LA COMÈTE DU SYNODE
Saint-Jean, dont l’évangile est spirituelle par rapport aux trois autres qui décrivent plus des faits historiques, est le seul qui décrit le transfert de la co-rédemption à la Sainte Vierge Marie au pied de la croix par : « Femme, voilà votre fils. Fils voilà votre mère. »
Car, c’est Marie qui conduit au Fils.
Saint-Jean représente toute l’humanité dont Marie est Mère.
Saint-Jean nous a donné l’Apocalypse, la Révélation, et l’image de la femme avec les deux pieds sur la lune, l’image révélée par Notre-Dame de Guadelupe, la Sainte Vierge Marie à la fin des temps.
En ce mois du Rosaire si crucial à cause du synode, une comète nous accompagne, comme signe de la fin des temps.
Hier, 13 octobre, il semble que nous n’ayons pas eu de signe majeur du côté géopolitique, mais la comète TSUCHINSHAN-ATLAS s’est révélée pour la première fois à l’œil nu à toute l’humanité.
(Images sur spaceweather.com)
Elle est facilement visible au sud-ouest, environ 40 minutes après le coucher du soleil.
Retournons au 13 octobre 2023 avant la première portion du synode des synodes : « avant la congrégation générale, une messe a été célébrée par le cardinal Fridolin Ambongo, archevêque de Kinshasa en RD Congo et président du SCEAM, symposium des conférences des évêques d’Afrique et de Madagascar. Dans son homélie, il a considéré ce synode comme une nouvelle Pentecôte qui renouvellera certainement l'Église dans la communion de ses membres et dans la participation active de tous à la vie et à la mission de l'Église. » (vaticannews.va)
L’article publié par le Vatican est amputé intentionnellement pour démontrer que l’église synodale est la voie, voie dirigée par le Saint-Esprit, rien de moins qu’une « nouvelle Pentecôte » avec une petite mise en garde contre le malin à la toute fin, qui lutte pour empêcher la nouvelle église synodale.
Rien de moins.
Or, dans cet article du catholicworldreport.com nous découvrons qu’il a mentionné Satan à plusieurs reprises :
« Le diable lance des attaques pour diviser l'Église, et nous devons riposter avec l'arme du Saint-Esprit, a déclaré vendredi un cardinal de la République Démocratique du Congo lors de la Messe.
...
“Si nous avons le courage de regarder notre réalité actuelle en tant qu'Église, il ne sera pas difficile de voir comment le Malin est à l'œuvre, influençant notre façon d'être et d'agir. Le Malin veut nous voir divisés; il pourrait même utiliser certains d'entre nous pour sa cause,”, a déclaré l'archevêque de Kinshasa, encourageant les gens à se battre avec “les armes de la synodalité.”
...
La lecture “nous rappelle que le diable est toujours présent et actif dans notre monde,”, a déclaré le cardinal. “Sa force réside précisément dans la stratégie de se rendre invisible et d'apparaître sous les formes les plus séduisantes et les plus rassurantes. Connaissant bien sa proie, le diable lance ses attaques à partir des réalités les plus sensibles.
Il cite le pape Benoît XVI qui a dit“le Malin cherche toujours à gâcher le travail de Dieu, semant la division dans le cœur humain, entre le corps et l'âme, entre l'individu et Dieu, dans les relations interpersonnelles, sociales et internationales .. Le Malin sème la discorde.”
“C'est pourquoi nous devons combattre courageusement le Malin, en utilisant les armes de la synodalité,” a-t-il poursuivi, “qui exigent l'unité, la marche ensemble, le discernement priant, l'écoute mutuelle et ce que l'Esprit a à dire à l'Église.”
“Nous sommes appelés à combattre ce puissant adversaire avec une arme tout aussi puissante à notre disposition: l'Esprit Saint, protagoniste de cette nouvelle façon d'être Église — l'Église synodale.” »
Et dans ce monde aux valeurs inversées, le système antichristique, même au sommet du Vatican avec l’Antichrist personnifié sur le trône de Saint-Pierre, ils ne sont même pas capable de voir que cet esprit du synode des synodes, est le même Satan dont Paul VI en 1963 avait confirmé la présence au sein même du Vatican.
Satan est en train de convertir l’Église pour en faire sa propre église puisqu’il ne peut l’éliminer.
Et les aveugles n’y voient rien.
Un des « McCarrick boys » (voir article sur benoit-et-moi.fr sur ce sujet), le cardinal Tobin, affirme « que la synodalité met en œuvre le « programme » du pape François pour l'Église ».
Donc, la conclusion et le rapport final sont déjà décidés d’avance comme plusieurs le soupçonnent.
« Avec « Amoris Laetitia, Fratelli Tutti, Laudato Si », le pape François a « distillé la sagesse » des synodes précédents, a déclaré le cardinal Joseph Tobin lors d'un point de presse au Saint-Siège aujourd'hui. »
Ainsi, le rapport final sera un amalgame de toutes les encycliques de Bergoglio, soit une église transformée, uniquement basée sur l’humanisme, décentralisée du Christ.
« Selon Tobin aujourd'hui, les membres du concile ont fortement conseillé au pape que l'immigration ou la vie sacerdotale devraient être au centre des préoccupations, mais François a décidé de faire le synode sur la « synodalité », provoquant une forte confusion au sein du concile.
Tobin a salué la décision du pape François, tout en soulignant qu'il ne l'avait pas comprise à l'époque. « Mon péché a été de remettre en question la sagesse du Saint-Père », a-t-il déclaré. « Je l'ai absous en essayant de comprendre ce qu'il voulait dire et pourquoi il y accorde de la valeur. »
Le cardinal de 72 ans a suggéré que l'accent mis par François sur la synodalité reliait les thèmes et documents clés de son pontificat. »
Remettre en question la sagesse du Saint-Père?
On n’y voit vraiment plus clair chez les cardinaux.
On voit bien que Satan est à l’œuvre.
Ainsi, il confirme par ses paroles que ceux qui ne sont pas pour la synodalité (un concept qui n’existe pas), sont contre la sagesse de Bergoglio, et donc contre la nouvelle église.
Exactement ce qu’avait anticipé le regretté Serge Monast (voir analyse du 20 septembre dernier) où le chrétien vivant la Tradition est considéré comme une nuisance, un terroriste qui mérite l’exclusion ou le bâillon.
« En distillant la sagesse qui a été présentée lors des synodes suivants – Amoris Laetitia, Fratelli Tutti, Laudato Si' –, il m’est apparu clairement que le Saint-Père ne proposait pas simplement un programme, mais qu’il m’aidait, ainsi que d’autres, à comprendre que pour faire cela, pour répondre au Seigneur de cette manière, il faut penser différemment à la manière dont l’Église vit et agit. »
Maintenant, conclut Tobin, l’attention de François à la synodalité « est un grand moment de grâce pour l’Église et le monde ».
Le lien établi par Tobin entre trois documents clés écrits par François et le Synode est remarquable car il présente le Synode sur la synodalité comme un moyen de mettre pleinement en œuvre les propositions contenues dans les textes précédents…
Il a averti que certains, « ne comprenant pas correctement la notion de synode, pourraient penser, par exemple, que l’Église catholique est désormais devenue une sorte d’organisme démocratique doté d’une sorte de nouvelle constitution ». (lifesitenews.com)
Voilà.
La trahison suprême, le synode des synodes, le Judas des Judas qui fait passer l’église conciliaire dans la nouvelle ère en ce mois d’octobre 2024, en donnant le coup final pour faire mourir l’Église dans sa Passion à l’image du Christ, pour faire mourir les « deux témoins » de l’Apocalypse, comme prévu par Saint-Jean.
Et dans son orgueil, Bergoglio lègue ainsi son testament, sa manœuvre finale qu’il espère éternelle (voir analyse du 17 septembre, LE TESTAMENT DE BERGOGLIO), sans retour en arrière comme il l’a affirmé si souvent, la conclusion de Vatican II.
Nous vivons un temps critique, la fin des temps, et peu s’en aperçoivent.
Même le cardinal Burke y est allé du bout des lèvres en se demandant, devant les signes présents (voir 17 septembre), si nous n’étions pas à la fin des temps.
Pourtant le signe du figuier donné par le Christ en Matthieu 24 pour nous guider en cette occasion est bien facile à décrypter.
Et comme à la venue du Christ sur cette terre il y a plus de 2000 ans un signe dans le ciel annonçait sa venue, nous avons en ce mois d’octobre un signe dans le ciel annonçant sa seconde venue.
Même si les signes du zodiaque dans le ciel sont une œuvre païenne, il est quand même intriguant de constater que la comète TSUCHINSHAN-ATLAS s’est révélée le 13 octobre aux pieds de la constellation de la Vierge, qui elle écrase la constellation du Serpent, comme en référence à la Genèse et à l’Apocalypse.
L’Alpha et l’Oméga, le début et la fin d’un cycle, la fin des temps.
Saint-Jean, dont l’évangile est spirituelle par rapport aux trois autres qui décrivent plus des faits historiques, est le seul qui décrit le transfert de la co-rédemption à la Sainte Vierge Marie au pied de la croix par : « Femme, voilà votre fils. Fils voilà votre mère. »
Car, c’est Marie qui conduit au Fils.
Saint-Jean représente toute l’humanité dont Marie est Mère.
Saint-Jean nous a donné l’Apocalypse, la Révélation, et l’image de la femme avec les deux pieds sur la lune, l’image révélée par Notre-Dame de Guadelupe, la Sainte Vierge Marie à la fin des temps.
En ce mois du Rosaire si crucial à cause du synode, une comète nous accompagne, comme signe de la fin des temps.
Hier, 13 octobre, il semble que nous n’ayons pas eu de signe majeur du côté géopolitique, mais la comète TSUCHINSHAN-ATLAS s’est révélée pour la première fois à l’œil nu à toute l’humanité.
(Images sur spaceweather.com)
Elle est facilement visible au sud-ouest, environ 40 minutes après le coucher du soleil.
Retournons au 13 octobre 2023 avant la première portion du synode des synodes : « avant la congrégation générale, une messe a été célébrée par le cardinal Fridolin Ambongo, archevêque de Kinshasa en RD Congo et président du SCEAM, symposium des conférences des évêques d’Afrique et de Madagascar. Dans son homélie, il a considéré ce synode comme une nouvelle Pentecôte qui renouvellera certainement l'Église dans la communion de ses membres et dans la participation active de tous à la vie et à la mission de l'Église. » (vaticannews.va)
L’article publié par le Vatican est amputé intentionnellement pour démontrer que l’église synodale est la voie, voie dirigée par le Saint-Esprit, rien de moins qu’une « nouvelle Pentecôte » avec une petite mise en garde contre le malin à la toute fin, qui lutte pour empêcher la nouvelle église synodale.
Rien de moins.
Or, dans cet article du catholicworldreport.com nous découvrons qu’il a mentionné Satan à plusieurs reprises :
« Le diable lance des attaques pour diviser l'Église, et nous devons riposter avec l'arme du Saint-Esprit, a déclaré vendredi un cardinal de la République Démocratique du Congo lors de la Messe.
...
“Si nous avons le courage de regarder notre réalité actuelle en tant qu'Église, il ne sera pas difficile de voir comment le Malin est à l'œuvre, influençant notre façon d'être et d'agir. Le Malin veut nous voir divisés; il pourrait même utiliser certains d'entre nous pour sa cause,”, a déclaré l'archevêque de Kinshasa, encourageant les gens à se battre avec “les armes de la synodalité.”
...
La lecture “nous rappelle que le diable est toujours présent et actif dans notre monde,”, a déclaré le cardinal. “Sa force réside précisément dans la stratégie de se rendre invisible et d'apparaître sous les formes les plus séduisantes et les plus rassurantes. Connaissant bien sa proie, le diable lance ses attaques à partir des réalités les plus sensibles.
Il cite le pape Benoît XVI qui a dit“le Malin cherche toujours à gâcher le travail de Dieu, semant la division dans le cœur humain, entre le corps et l'âme, entre l'individu et Dieu, dans les relations interpersonnelles, sociales et internationales .. Le Malin sème la discorde.”
“C'est pourquoi nous devons combattre courageusement le Malin, en utilisant les armes de la synodalité,” a-t-il poursuivi, “qui exigent l'unité, la marche ensemble, le discernement priant, l'écoute mutuelle et ce que l'Esprit a à dire à l'Église.”
“Nous sommes appelés à combattre ce puissant adversaire avec une arme tout aussi puissante à notre disposition: l'Esprit Saint, protagoniste de cette nouvelle façon d'être Église — l'Église synodale.” »
Et dans ce monde aux valeurs inversées, le système antichristique, même au sommet du Vatican avec l’Antichrist personnifié sur le trône de Saint-Pierre, ils ne sont même pas capable de voir que cet esprit du synode des synodes, est le même Satan dont Paul VI en 1963 avait confirmé la présence au sein même du Vatican.
Satan est en train de convertir l’Église pour en faire sa propre église puisqu’il ne peut l’éliminer.
Et les aveugles n’y voient rien.
Un des « McCarrick boys » (voir article sur benoit-et-moi.fr sur ce sujet), le cardinal Tobin, affirme « que la synodalité met en œuvre le « programme » du pape François pour l'Église ».
Donc, la conclusion et le rapport final sont déjà décidés d’avance comme plusieurs le soupçonnent.
« Avec « Amoris Laetitia, Fratelli Tutti, Laudato Si », le pape François a « distillé la sagesse » des synodes précédents, a déclaré le cardinal Joseph Tobin lors d'un point de presse au Saint-Siège aujourd'hui. »
Ainsi, le rapport final sera un amalgame de toutes les encycliques de Bergoglio, soit une église transformée, uniquement basée sur l’humanisme, décentralisée du Christ.
« Selon Tobin aujourd'hui, les membres du concile ont fortement conseillé au pape que l'immigration ou la vie sacerdotale devraient être au centre des préoccupations, mais François a décidé de faire le synode sur la « synodalité », provoquant une forte confusion au sein du concile.
Tobin a salué la décision du pape François, tout en soulignant qu'il ne l'avait pas comprise à l'époque. « Mon péché a été de remettre en question la sagesse du Saint-Père », a-t-il déclaré. « Je l'ai absous en essayant de comprendre ce qu'il voulait dire et pourquoi il y accorde de la valeur. »
Le cardinal de 72 ans a suggéré que l'accent mis par François sur la synodalité reliait les thèmes et documents clés de son pontificat. »
Remettre en question la sagesse du Saint-Père?
On n’y voit vraiment plus clair chez les cardinaux.
On voit bien que Satan est à l’œuvre.
Ainsi, il confirme par ses paroles que ceux qui ne sont pas pour la synodalité (un concept qui n’existe pas), sont contre la sagesse de Bergoglio, et donc contre la nouvelle église.
Exactement ce qu’avait anticipé le regretté Serge Monast (voir analyse du 20 septembre dernier) où le chrétien vivant la Tradition est considéré comme une nuisance, un terroriste qui mérite l’exclusion ou le bâillon.
« En distillant la sagesse qui a été présentée lors des synodes suivants – Amoris Laetitia, Fratelli Tutti, Laudato Si' –, il m’est apparu clairement que le Saint-Père ne proposait pas simplement un programme, mais qu’il m’aidait, ainsi que d’autres, à comprendre que pour faire cela, pour répondre au Seigneur de cette manière, il faut penser différemment à la manière dont l’Église vit et agit. »
Maintenant, conclut Tobin, l’attention de François à la synodalité « est un grand moment de grâce pour l’Église et le monde ».
Le lien établi par Tobin entre trois documents clés écrits par François et le Synode est remarquable car il présente le Synode sur la synodalité comme un moyen de mettre pleinement en œuvre les propositions contenues dans les textes précédents…
Il a averti que certains, « ne comprenant pas correctement la notion de synode, pourraient penser, par exemple, que l’Église catholique est désormais devenue une sorte d’organisme démocratique doté d’une sorte de nouvelle constitution ». (lifesitenews.com)
Voilà.
La trahison suprême, le synode des synodes, le Judas des Judas qui fait passer l’église conciliaire dans la nouvelle ère en ce mois d’octobre 2024, en donnant le coup final pour faire mourir l’Église dans sa Passion à l’image du Christ, pour faire mourir les « deux témoins » de l’Apocalypse, comme prévu par Saint-Jean.
Et dans son orgueil, Bergoglio lègue ainsi son testament, sa manœuvre finale qu’il espère éternelle (voir analyse du 17 septembre, LE TESTAMENT DE BERGOGLIO), sans retour en arrière comme il l’a affirmé si souvent, la conclusion de Vatican II.
Nous vivons un temps critique, la fin des temps, et peu s’en aperçoivent.
Même le cardinal Burke y est allé du bout des lèvres en se demandant, devant les signes présents (voir 17 septembre), si nous n’étions pas à la fin des temps.
Pourtant le signe du figuier donné par le Christ en Matthieu 24 pour nous guider en cette occasion est bien facile à décrypter.
Et comme à la venue du Christ sur cette terre il y a plus de 2000 ans un signe dans le ciel annonçait sa venue, nous avons en ce mois d’octobre un signe dans le ciel annonçant sa seconde venue.
Même si les signes du zodiaque dans le ciel sont une œuvre païenne, il est quand même intriguant de constater que la comète TSUCHINSHAN-ATLAS s’est révélée le 13 octobre aux pieds de la constellation de la Vierge, qui elle écrase la constellation du Serpent, comme en référence à la Genèse et à l’Apocalypse.
L’Alpha et l’Oméga, le début et la fin d’un cycle, la fin des temps.
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