Ave Maria - G.Caccini

Quand l’insécurité détruit des entreprises et des emplois…

 

Voici un exemple très concret de ce qu’implique la petite délinquance.

Ici pas d’enlèvement crapuleux pour une rançons en Bitcoin.

Ici, pas de prise d’otage spectaculaire.

C’est nettement plus modeste.

C’est une histoire de racaille (dont on se fiche bien de la palette de couleur ou d’origine) et de sales gosses mal dégrossis qui descendent dans une base nautique et cassent tout, détruisent tout, frappent tout le monde à commencer par le personnel. Là où on pouvait avoir des « activités » il n’y a que des entreprises qui ferment et font faillite.

Une entreprise ne peut pas être rentable si elle doit avoir une armée de vigiles et de gros bras qui n’ont pas franchement le droit en plus de frapper les clients… même si ce sont des sales gosses.

Alors l’entreprise ferme.

Elle licencie ses trois salariés.

Ce que vous voyez là n’est que le début de l’effondrement économique sous la délinquance et le comportement délirant de sauvageons que rien ne peut plus arrêter et qui ne cesseront leurs exactions que lorsque tout aura fait faillite faute de cible ou lorsque l’Etat acceptera qu’il faut être doux avec les gentils et terrifiant avec les méchants.

Pour le moment c’est l’inverse. Fort avec les faibles et si faible avec les violents.

Nous nous effondrons sous la mollesse, le manque de justesse, la démagogie et l’absence de bon sens.

Un vilain est un vilain. Il n’y a pas à chercher plus loin. Il n’y a aucune excuse.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

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