet endroit-là, comme par hasard, il faut demander aux équipes de The Economist, qui ont fait cette couverture il y a presque 10 ans.
Bref, voilà deux exemples parmi des centaines d’autres, qui expliquent le réel intérêt de collecter les couvertures et d’essayer d’en saisir l’essence pour essayer… d’inverser ce qui ne fait pas sens, ou bon sens.
Cette année, le sens est lugubre, et celui qui tire les ficelles a un sourire diabolique, donc méfiance ! En effet, sous les images, on distingue un nez et une bouche… mais aussi deux yeux plus facilement visibles car ils encadrent Trump, et l’un d’eux est particulièrement menaçant (en 2024, l’œil était chargé par des câbles… en 2025, il est devenu aussi dangereux qu’une bombe nucléaire).

Il convient d’insister sur le fait que ce magazine n’est pas n’importe lequel. The Economist appartient pour 43,4 % à la famille italienne Agnelli ; le reste du capital étant réparti entre de grandes familles britanniques (Cadbury, Rothschild, Schroders…) et des membres de la rédaction. Le magazine est basé à Londres… pas loin de la City… qui est un endroit entouré de dragons depuis plus de 1000 ans, et qui a été largement investi pas des lignées Khazars depuis sa création. Que dire de ce magazine que se partagent tellement de riches et de puissants ? Ce n’est pas le sujet de cette lettre mais l’évoquer aide à saisir l’importance de comprendre ce qu’ils nous annoncent, et ensuite comment s’en libérer autrement que comme une autruche !
Pendant des années, je regardais cela avec une forme d’amusement ; plus depuis que j’ai fait l’analyse du portrait officiel de Macron.
Cette image est construite comme le portrait officiel de Macron. Tout est montré, et plus que l’on imagine. Pourtant, comme par un tour de magie, on regarde ailleurs ; on attache de l’importance aux évidences qui n’en sont pas.
Chaque composante de l’image semble là pour vous détourner de l’essentiel. Ils nous laissent tout voir, mais savent que l’on ne regardera pas tout, et surtout pas ce qu’ils s’amusent à nous dévoiler de diabolique, pour que notre consentement soit valable.
Ainsi, l’essentiel reste toujours visible, à peine dissimulé par les prédicateurs… mais en réalité, leurs aveux les plus sombres sont rendus invisibles ou incroyables au milieu de tous les divertissements dont ils nous inondent car nous en sommes friands et ils le savent !
Remarquez simplement que :
- La ville est sans vie ni lumière,
- La voiture « électrique », est un vieux modèle, immobile,
- L’usine, également bien désuète, est sans fumée, donc sans activité,
- Les microprocesseurs semblent sortis du garage de Steve Jobs ou de celui de Paul Allen !
- Et des murs, ainsi que des clôtures de fer qui entourent tout… font penser à la chanson de Pink Floyd The Wall (dont s’inspire cette couverture ?)
- Et il y a aussi des lignes de codes binaires (des 0 et des 1)… alors que nous sommes à l’époque de l’informatique quantique.
Ils semblent nous dire que nous sommes à la veille d’un retour vers le passé, alors qu’ils nous parlent du futur… c’est bien possible, puisque le nucléaire est omniprésent. Une guerre de ce type ramènera les survivants à l’époque des cavernes ?
L’humanité est réduite à un poing levé… un poing rouge… et que dit le tract ou l’extrait de livre dont les mots isolés ne font pour le moment pas de sens pour moi ?

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