Il n’y a pas à dire, nous avons quand même une flèche au Palais.
Le Mozart de la finance c’est un peu court compte tenu du génie massif de notre professeur Trouposol. Un être si exceptionnel, à l’intelligence si lumineuse, qu’il vient de comprendre qu’il fallait remettre de la liberté.
De la liberté d’entreprendre, de la liberté de créer, de la liberté d’innover, de la liberté fiscale, de la liberté normative avec moins de règles, lois et formulaires… bref, la France a un immense besoin de liberté à commencer par la liberté de parole, celle de dire, celle de poser les mots sur nos maux même si cela déplait ou choque.
Mais rassurez-vous.
Quand notre lumière élyséenne parle de liberté, ce n’est jamais pour vous. Ce n’est jamais de la vôtre.
Non.
Celle-là il la réduit.
Il la détricote.
Il l’amenuise.
Il veut nous contrôler, nous commander, nous diriger en tous les aspects de nos vies.
Quand il parle de la liberté c’est celle du commerce international, lui le mondialiste.
Un commerce international qui signifie mondialisation.
Une mondialisation qui détruit l’environnement et la planète par la surconsommation de matières et de transports et qui détruit l’économie de notre pays jadis si prospère.
Il n’y aura rien à retenir de l’action publique et politique de Macron et de sa macronie destructrice y compris pour la liberté.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
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