LA FIN DE LA PAPAUTÉ
Le rapport final du synode des synodes ne peut être compris qu’en le comparant au plan judéo-maçonnique, puisque Bergoglio n’est qu’un valet mis en place pour le dernier acte, le quatrième coup de canon de Pike.
Le rapport confirme la fin de l’autorité de la papauté par le simple évêque de Rome, et l’annonce de la mort de l’église.
C’est le calendrier de l’ennemi qui dicte la fin des temps.
C’est de l’intérieur, par l’orgueil, l’égoïsme, et la haine que chutera Babylone.
NSJC attends le moment opportun afin de sauver le plus d’âmes possibles.
« P. Joachim Heimerl von Heimthal
Vous avez peut-être aussi été surpris lorsque le pape François a déclaré pour la première fois que la « synodalité » faisait partie de la nature de l’Église. Après tout, à ce jour, personne ne sait ce qu’il associe à ce terme, et il n’apparaît nulle part dans l’histoire de l’Église.
Lorsque François a ensuite convoqué le « Synode biennal sur la synodalité », vous avez été peut-être encore plus surpris, et probablement aussi par ses résultats, qui sont maintenant disponibles dans le document final.
Mais qu'est-ce qui se cache derrière tout ça ou qu'est-ce qui, selon Goethe, est « le nœud du problème » ?
En termes simples, ce que François appelle « synodalité » n'est qu'un système complexe de mensonges, et le « synode sur la synodalité » était lui-même un mensonge : ce n'était pas un « synode des évêques » car un le quart des participants n'étaient pas des évêques, mais des laïcs.
D'ailleurs, aucun « synode des évêques » n'a d'autorité, qu'on veuille l'attribuer au « Saint-Esprit » ou au « sens de la foi des fidèles ». C'est d'autant moins vrai que François a occupé stratégiquement le synode ; les résultats étaient clairs dès le départ.
Le rapport final du synode des synodes ne peut être compris qu’en le comparant au plan judéo-maçonnique, puisque Bergoglio n’est qu’un valet mis en place pour le dernier acte, le quatrième coup de canon de Pike.
Le rapport confirme la fin de l’autorité de la papauté par le simple évêque de Rome, et l’annonce de la mort de l’église.
C’est le calendrier de l’ennemi qui dicte la fin des temps.
C’est de l’intérieur, par l’orgueil, l’égoïsme, et la haine que chutera Babylone.
NSJC attends le moment opportun afin de sauver le plus d’âmes possibles.
« P. Joachim Heimerl von Heimthal
Vous avez peut-être aussi été surpris lorsque le pape François a déclaré pour la première fois que la « synodalité » faisait partie de la nature de l’Église. Après tout, à ce jour, personne ne sait ce qu’il associe à ce terme, et il n’apparaît nulle part dans l’histoire de l’Église.
Lorsque François a ensuite convoqué le « Synode biennal sur la synodalité », vous avez été peut-être encore plus surpris, et probablement aussi par ses résultats, qui sont maintenant disponibles dans le document final.
Mais qu'est-ce qui se cache derrière tout ça ou qu'est-ce qui, selon Goethe, est « le nœud du problème » ?
En termes simples, ce que François appelle « synodalité » n'est qu'un système complexe de mensonges, et le « synode sur la synodalité » était lui-même un mensonge : ce n'était pas un « synode des évêques » car un le quart des participants n'étaient pas des évêques, mais des laïcs.
D'ailleurs, aucun « synode des évêques » n'a d'autorité, qu'on veuille l'attribuer au « Saint-Esprit » ou au « sens de la foi des fidèles ». C'est d'autant moins vrai que François a occupé stratégiquement le synode ; les résultats étaient clairs dès le départ.
Un tel « synode » n'est qu'une chose : c'est une étiquette frauduleuse de la part du pape, et il montre de manière choquante à quel point François utilise naturellement le mensonge.
En fin de compte, ce « synode des évêques » était en quelque sorte un super mensonge, c'est pourquoi, dans notre contexte, on l'appelle « mensonge papal numéro 1 ».
Le « mensonge papal numéro 2 », par contre, était que François avait toujours souligné que la « synodalité » n’était pas un processus politique mais véritablement « spirituel ».
Qu'un pape puisse prescrire des « épreuves spirituelles » est évidemment douteux, car même un concile ne se considérerait pas comme une « épreuve spirituelle ».
Cependant, son document final démontre que le « Synode mondial » n’est pas un processus « spirituel », mais purement politique : les résultats des votes individuels sont énumérés point par point et les décisions sont prises à la majorité.
Il va sans dire qu'il s'agit d'une méthode purement politique et non spirituelle, et cela s'applique également au fait qu'on ne peut pas voter sur l'Église et sur la foi. Ce n'est certainement pas le cas si l'on considère que dans l'histoire de l'Église, il n'était pas rare que des minorités s'accrochent à la foi révélée, par exemple à l'époque de l'arianisme .
Le « mensonge papal numéro 3 » est cependant plus difficile à comprendre car il concerne ce que François appelle habituellement le « discernement ».
Selon lui, cette « distinction » est constitutive des processus « synodaux ». Ce que le Pape entend par « distinction » n’est pas, comme toujours, clair. Ce qui est clair, cependant, c'est qu'à la fin du « Synode », il a lui-même renoncé à toute forme compréhensible de distinction et, en bref, a déclaré que les résultats majoritaires du Synode faisaient partie du magistère pontifical.
Mais ce faisant, il a donné au « Synode » une autorité qu’il n’a pas et qu’aucun pape ne pourra jamais lui attribuer. Car même s'il s'agissait d'un véritable « synode des évêques », il aurait eu au mieux un caractère consultatif (!), et même le pape lui-même n'aurait pas pu y changer. Il ne peut pas céder ou simplement partager avec des tiers l'autorité qu'il a reçue du Christ.
En d'autres mots : François a remplacé le magistère papal par un nouveau magistère qui n'existe pas vraiment et qui se reflète dans les résultats des votes d'un pseudo-synode des évêques. À cet égard, la conclusion du « Synode » a été une étape historique, et le « mensonge papal numéro 3 » s’est avéré être un acte d’arbitraire papal et une trahison de sa propre fonction.
Cependant, en raison du caractère systématique du mensonge, le pape s'est placé dans une situation précaire : de nombreuses déclarations contenues dans le document final du « Synode » sont incompatibles avec la foi catholique.
Ils témoignent de la rapidité avec laquelle le catholicisme s'est évaporé et du soutien que François y apporte. Pour le dire un peu plus grossièrement, on pourrait aussi parler d’un « synode » hérétique et d’un « pape hérétique », ce que font désormais ouvertement de plus en plus de catholiques.
Cette dimension hérétique devient plus claire là où le Synode parle de lui-même dans le document final et crée ainsi une compréhension de l'Église qui reste purement horizontale, intra-mondaine et communautaire.
Alors qu'en revanche, selon l'enseignement catholique, l'Église est le sacrement universel du salut, l'union « synodale » se rapproche ici du « sacramentel » et trouve un parallèle sérieux avec la « célébration de l'Eucharistie » ( voir No. .27). On avance même que l'Esprit de Dieu agit dans le « Synode » de la même manière que dans la Sainte Messe, qui, au contraire, s'adresse uniquement à une communauté protestante. Le péché et la grâce ne jouent plus aucun rôle ici, le sacrifice de la croix et la rédemption ne sont même pas évoqués.
Soyons clairs : il n'y a aucune trace de la foi catholique ici, et si la « synodalité » est quelque chose, alors c'est le triomphe ultime de Luther sur l'Église.
Seul François est responsable de tout cela en établissant un « magistère » de mensonges et d'hérésies, et ce n'est pas la première fois.
L'objectif de ce « magistère » est clair : François et ses disciples veulent fonder une nouvelle Église qui ne soit plus l'Église du Christ et qui ne soit plus dans la succession des apôtres.
Cela devient plus évident dans le problème de la soi-disant « consécration de la femme ».
Dans le document final, le « Synode » et François déclarent que l'ordination des « diacres » est une question « ouverte ».
Mais comme bien des choses, c'est aussi un mensonge, car les apôtres n'ont mis la main que sur les hommes, et l'Église s'est à juste titre vue engagée au fil des siècles dans cette tradition apostolique.
C'est pour cette raison qu'il n'y a jamais eu de « diaconesses » valablement ordonnées et il aurait été du devoir du Pape de clarifier définitivement ce point, au plus tard à la fin du synode.
Mais c'est exactement ce que François a choisi de ne pas faire et a plutôt approuvé le mensonge flagrant de son « Synode ».
La question apparemment « ouverte » devrait maintenant être clarifiée plus tard par les experts, mais cette démarche cache aussi un autre mensonge : la foi de l'Église n'est jamais ce que pensent les experts individuels, mais seulement ce que croit l'Église dans son ensemble, ce que croit l'Église dans son ensemble. Cela signifie que selon la pratique apostolique, seuls les hommes peuvent être ordonnés.
François et son « Synode » sont loin d'être des vérités de foi aussi claires. Le mensonge ne mène jamais à la vérité et jamais à Jésus-Christ, qui a dit clairement devant Pilate : « Quiconque est de la vérité entend ma voix » (Jean 18 :37). –
En revanche, on préfère ne pas écouter la voix de François et de son synode. Les mensonges synodaux nous éloignent du Christ et de son
Église. Rappelons-nous : peu avant le « Synode », François lui-même a nié le seul salut par le Christ, et avec cela TOUT a été dit sur lui et sur son « Synode ». (stilumcuriae.com)
« les résultats majoritaires du Synode faisaient partie du magistère pontifical … On avance même que l'Esprit de Dieu agit dans le « Synode » de la même manière que dans la Sainte Messe, qui, au contraire, s'adresse uniquement à une communauté protestante. Le péché et la grâce ne jouent plus aucun rôle ici, le sacrifice de la croix et la rédemption ne sont même pas évoqués.
Soyons clairs : il n'y a aucune trace de la foi catholique ici, et si la « synodalité » est quelque chose, alors c'est le triomphe ultime de Luther sur l'Église. »
Le processus synodal cache un coup d’État.
« la constitution apostolique Episcopalis communio du 18 septembre 2018, François a introduit la possibilité d’attribuer un caractère magistériel aux documents finaux du synode. (voir analyse du 31 octobre) »
Ce n’est pas une possibilité.
Il l’a fait avec le rapport du synode des synodes.
Donc, tout confirme de plus en plus, dont le P. Joachim Heimerl von Heimthal ci-dessus, que l’église catholique en est à son dernier souffle puisque le rapport a un caractère magistériel.
Il s’applique.
Point.
Selon le regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil et les écrits d’Albert Pike, le grand pontife luciférien (voir l’article du Grand Réveil sur les coups de canons), « la lutte terrestre durera encore un an avant le quatrième coup de canon. »
Le quatrième coup de canon est l’abolition définitive de la papauté.
D’après le texte de Pike, le dernier pape « se convertira à la religion de Lucifer et fera cause commune avec l’Antéchrist. »
« Albert Pike et le livre Apadno nous donnent une clé :
« Jérusalem tressaillira de joie, car celui de ses fils qui pour commander aux adorateurs d’Adonaï avait fermé les yeux à la lumière, recouvrera la vue, déposera le triple diadème maudit et mettra son honneur à travailler à l’œuvre du rempart de Dieu, du Dieu le meilleur et le plus grand. »
Explication : Jérusalem, dans le langage biblique, c’est l’Église.
Adonaï c’est le nom que donnent les palladistes au Bon Dieu, et celui qu’ils appellent Dieu c’est Lucifer et la lumière c’est la sienne.
Toute la difficulté avec l’adversaire, c’est qu’il garde les mêmes termes, mais en leur donnant un sens inversé. On retrouve donc les mots de catholique, lumière, miséricorde, Dieu etc… mais ils n’ont pas le même sens dans leur bouche que dans la nôtre. C’est très subtil et très déstabilisant car ils usent des mêmes descriptions.
Diana Vaughan explique qu’il s’agit « du dernier pape des catholiques » et que « Par le rempart de Dieu, on désigne le frère [maçon] qui occupera le souverain pontificat luciférien, au temps de la mission publique de l’Antéchrist ».
Voilà.
Benoît XVI a eu à déposer la tiare de force pour faire monter le frère maçon sur le trône.
Bergoglio est le destructeur.
Plus besoin de preuves.
Il court à sa perte et décédera bientôt car nous sommes dans le temps de la moisson.
Car on sait avec les dernières analyses que, et la clique judéo-maçonnique, et les chiites provoquent la guerre pour faire venir leurs messies respectifs.
Or, « la justice divine s’abattra sur le monde au moment où l’Antéchrist (le Messie des juifs) apparaîtra, selon la Salette :
« Voici la bête avec ses sujets se disant le sauveur du monde. Il s’élèvera avec orgueil dans les airs pour aller jusqu’au Ciel ; il sera étouffé par le souffle de saint Michel archange. Il tombera, et la terre qui, depuis trois jours sera en de continuelles évolutions, ouvrira son sein plein de feu ; il sera plongé pour jamais avec tous les siens dans les gouffres éternels de l’enfer. »
La bête qui se dit le sauveur du monde et qui s’élève avec orgueil dans le ciel : n’est-ce pas là l’exacte description de la synagogue de Satan obtenant le pouvoir spirituel des mains du pape lui-même, comme si elle accédait enfin à l’échelle de Jacob? »
Remarquez : la terre sera en de continuelles évolutions pour la purification par le feu.
Trois jours.
Comme prophétisé par le Padre Pio.
C'est donc dire que nous approchons rapidement da la mort de l'Église et des deux témoins de l'Apocalypse.
À la neuvième heure, comme le Christ au vendredi Saint, l'Église, avec toute l'humanité ira au tombeau pour trois jours.
On compte maintenant en termes de mois, semaines et puis jours.
Ce qui est confirmé dans les prophéties de Jean XXIII :
- la terre détruira le ciment (prophétie concernant Benoît XVI)
- L’Asie en flammes (prophétie La Foudre en Plein Jour)
- Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes. (prophétie Grand Éclair à l’Orient)
Il est clair que la terre entrera en convulsions.
D’ailleurs, il y a 69 volcans actifs présentement, beaucoup plus que la moyenne de 45 des dernières années.
Louis D’Alencourt :
« Sur le calendrier de l’Antéchrist
Le livre Apadno continue :
« Mais il y aura encore des millions d’aveugles, le rameau d’olivier se changera en épée, et la lutte terrestre durera un an, jusqu’au quatrième coup de canon, qui sera tiré dans l’île de la vengeance. »
Là c’est intéressant car nous apprenons qu’il leur faudra encore un an avant de se déclarer vainqueurs.
Diana Vaughan explique :
– « Le quatrième coup de canon, c’est l’abolition définitive du pouvoir spirituel de la papauté chrétienne » ;
– « L’île de la vengeance, c’est l’île de Malte » . Pourquoi Malte ? Parce que les palladistes estiment que les chevaliers de l’ordre de Malte, rivaux des Templiers, ont obtenu après leur disgrâce la plus grande partie de leurs richesses. » (legrandreveil.com – le plan de satan)
Un an.
C’est le délai nécessaire pour faire accepter l’abolition de la papauté à la petite cuillère, sans provoquer trop de remous, par l’application des rapports des dix comités du synode à venir.
« Le rameau d’olivier se changera en épée » et il y aura lutte terrestre; pour faire adhérer les « millions d'aveugles ».
C’est bien une référence à la guerre.
Pour les prochains mois, semaines, sinon jours?
Netanyahou a avertit l’Iran qu’au prochain missile tiré vers Israël, ces derniers attaqueront les sites nucléaires et pétroliers iraniens.
Le futur président américain a donné son aval.
Les bombes nucléaires israéliennes sont dissimulées dans des sous-marins afin de les soustraire à l’intelligence militaire ennemie :
« Selon des sources étrangères, Israël possède entre 80 et 200 armes nucléaires, y compris la capacité de tirer depuis des sous-marins, ce qui rend presque impossible la destruction de toutes les armes nucléaires signalées par Israël lors d'une première frappe sur son territoire . (jesuralempost.com)
Quels sont les liens avec les prophéties de Jean XXIII?
Plusieurs.
N’oublions pas que les prophéties « Grand Éclair à l’Orient », « Le Temps est Proche « et la « Foudre en plein jour » sont toutes reliées à un éclair, de la foudre.
La foudre en plein jour, de l’Orient, lorsque l’Islam sera divisé, avec le premier jour de malheur d’Europe, lorsque l’ennemi partira de la « petite île de la Méditerranée ».
Le grand éclair à l’Orient où la terre frisera le massacre, où les véritables assassins sont en Europe et veulent la Méditerranée.
Le temps est proche ou la chute de Babylone où « Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes.»
Les prophéties de l’Église :
Concernant François où « Le grand frère d'Orient fera trembler le monde par la croix renversée sans les lis. », donc la guerre et où la mère est devenu orpheline.
Concernant la prophétie #11 « Le 7ème sceau » : il y a guerre entre les peuples et dans l’église.
Le grand éclair à l’Orient représente probablement le signe des trois jours de noirceur : le signe de Jonas, le seul signe que nous aurons.
Ou selon Malachi Martin qui avait prédit un signe dans le ciel, à l’est, selon ce qu’il avait lu du troisième secret de Fatima.
Il affirmait que le signe dans le ciel nous montrerait que Dieu existe quant il déclara en 1997 que « le grand facteur déclenchant aura lieu dans le ciel. Observez toujours le ciel. Le signe de la Vierge apparaîtra dans le ciel, et c’est pour bientôt. D’ici les 10 ou 20 prochaines années. Ce sera un choc pour tout le monde. Cela montrera que Dieu existe. Lorsqu’un jour de printemps, vous verrez dans le ciel un signe, comme une aurore boréale, tout commencera… »
C’est un signe de la Vierge donc de la dame de l’Apocalypse avec les deux pieds sur la lune : « Puis il parut dans le ciel un grand signe : une femme revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête ».
Jean XXIII utilise les termes suivant dans la prophétie du 7ème sceau : « Attendez le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois avec une main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de l'Occident. »
Le signe de Jean : la dame de l’Apocalypse ou l’image de Notre-Dame de Guadelupe.
La Vierge Marie voile le soleil de son manteau et la lune des ses pieds.
Padre Pio dans la prophétie des trois jours de noirceur confirme que le soleil sera voilé par un matin froid d’hiver.
Malachi Martin parle d’un jour de printemps.
Puisque cela confirmera l'existence de Dieu, ce ne peut qu'être qu'un phénomène divin.
Le Jubilé 2025 est la dernière chance de conversion.
Une grâce de Dieu quoiqu’en fasse les faux prophètes au Vatican.
« Car, comme l'éclair part de l'orient et brille jusqu'à l'occident, ainsi en sera-t-il de l'avènement du Fils de l'homme. » (Matthieu 24, 27)
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