Encore une fois, aimer Trump ou détester Trump n’est pas une analyse mais de l’émotion.
Si vous voulez comprendre la victoire du Républicain présenté sous nos latitudes comme le mal absolu, ce qui ne semble pas partagé par les Américains, peut-être faut-il chercher du côté de ce type de mesures.
Imaginez un pays où votre crédit via vos cartes bancaires vous coûte 25 % de taux d’intérêt chaque année, ce qui est ruineux pour les finances de votre famille et qu’un candidat propose de baisser le taux d’usure sur ce type de crédit de 25 % à 10 % ?
Que penseriez-vous pour votre porte-monnaie ?
Pour qui voteriez vous si chaque année ces intérêts vous coûtent des milliards et permettent justement des milliards de “surprofits” pour les banques ?
Les banques achètent l’argent à 4.50 %… en prêtant à 10 % elles gagnent déjà beaucoup d’argent.
Trump, le libéral s’attaque ici aux conditions même des “surprofits” comme on dirait en France avec nos discours socialisants.
Trump est peut-être très méchant, mais il semble vouloir remplir les poches des simples gens… c’est peut-être un détail pour vous, mais pour des dizaines de millions d’Américains, cela veut dire beaucoup.
Kamala Harris, elle, n’a parlé que wokisme, avortement et… droits des minorités sans oublier les LGBTQI+….
Il y a une règle simple.
On ne gagne pas une élection avec une majorité en parlant qu’aux minorités par définition minoritaires.
Encore faut-il avoir quelque chose à dire.
C’est la même problématique en France pour notre gauche.
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