La voiture électrique actuelle est une ânerie sans grand intérêt si ce n’est en zone rurale paradoxalement puisque cela permet de se déplacer sans faire le plein au quotidien et c’est en zone rurale que l’on roule le plus, bien plus qu’en ville en réalité.
Pour le reste partir en voyage avec une voiture électrique c’est l’angoisse. Il faut des « applicachions » partout et scanner des Cul-R-Code en espérant qu’ils ne soient pas faux et ne vous renvoient pas vers des sites pirates qui vous volent vos coordonnées bancaires.
Tout cela finira par s’harmoniser et fonctionnera mieux, mais comme tout secteur naissant, les premières années sont toujours anarchiques en attendant la période de « maturité ».
Je vous laisse regarder donc ce reportage du Figaro.
Pour ceux qui veulent aller plus loin, le bilan carbone d’une voiture électrique ne serait pas forcément meilleur que le bilan carbone d’un véhicule avec un petit moteur thermique sur l’ensemble du cycle. Et c’est ici sans compter sur l’empreinte écologique totale car la pollution pour extraire tout ce qu’il faut pour les voitures électriques est bien plus importante que ce qu’il faut pour une voiture thermique.
Le CO2 n’est pas toute la pollution.
Le CO2 n’est qu’un des multiples éléments de la pollution, un paramètre parmi tant d’autres.
Aucun système complexe ne peut se réduire à un seul paramètre.
Aucun.
Sinon, ceux qui en ont assez des « applications » que j’appelle les « Applicachions » peuvent lire l’article ci-dessous.
Charles SANNAT
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire