Ave Maria - G.Caccini

Prophéties du Pape Jean XXIII

 11 novembre
« Je tiens à vous dire que le peuple juif a une longue mémoire ; nous nous souvenons donc de la proclamation du grand roi Cyrus le Grand, le roi perse, il y a 2 500 ans. Il a proclamé que les exilés juifs à Babylone pouvaient revenir et reconstruire notre Temple à Jérusalem.
Nous nous souvenons qu'il y a cent ans, Lord Balfour a publié la proclamation Balfour qui reconnaissait les droits du peuple juif sur sa terre ancestrale.
Nous nous souvenons qu'il y a soixante-dix ans, le président Harry S. Truman a été le premier dirigeant à reconnaître l'État juif.
Et nous nous souvenons qu'il y a quelques semaines, le président Donald J. Trump a reconnu Jérusalem comme capitale d'Israël. Monsieur le Président, notre peuple s'en souviendra à travers les âges. » (Benjamin Nétanyahou - voir analyse du 28 octobre)
Effectivement, le futur président Trump a déjà eu plusieurs conversations depuis son élection avec le premier ministre israélien concernant la Palestine et l’Iran.
Il a clairement confirmé qu’il ressaiera l’étau sur l’Iran par des mesures économiques encore plus drastiques, tout en affirmant qu’il est hors de question que l’Iran accède à la bombe nucléaire.
« Ces derniers jours, Nétanyahou a eu trois conversations téléphoniques avec Trump. De quoi ont-ils discuté? Entre autres d’attaques contre les installations nucléaires iraniennes.
«Nous sommes d’accord sur la menace iranienne dans tous ses aspects et sur le danger qu’elle pose», a déclaré hier le premier ministre israélien.

Nétanyahou vient aussi de nommer un nouveau ministre de la Défense, Israël Katz. Ce dernier a déclaré que la destruction des infrastructures nucléaires iraniennes était sa priorité… » (journaldemontreal.com)
Ainsi, « Les responsables de la Défense craignent que l'Iran n'agisse contre Israël avant le retour de Trump à la Maison Blanche
Les services de renseignement ont commencé à intensifier le partage de renseignements et les évaluations de la situation avec l’armée américaine pour éviter de négliger des développements critiques.
Des inquiétudes ont été exprimées au sein de l’establishment de la défense israélienne quant au fait que l’Iran pourrait tenter d’exploiter la période précédant le retour au pouvoir de l’ancien président américain Donald Trump pour agir contre Israël.
Les services de renseignement ont commencé à intensifier le partage de renseignements et les évaluations de la situation avec l’armée américaine pour éviter de négliger des développements critiques.
Les responsables soulignent que les dirigeants politiques israéliens doivent comprendre la politique iranienne proposée par Trump pour façonner leur propre stratégie militaire et diplomatique. Plusieurs membres de la communauté de la défense estiment que les efforts diplomatiques visant à freiner les ambitions nucléaires de l'Iran « ont atteint leur terme ».
Certains responsables de la défense rappellent la déclaration de Trump lors d'une récente convention : « L'Iran n'aura pas d'armes nucléaires », tout en ajoutant que s'il était élu, il viserait à mettre fin aux guerres plutôt qu'à à en déclencher de nouvelles. Des questions demeurent quant à ses méthodes envisagées.
Lors de discussions privées, des sources ont déclaré que Trump avait confié à ses associés que s'il avait eu quelques mois de plus au cours de son premier mandat, il aurait imposé des sanctions supplémentaires pour déstabiliser l'économie iranienne. Maintenant, la question pour Israël est de savoir si le gouvernement du premier ministre Netanyahu s'alignera sur Trump sur une nouvelle série de sanctions contre l'Iran ou s'il fera pression en faveur d'une initiative militaire plus large ciblant les installations nucléaires iraniennes. 
Jusqu'à présent, Trump n'a pas fourni de politique détaillée sur le programme nucléaire iranien... » (jerusalempost.com)
Il ne reste pas beaucoup de temps pour se convertir au Christ.
Le 24 décembre prochain, s’ouvrira le Jubilé 2025.
Ce jubilé, c’est l’occasion de faire pénitence en se remémorant les 2025 années depuis la naissance du Christ.
Le symbole approprié d’un jubilé est l’ouverture des portes saintes, et non un logo aux origines douteuses, ni à une mascotte issue des pires valeurs inversées du système antichrist pour justement, séduire la jeunesse selon le Vatican.
La porte est l’image temporelle de l’ouverture de la porte spirituelle qu’est le Christ, qui mène au Salut.
Le pénitent durant le Jubilé confirme son baptême en reconnaissant la seule porte valable, le Christ.
En 2024, année où tout bascule, c’est une donc une porte spirituelle qui s’ouvre.
Une étape cruciale de la fin des temps menée par la Sainte Vierge pour le retour de son Fils.
Mais le Vatican ne l’entends pas ainsi.
Le Jubilé 2025 sera l’occasion de célébrer le synode des synodes, avec le dépôt des rapports des dix comités sur les questions brûlantes du synode pour la fin juin, en plus des surprises que nous réservent Bergoglio, tel l’interdiction de la messe tridentine et l’annonce d’une nouvelle messe œcuménique. 
2025 est donc l’année du choix.
Pour ou contre le Christ.
Effectivement, on le répète, tout doit être conclu avant mai 2026 si la prophétie de Don Bosco est véridique, c’est à dire le retour du Lys de paix avant mai 2026.
Rappelons que pour le jubilé 2025, Bergoglio a créé une Commission pour les témoins de la foi qui fait référence au grand jubilé de Jean-Paul II de l’an 2000, où il a voulu mettre en lumière ces hommes et ces femmes qui, bien que non canonisés, ont manifesté avec force leur foi.
« Qui sont les témoins de la foi?
Permettez-moi de donner un exemple: celui qui me vient immédiatement à l’esprit est Dietrich Bonhoeffer (1906-1945), un théologien et pasteur d’église luthérien qui a été tué parce qu’il s’opposait au nazisme. L’Église ne le proclame pas martyr parce qu’il n’était pas catholique. »
«Dans un monde où il semble parfois que le mal l'emporte - conclut François - je suis certain que l'élaboration de ce catalogue, également dans le contexte du Jubilé imminent, aidera les croyants à lire notre époque à la lumière de Pâques, en puisant les raisons de vivre et de faire du bien dans le trésor de la fidélité généreuse au Christ». (vaticannews.va)
C'est encore l'utilisation du double sens, de l'ambiguïté bergoglienne.
Il utilise  « à la lumière de Pâques » et saisit l'occasion en 2025 pour inviter à progresser « vers l’unité visible », en s’accordant sur la date de Pâques, que catholiques et orthodoxes célébreront le 20 avril en 2025, pour promouvoir l'oecuménisme.
On célèbre donc tout autant le protestantisme lors du Jubilé, en fait, l’humanisme.
Car le thème principal du Jubilé 2025 « pélerins de l'espérance » est l'oecuménisme.
C’est ce qu’on constate en examinant le calendrier des célébrations du Jubilé (holyart.fr).
C'est ce qu'on constate avec l’itinéraire européen, un des trois itinéraires de pèlerinage proposés à Rome. qui aura un caractère œcuménique, le Jubilé coïncidant avec les 1700 ans du Concile de Nicée (325), premier concile christologique.
Les pères conciliaires de Nicée n'auraient sûrement pas été d’accord avec cette récupération œcuménique.
Ainsi les 28 églises et basiliques de cet itinéraire comptent des églises non-catholiques, comme l’église San Teodoro du patriarcat orthodoxe grec, ou encore l’église luthérienne allemande.
Ce n’est que la suite du synode de la miséricorde infinie de 2016 pour l'humanisme, où tous doivent être inclus, Bergoglio éliminant à cette occasion la notion de péché.
Le Jubilé 2025 n’est pas représentatif des Jubilés passés.
Il n’est pas représentatif de l’Église catholique.
Tout comme le synode des synodes.
Mgr Joseph Stickland :
« ( LifeSiteNews ) — L'évêque Joseph Strickland a adressé une réprimande cinglante au Synode sur la synodalité tout en appelant les catholiques à s'opposer à ceux qui suivent les traces de Judas Iscariote. 
« Il y a des menaces à l’horizon. Ce Synode sur la Synodalité, je le rejette, parce qu'il n'est pas catholique. De nombreuses voix ont déjà dit que ce n'était pas l'Église catholique », a fait remarquer Son Excellence lors de la couverture de la soirée électorale de LifeSite, mardi soir. "Nous sommes à une époque où Judas Iscariote lève sa vilaine tête." 
Tout en exhortant les catholiques à travers les États-Unis à « être forts et joyeux dans la vérité », Stickland a en outre déclaré à l'animateur John-Henry Westen qu'il s'agissait d'un « moment critique pour cette nation et… pour l'Église universelle » car il y a « des menaces pour cette universalité ». qui viennent malheureusement de Rome même, du Vatican. 
« Nous sommes en territoire dangereux pour cette nation, mais plus important encore, et de manière plus critique, je crois, pour la foi catholique », a-t-il poursuivi. « La foi catholique, l'Église catholique, ne s'effondrera pas. Le Christ a promis qu'il prévaudrait contre les portes de l'enfer jusqu'à la fin des temps. Mais « s’il s’agit de nous opposer à un prêtre, à un évêque ou à quelqu’un du Vatican qui proclame un faux message, nous devons être des disciples suffisamment forts de Jésus-Christ pour dire : « Non. On vit la vérité qui est Christ. Il est la vérité incarnée. 
Strickland a maintenu un profil public actif depuis qu'il a été démis sans cérémonie par le pape François de son poste d'évêque de Tyler, au Texas, pour son soutien à la messe latine, entre autres choses. Il a pris la parole au Forum sur la vie de Rome cette année et a continué à fournir des conseils pastoraux aux catholiques à la recherche de conseils fiables sur un large éventail de questions. En août, il a publié une déclaration énergique rappelant les prétendues paroles de Notre-Dame de Fatima selon lesquelles il y aurait « une apostasie qui commencerait au sommet » de l’Église. 
Strickland a aussi dit à Westen que Judas Iscariot voulait « une fraternité mondiale des hommes », mais qu'un tel « royaume sur terre » était « contraire à ce que Jésus-Christ a proclamé ». 
« Nous avons l’occasion de combattre les ténèbres, le mal et les faux messages qui affectent et infectent même l’Église », a-t-il expliqué. 
« On doit devenir forts. On doit être clairs. Nous devons prendre la parole et ne permettre à personne en poste ou en chaire de dire quelque chose qui n'est pas fidèle au Christ et laisser tomber cela. 
Strickland a en outre appelé les catholiques à prier devant le Christ dans le Saint-Sacrement et à « arrêter de faire des compromis » avec ceux qui sèment l’erreur et à « proclamer clairement quelle est cette vérité parce que trop de gens se trompent » . 

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