Le cash numérique = euro numérique. L’ode d’Aurore Lalucq à l’euro numérique.

 

Si on n’est pas d’accord avec l’euro numérique appelé désormais « cash numérique » en terme d’élément de langage pour le rendre plus acceptable dans l’esprit des gens, soit l’on est un faiseur de « fake news », soit, bien évidemment et c’est pire, on est d’extrême droite. Madame Lalucq le dit ici en clair et en toutes lettres. Alors après une telle sortie, si vous êtes normalement constitué, vous vous dites qu’exprimer un désaccord sur cet euro numérique ou pointer du doigt ses dangers potentiels ou ses dérives possibles, c’est faire de vous un facho.

Vous voyez bien l’objectif d’une telle sémantique de la part des gens du camps du bien.

Euthanasier toutes possibilités de débat.

Empêcher de dire, de critiquer ou d’interroger.

Poser une question devient fasciste. Réfléchir devient fasciste.

Vous imaginez bien que nous n’allons pas nous laisser impressionner par une telle dialectique et nous allons réfléchir à partir de ce que dit cette dame elle-même.

Je vous invite à écouter ses explications sur le cash numérique.

Que nous dit-elle ? Elle parle comme tous ceux qui veulent notre bien malgré nous; de justice sociale, des plus pauvres, de la fracture numérique et des pauvres bougres qui n’ont plus assez de distributeurs de billets dans les campagnes pour mieux payer en euro digital… sur Internet !

Absurde raisonnement.

Enfin, et pour faire court, nous payons tous très bien et très facilement via nos cartes bleues en euros digitalisés et dématérialisés pour faire nos achats en ligne.

Nous n’avons pas attendu le « cash numérique » de Madame Lalucq (et de Christine Lagarde) pour payer en ligne sur Amazon !

L’euro numérique est donc, n’en déplaise à Madame Lalucq, une solution qui cherche encore et toujours son problème.

Ceux qui veulent en savoir plus sur le dessous des cartes et ce qui est en train de se jouer concernant l’euro numérique peuvent lire le dossier spécial du mois d’octobre disponible dans vos espaces lecteurs pour les abonnés à la lettre STRATEGIES. Pour ceux qui veulent s’abonner tous les renseignements se trouvent ici.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT