Ave Maria - G.Caccini

Prophéties Pape Jean XXIII

 31 octobre
Décidément, il n’est vraiment rien sorti du synode des synodes.
Les vaticanistes le confirmant.
Ce que confirme benoit-et-moi.fr.
« Je m’attendais à avoir des choses à commenter et des articles à traduire, bref, un peu de travail à la conclusion (est-ce vraiment la conclusion?) de cet interminable synode. Et puis… rien. No comment. Les « synodaux » ont passé trois semaines à brasser du vent et ce qui est éventuellement sorti baigne dans la confusion. Je m’en suis finalement totalement désintéressée, et j’avoue que j’ai tout simplement cessé de suivre.
Juste après, on apprend la sortie d’un encyclique. Celle-là aussi, je doute qu’elle laisse un souvenir impérissable dans le magistère bergoglien… et dans la mémoire des catholiques.
Le problème de ce pape, c’est qu’à force de parler à tort et à travers dans des improvisations hasardeuses, plus personne ne le prend au sérieux, et à moins qu’il ne profère de vraies énormités, totalement contraires au depositum fidei (ce qu’il n’ose pas encore tout à fait faire), même les médias progressistes l’ignorent. L’inflation de la parole a tué la parole.

Voici un formidable résumé du sentiment des fidèles, publié sur le portail espagnol Info Vaticana. »
L’encyclique sur le sacré-cœur de Bergoglio est interprété comme un acte pour dirigé l’attention ailleurs que sur le rapport synodal (elle fut publiée en presque en même temps).
« Chaque fois que sa popularité auprès des catholiques les plus fidèles commence à s’effriter, François sort un atout de sa manche, quelque chose qui sent l’encens traditionnel. 
Nous approchons de la fin du Synode de la synodalité, ce grand projet qui était censé révolutionner l’Église, mais qui, à ce stade, en a laissé plus d’un sans voix .
Que reste-t-il de tout ce fracas médiatique ? Beaucoup de bruit pour rien. Personne n’écoute, personne ne s’intéresse. Et il semble que, de plus en plus, les vrais catholiques – ceux qui vont à la messe et s’engagent réellement dans leur foi – se sentent étrangers à ce qui vient de Rome.
Alors, maintenant, quoi ?

Ah, mais François n’est pas un imbécile. Il sait que le noeud est serré et que la déconnexion avec une partie importante de son troupeau est évidente. Alors, quel meilleur moyen de regagner la faveur des fidèles que d’utiliser une vieille formule ? Rien de moins qu’une encyclique traditionnelle. Car bien sûr, quand les choses vont mal, il y a toujours la possibilité d’éblouir les catholiques qui respectent encore ce qui sonne pieux, ce qui a une saveur traditionnelle, ce qui leur rappelle que l’Église n’a pas commencé avec François.
La nouvelle encyclique, Dilexit Nos, ressemble à un mouvement stratégique pour redonner une lueur d’espoir aux méfiants, et quelle coïncidence qu’elle arrive juste après ce Synode désastreux ! Comme pour dire : « Allons, détendez-vous, regardez, je suis aussi un pape comme les anciens »… »
Or, ce n’est pas le cas.
Plusieurs papes pré-Vatican II ont sonné l’alarme contre de tels manœuvres : 
« Certains critiques de François ont loué ce qui semble bon dans son encyclique Dilexit Nos. Mais l'Église ne nous oblige pas à passer au crible les œuvres de ses ennemis pour trouver ce qui pourrait être bon : en fait, plusieurs papes enseignent le contraire. » (lifesitesnews.com – long article en anglais malheureusement )
Ainsi, le maître de l’ambiguïté a encore frappé.
Le mystère d’iniquité n’est pas facile à comprendre.
C’est troublant.
Nous sommes dans cette période trouble de la Passion de l’Église comme à la Passion de NSJC.
« Depuis la sixième heure jusqu'à la neuvième, il y eut des ténèbres sur toute la terre. »
Autre article sur benoit-et-moi.fr qui confirme notre dernière analyse.
Le processus synodal cache un coup d’État.
« Passionnante analyse. Les conclusions posées par le pape ouvrent peut-être à des développements inattendus que Giuseppe Nardi n’hésite pas à assimiler à un coup d’état dans l’Église. Enfin, c’est une hypothèse, mais bien étayée. Pour comprendre la démarche un tantinet tordue du locataire de Sainte Marthe, il faut remonter à un document vieux de 6 ans, qui n’avait à l’époque guère retenu l’attention, hormis celle des spécialistes en droit canon: par la constitution apostolique Episcopalis communio du 18 septembre 2018, François a introduit la possibilité d’attribuer un caractère magistériel aux documents finaux du synode.
Le pape François tire-t-il finalement le frein à main ? Ou réalise-t-il un coup d’état ? Nous ne serions pas sous le pontificat de François s’il n’y avait pas d’ambiguïté à ce sujet.
Dans un premier temps, il a prolongé la durée du synode des évêques, qui en réalité n’est nullement un synode des évêques, jusqu’en juin 2025. Au terme de la deuxième session, François annonce maintenant qu’il renonce à la publication d’une exhortation post-synodale, comme c’était l’usage jusqu’à présent. Y a-t-il des objections juridiques ? Ou François veut-il tenter pour la première fois un putsch « synodal » en insérant ses interventions dans la constitution de l’Église de 2018 ?
Les particularités du synode sur la synodalité ont déjà été maintes fois soulignées. Le synode des évêques institutionnalisé était une invention de la phase finale du Concile Vatican II, introduite par le pape Paul VI. François a introduit le terme de « synodalité », qui n’a aucune signification canonique, c’est-à-dire en termes de droit canonique. On pourrait parler d’un mot-clé, voire d’un slogan à la mode. Le secteur des relations publiques invente de nouveaux termes pour des choses anciennes afin de relancer les affaires.

2024 François déclare à la clôture du synode que, pour la première fois, il ne publiera pas d’exhortation post-synodale, mais qu’il mettra à disposition le document final du synode comme « guide pour la mission des Églises sur les différents continents et dans les différents contextes (…) », reconnaissant ainsi « le chemin synodal » et « remettant » son document au peuple de Dieu.
2025 Reconnaissance du caractère magistériel du document final du synode (modifié ?)?

François n’a toutefois pas fait son annonce de samedi sans raison. En d’autres termes, il a une intention, mais comme toujours, il ne se laisse pas dévoiler.
Plusieurs scénarios s’offrent à lui.
Il pourrait faire réviser le document final du synode, ce pour quoi il dispose de suffisamment de temps jusqu’en juin 2025, et transmettre ce document révisé à l’Église avec un caractère non contraignant en tant que document du synode;
ou bien le faire entrer en vigueur avec un caractère contraignant à différents niveaux en tant que magistère du synode (pas le sien). »
Bergoglio a un plan caché.
Le Jubilé 2025 sera son moment de célébration.
Du jamais vu, ils ont décidé d’avoir une mascotte du Jubilé.
Quelle farce.
« Mgr Fisichella (préfet du Dicastère pour l’Évangélisation depuis 2010) a présenté hier en conférence de presse la « mascotte » du jubilé 2025 (jubilé qui est censé célébrer le 2025-ème anniversaire de la naissance de Jésus, nous rappelle Yves Daoudal). Pas vraiment catholique, avec la figure de Greta Thunberg comme emblème. Et on se demande bien pourquoi le jubilé a besoin d’une mascotte, comme n’importe quel évènement « festif » planétaire mondain (cela nous rappelle tristement Paris 2024).
Mais le scandale ne s’arrête pas là. Le designer chargé de la conception de l’objet s’est signalé par des créations… douteuses, comme des gadgets pour les gay-prides et des vibromasseurs.
Seule consolation: beaucoup de ces hideux objets finiront probablement très vite dans une poubelle (jaune, ou grise? that is the question…) » (benoit-et-moi.fr)
On ne parle plus du Christ dans ce Jubilé.
C’est la suite du Jubilé de la Miséricorde infinie.
Babylone est vraiment en train de chuter.
Ci-dessous suit une brève réflexion de Mgr Carlo Maria Viganò à la suite de la clôture du Synode pluriannuel du pape François sur la synodalité.
« Le « Synode sur la synodalité » qui vient de s’achever est une icône de la duplicité et de la nature frauduleuse de l’Église conciliaire et synodale.
La promotion de l’agenda mondialiste n’est que trop évidente.
La subversion hiérarchique de la parité de genre est à l’origine de la discussion surréaliste sur l’ordination des femmes, permettant d’entamer une expérience pastorale qui puisse dans un avenir proche servir d’alibi au changement officiel de doctrine sur le sacrement de l’ordre. Tout comme l’acceptation de l’idéologie LGBTQ+, servilement transposée au Synode selon les prémisses de Fiducia supplicans, est un objectif mondialiste.
La Deep Church agit en rupture totale avec le corps ecclésial, exactement comme le Deep State légifère à l’encontre des citoyens. Indépendamment des articles de foi spécifiques auxquels le Synode apporte des modifications par des moyens pastoraux, il est également évident que le but ultime de Bergoglio est de détruire l’Église catholique en déformant la nature de la papauté telle qu’elle a été instituée par Notre-Seigneur.
L’Église de Jorge Mario Bergoglio est une « Église synodale », c’est-à-dire qu’elle n’est ni monarchique ni divine, mais démocratique et humaine. Son autorité n’est pas vicaire du Pouvoir sacré du Christ, mais l’expression fausse et trompeuse d’une prétendue volonté populaire, ou pire encore, un signe de l’Esprit, derrière lequel se cache une organisation subversive. Les fidèles sont trompés par de faux pasteurs et par des mercenaires.
Tout dans les paroles et les actes de l’Église synodale est mensonge. Car son but est d’imposer d’autorité, sous couvert d’une demande populaire, ce qu’aucun fidèle catholique n’a jamais demandé parce que cela contredit l’enseignement de Notre Seigneur. Cette autorité, usurpée dans un but opposé à celui que Jésus-Christ lui a donné, est totalement illégitime et il devrait être du devoir de chaque Successeur des Apôtres de dénoncer cette farce synodale, ultime étape de la révolution conciliaire, par laquelle l’Épouse de l’Agneau est remplacée par la Prostituée de Babylone, asservie au Nouvel Ordre Mondial.
Certains pensent que les inquiétudes sur les intentions subversives de Bergoglio sont excessives et infondées, citant la dernière « encyclique » sur la dévotion au Très Sacré Cœur de Jésus comme un exemple de son orthodoxie en dents de scie. Ce document est une diversion pour tromper les fidèles, selon la stratégie de tromperie bien rodée propre au jésuite et péroniste Bergoglio, confirmant sa duplicité et sa malhonnêteté intellectuelle.
Le thème de Dilexit nos – traité dans une tonalité résolument antimoderne – constitue une tentative maladroite de réappropriation frauduleuse par la Compagnie de Jésus du culte du Sacré-Cœur, dont elle est la gardienne historique. Cette dévotion, née pour contrer l’hérésie janséniste, doit inévitablement être détournée pour donner l’apparence de la rigueur théologique à l’hérésie opposée, c’est-à-dire à une forme de laxisme doctrinal et moral qui admet tout comme déjà guéri et pardonné par l’infinie Miséricorde de Dieu.
Ce qui est parfaitement cohérent avec l’intention du Synode.
+ Carlo Maria Viganò, archevêque
Notre Seigneur Jésus Christ Roi
27 octobre 2024 » (benoit-et-moi.fr)
Une confirmation rassurante ici : le pape ne peut en rien modifier la messe en contradiction avec la loi divine, ce qui est la vérité postulée par NSJC où les portes de l’enfer ne prévaudront jamais sur l’Église.
« ( LifeSiteNews ) — Le célèbre exorciste et théologien Chad Ripperger a précisé que le pape ne peut pas modifier la messe en contradiction avec la loi divine positive, par exemple en modifiant la consécration d'une manière « qui l'invaliderait ».
Alors que l'on craignait que le Vatican puisse promulguer ou permettre de nouvelles modifications de la messe après le Synode sur la synodalité, Ripperger a récemment discuté de son livre The Limits of Papal Authority Over the Liturgy avec le Dr Robert Moynihan et Matt Gaspers de À l'intérieur du Vatican.
L'exorciste a d'abord fait la distinction importante entre le pouvoir et l'autorité, le pouvoir étant la « capacité d'effectuer un changement », tandis que l'autorité donne à une personne le droit de déterminer quelque chose ou d'adopter un changement . « Le seul qui a une autorité absolue, c'est Dieu », a-t-il souligné. 
Dans son livre, Ripperger a partagé une citation du cardinal Joseph Ratzinger (pape Benoît XVI) qui exprime les limites de l'autorité du pape sur la liturgie, lue à haute voix par Gaspers lors de l'entrevue de septembre :
« Le pape n’est pas un monarque absolu dont la volonté fait loi ; il est plutôt le gardien de la Tradition authentique et, par le fait même, le premier garant de l'obéissance. Il ne peut pas faire ce qu'il veut… Sa règle n'est pas celle du pouvoir arbitraire, mais celle de l'obéissance dans la foi. C'est pourquoi, en ce qui concerne la liturgie, il a la tâche d'un jardinier et non celle d'un technicien qui construit de nouvelles machines et jette les anciennes aux ordures.
Le rôle du pape est limité plus spécifiquement par la loi divine positive – celle qui est expressément révélée par Dieu – et par la loi naturelle, a expliqué Ripperger.
Un exemple clé de la façon dont le pape ne peut pas changer la liturgie est de changer les « paroles de la consécration » d'une manière « qui l'invaliderait », a déclaré Ripperger, car cela violerait la loi divine positive ordonnée par Dieu lorsque le Christ a dit pendant la Dernière Cène : « Faites ceci en mémoire de moi ».  
Cela signifie également que la consécration – par laquelle le Corps, le Sang, l'Âme et la Divinité du Christ Jésus sont rendus présents dans l'Eucharistie – ne peut être omise, ce qui, selon les spéculations, pourrait se produire dans le cadre expérimental, appelé « rite amazonien » du Messe, selon Anthony Stine de Return to Tradition.
Le pape ne peut pas non plus « insérer quelque chose dans la liturgie… qui soit contraire à la loi naturelle », comme le « culte des idoles païennes », a ajouté l’exorciste. 
« C'est précisément son obéissance à ces choses qui est précisément l'objectif de son bureau », a déclaré Ripperger à propos du pape.
Gaspers a souligné le point du prêtre théologien selon lequel, parce que la foi catholique est immuable et que la liturgie est basée sur la foi, des changements dans la messe concernant ses principes fondamentaux sont impensables.
« Étant donné que le dépôt de la foi ne change pas et constitue la loi ou la loi autour de laquelle s'articule le développement liturgique, seul un développement organique peut légitimement être envisagé », a cité Gaspers dans le livre de Ripperger.
L'exorciste a déclaré avoir souligné dans son livre que « ce n'est pas à nous de déterminer comment nous adorons Dieu », en citant l'Ancien Testament comme preuve de cela, puisque Dieu était « très exact » en dictant comment la liturgie est censée se dérouler.
« Même le Christ a dit : 'Faites ceci en mémoire de moi.' Il est donc très précis sur certaines choses qui doivent être faites » dans la liturgie, a déclaré Ripperger. "Et c'est à Dieu de prendre ces décisions."
 a noté que le pape a « un peu de latitude » concernant les parties « accidentelles » de la messe – c'est-à-dire ses aspects extérieurs, qui se sont en fait « développés au fil du temps » – mais que ceux-ci ne peuvent pas tenter de modifier les fondamentaux : la foi elle-même, la loi divine positive et la loi naturelle.
« En fin de compte », nous devons reconnaître que Dieu a déterminé la manière dont nous devons l'adorer, a déclaré Ripperger, c'est pourquoi « la tradition est si essentielle », et il approfondit l'importance de cela dans son livre .
« Parce que c'est précisément à travers la tradition que ce que Dieu nous a enseigné sur ces questions nous parvient », a déclaré l'exorciste, soulignant que l'Écriture est également considérée comme faisant partie de la tradition.
Le fait est que c'est précisément à travers ces choses qui nous ont été transmises depuis le tout début, depuis l'époque des apôtres jusqu'à aujourd'hui, que nous savons réellement que c'est ce que nous sommes censés faire , a-t-il poursuivi.
En d'autres termes, « plus quelque chose reste longtemps dans la liturgie, plus on sait que c'est la volonté de Dieu qu'il y soit utilisé », a déclaré Ripperger.
Son analyse semble suggérer des problèmes avec le Novus Ordo Missae, ainsi que mettre en garde contre des changements potentiels à venir dans cette messe, ou même contre une nouvelle messe (« Messe » ?). En effet, Ripperger, Gaspers et Moynihan ont fait allusion aux dommages que le Novus Ordo a infligés à la foi des gens en raison de l'apparition soudaine de nombreux changements radicaux dans la liturgie.
"Quand il y a autant de changements" dans la messe, "en fin de compte... ce qui se passe c'est... ça leur donne l'impression que la foi elle-même pourrait changer, ou que le contenu de la foi pourrait changer », a déclaré le Père. Ripperger, ajoutant qu'il n'est "pas la seule personne à avoir attiré l'attention sur ce problème particulier".
En fait, selon Ripperger, saint Thomas d’Aquin lui-même a déclaré que si la loi est modifiée trop fréquemment, sa force finit par s’éroder. »
Rappelons suite à notre dernière analyse que les élections américaines 2024 sont un pivot, un point de bascule.
D’ailleurs les prophéties de Jean XXIII font état d’une guerre civile aux États-Unis, mais les prophéties politiques sont plus difficiles à interpréter.
Tout comme la prophétie « Grand Éclair à l’Orient ».
Le Jerusalem Post a publié une analyse qui confirme qu'Israël a mis la pédale douce dans la dernière attaque contre l’Iran à la demande des États-Unis pour qu’il n’y ait pas d’influence sur le résultat des élections.
Le chef de la Force de Défence Israélienne a confirmé que si l’Iran réplique, les cibles seraient les points stratégiques majeurs.
Bref, ils ont testé la défense iranienne et ils savent à quoi s’en tenir.
Israël devrait frapper après les élections.
Préparez-vous car une attaque majeure contre l’Iran (ces derniers bloqueront le détroit d’Ormuz, voie navigable du pétrole) ou de la Chine contre Taïwan (ce qui se dessine à l’horizon après les élections; il y aura un blocus des pays occidentaux contre la Chine en représailles), vont avoir une incidence majeure sur le coût des biens et services.
Une inflation de guerre n’est jamais négligeable.

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