Ave Maria - G.Caccini

Macron veut acheter une Aston Martin, les ZFE c’est pour nous les gueux.

 

Notre bon Président qui veut à la guerre envoyer se faire tuer nos enfants,

Lui qui n’en a pas, nous fait un caprice où ressortent tous ses vices.

Il nous demande à nous tous les prolos de prendre notre vélo car,

Les ZFE pour nous les gueux.

Le bilan carbone uniquement pour nous les manants.

Le réchauffement climatique ? C’est que pour nous que c’est problématique !

Face à la menace russe Macron sollicite notre force d’âme et nous prend pour des ânes.

Va à la guerre, défends la nation et fais saigner nos gosses sur l’autel de ses ambitions.


Lui veut acheter la voiture de James Bond, une voiture avec un 12 cylindres de 548 chevaux qui biberonne tout de même 14 litres aux 100… et encore sans taquiner la pédale. Je parle bien évidemment de l’accélérateur.

Je ne critique aucun de mes concitoyens qui aurait envie de se faire plaisir avec l’une des voitures les plus puissantes et les plus polluantes de la terre.

Je critique sans hésiter une seule seconde celui qui me dit comment je dois vivre et prendre soin de la planète en faisant l’inverse.

Je critique et dénonce les donneurs de leçons.

Etre président dans ce cas est une circonstance aggravante.

On ne peut demander des efforts aux gueux et vivre de manière inverse et opposée à ce que l’on impose au peuple.

C’est un comportement totalement indigne de la fonction.

C’est un comportement minable.

Une incapacité à se contraindre.

La véritable force morale n’est pas de faire la leçon aux autres. La véritable force morale c’est de pouvoir s’acheter une Aston Martin et de ne pas le faire.

La véritable force morale c’est de pouvoir s’acheter une Aston Martin, d’avoir envie d’une Aston Martin mais d’avoir la force de se la refuser volontairement. Consciemment.

Cela me fait penser à la publicité Renault…

Il va falloir renoncer à l’Aston Martin et lui préférer une petite Clio, de préférence électrique, hors de prix et sans autonomie, et usante à l’usage comme ce qu’il nous impose.

Car si la Clio avait tout d’une grande, notre président, lui, a tout d’un petit.

Le socialisme macronien consistant à faire la générosité aux uns en prenant l’argent aux autres pour acheter une paix sociale de plus en plus coûteuse est une chose.

Les tentations de faire sa guerre avec les enfants des autres en est une autre.

Cette dernière est impardonnable. Inexcusable.

Charles SANNAT

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