Ave Maria - G.Caccini

 LE FAUX PROPHÈTE, LE SYNODE, ET LA MESSE
L’ascension de Bergoglio au trône de Saint-Pierre est la conséquence d’un processus très long engendré par la franc-maçonnerie, directement lié au relâchement des démons pour la fin des temps évoqué par Léon XIII (voir analyses précédentes sur Léon XIII et l’importance du chiffre 13).
La franc-maçonnerie avait réussi à placer son premier pape sur le trône de Saint-Pierre suite au décès de Léon XIII en 1903.
Mais, le cardinal Rampolla nouvellement élu fut évincé grâce à l’intervention de l’empereur François-Joseph d’Autriche qui usa de son droit de veto (privilège réservé à l’Autriche, à la France et à l’Espagne. Évidemment, le droit de veto fut aboli peu de temps après).
Ce qui n’empêcha pas les cardinaux de mettre son buste dans la salle papale en face de la liste des papes décédés avec l’inscription suivante :
« Marianus Rampolla del Tindaro titulaire de Sainte-Cécile (tu Transtevere) étant dévôt du bienheureux Pierre et ayant comme archiprêtre de la basilique offert à cette dernière une splendeur insigne l’Ordre des Chanoines plein de reconnaissance envers ce grand homme perpétue sa mémoire année 1914. »

« Franc-maçon appartenant supérieurs lucifériens (OTO : Ordo Templi Orientis) au service du pape Léon XIII et qui faillit lui succéder en 1903. Par un coup de pouce de la Providence, c’est Saint Pie X qui arriva sur le trône de Saint-Pierre. Son action permit de retarder le développement du modernisme dans l’Église. Cette infiltration, sans oublier les relais au service de Rampolla, on perduré après sa mort… cela a donné Vatican II… » (Pierre Hillard, Archives du Mondialisme, p. 178)
Rampolla fut l’homme d’action dans le domaine spirituel pour détruire l’église et amener l’humanité au nouvel humanisme. Il a échoué à devenir pape pour accélérer le processus, mais son réseau a perduré après sa mort en 1913 pour en venir à l’assimilation de l’Église aux dogmes judéo-maçonniques.
Du côté politique, c’est Josef Hieronim Retinger qui a tenu le rôle pour la construction européenne (organisme maintenant supra-national qui dicte ses lois au pays en faisant partis), prélude nécessaire au nouvel ordre mondial.
Rampolla et Retinger se connaissaient, et s’estimaient.
La tentative Rampolla avait échoué.
Les franc-maçons essayèrent de nouveau en 1958 où le cardinal Siri fut élu pape mais on lui a fait rapidement savoir au conclave, sous menaces, qu’il devait laisser la place au cardinal Roncalli.
« Mes chers amis, le Siège de Pierre et les places d'autorité à Rome étant occupés par des antéchrists, la destruction du Royaume de Notre Seigneur s'effectue rapidement jusque dans Son Corps Mystique ici-bas, notamment par la corruption de la Sainte Messe. qui est à la fois l’expression splendide du triomphe de Notre-Seigneur sur la Croix – Regnavit a Ligno Deus – et la source de l’extension de son royaume sur les âmes et les sociétés. » (MgrLefebvre, un an avant la consécration de quatre évêques pour la Fraternité Saint-Pie X)
Ainsi, la porte était ouverte pour Vatican II et la venue du faux prophète : Bergoglio.
Le faux prophète n’est mentionné qu’à deux occasions dans l’Apocalypse : pour la toute fin des temps, pour la préparation de l’acte final, Armageddon.
« Et je vis sortir de la bouche du dragon, et de la bouche de la bête, et de la bouche du faux prophète, trois esprits impurs, semblables à des grenouilles. Car ce sont des esprits de démons qui font des prodiges, et ils vont vers les rois de toute la terre, afin de les rassembler pour le combat du grand jour du Dieu tout-puissant. Voici que je viens comme un voleur. Heureux celui qui veille et qui garde ses vêtements, pour ne pas aller nu et ne pas laisser voir sa honte !
Et ils les rassemblèrent dans le lieu appelé en hébreu Armaguédon. » (Apocalypse 16, 13-15)
Le dragon, Satan, est accompagné de la bête de la terre (le système antichrist; Nations-Unies, France, Fille Aînée de l'Église converti à la laïcité avec à sa tête Macron) et le faux prophète Bergoglio pour le Vatican, soient les deux Babylone de la prophétie de Jean XXIII.
« Quand les mille ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa prison, et il en sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre extrémités de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour le combat : leur nombre est comme le sable de la mer.
Elles montèrent sur la surface de la terre, et elles cernèrent le camp des saints et la ville bien-aimée ; mais Dieu fit tomber un feu du ciel qui les dévora. Et le diable, leur séducteur, fut jeté dans l'étang de feu et de soufre, où sont la bête et le faux prophète, et ils seront tourmentés jour et nuit aux siècles des siècles. »
(Apocalypse 20, 6-10)
Nous avons eu la preuve depuis 2013, que Bergoglio parle comme un esprit impur, ni oui, ni non, que de l’ambiguïté, ne se fiant aucunement aux dogmes, mais à l’« esprit humaniste », esprit habitant maintenant le synode des synodes, et non, l’Esprit-Saint.
Il est bien celui qui prône l’amalgame de toutes les religions et pour y parvenir prêche l’immigration de masse pour éliminer l’identification culturelle, et surtout l’identification au christianisme catholique.
Il prépare le nouvel ordre mondial avec l’élite judéo-maçonnique dominante, prônant les cessez le feu et la paix mondiale pour arriver à cette fin avec une seule religion humaniste.
«Le pape François a canonisé hier, le 20 octobre, les martyrs de Damas. Dans la nuit du 9 au 10 juillet 1860, dans le cadre de la persécution des chrétiens, des druzes ont pris d’assaut le couvent des franciscains dans la vieille ville de Damas. Ils y ont tué onze chrétiens dont ils se sont emparés : huit franciscains et trois laïcs arabes.
L’Osservatore Romano, le quotidien officiel du pape, a présenté les nouveaux saints sans mentionner pourquoi ils avaient souffert le martyre : Parce qu’ils avaient refusé d’embrasser l’islam. » (benoit-et-moi.fr)
Voilà. On ne froisse pas l'Islam parce qu'elle doit absolument entrer dans le rang (voir analyses précédentes et le pacte d'Abu Dhabi signé par Bergoglio).
Voici ce qu’avait affirmé Albert Pike, le grand prophète luciférien du XIXème siècle : 
« La Troisième Guerre mondiale doit être fomentée en utilisant les divergences que les agents des Illuminatis attiseront entre les Sionistes Politiques et les dirigeants du monde musulman. La guerre doit être menée de telle manière que l’Islam (le monde Arabe y compris la religion de Mahomet) et le Sionisme Politique (y compris l’État d’Israël) se détruisent mutuellement. Dans le même temps, les autres nations une fois de plus divisées entre elles à ce propos, seront forcées de se combattre jusqu’à un état d’épuisement complet, physique, moral, spirituel et économique. » (grandreveilwordpress.com)
C’est exactement ce à quoi nous assistons au Moyen-Orient.
Le prince du mensonge étant orgueilleux, ainsi en est-il du fils spirituel, le faux prophète : Bergoglio sortira une troisième autobiographie en deux ans, confirmant sa volonté d’un testament perpétuel de son pontificat (voir analyses précédentes).
Et ce testament est marqué, comme ce fut prophétisé, par la grande apostasie.
« Mgr Viganò : le « faux prophète » Bergoglio est coupable d’« apostasie totale » (analyse 14 décembre 2023)
« Comme il l’a fait en Hongrie devant les jésuites (« le soutien incroyable au restaurationnisme » est une « maladie nostalgique ».), Bergoglio cite encore Saint Vincent de Lérins, et portant fièrement le chapeau de « faux prophète » de l’Apocalypse, il divise au lieu de rassembler, il égare au lieu de ramener la brebis à la bergerie, il manipule les mots avec sa langue fourchue pour empoisonner l’âme, provoquer le schisme en faisant croire qu’il est le chef de la nouvelle église moderniste, et que tous, doivent être inclus au banquet 
comme l’a dit Jésus. » (analyse 28 août 2023)
Le faux prophète, c'est aussi celui qui cache la vérité pour atteindre l'objectif du dragon.
Pendant qu'on discute au synode des synodes, Bergoglio a créé dix comités qui ont pour mandat de conclure les dix questions non résolues d'octobre 2023. Le rapport lui sera remis en 2025, soit hors synode!
Et le 5ème comité... Obscur...
« Le champ d’action de ce groupe comprend « les questions théologiques et canoniques concernant les formes ministérielles spécifiques » et, en particulier, « la recherche théologique et pastorale sur l’accès des femmes au diaconat ».
Au cours de sa présentation, le cardinal a indiqué aux membres du synode que la possibilité de restaurer le diaconat féminin reste une question ouverte.
Le cardinal a toutefois mis en garde contre une décision « précipitée » qui court-circuiterait le discernement nécessaire sur cette question, ainsi que sur les questions plus générales concernant les ministères féminins dans l’Église catholique.
Dès le départ, cependant, le groupe d’étude n° 5 a été entouré de mystère.
Contrairement aux neuf autres groupes, sa composition n’a toujours pas été révélée. Lors de présentations vidéo spéciales le jour de l’ouverture du synode, des photos ont été montrées des membres de chaque groupe d’étude, à l’exception du groupe n°5.
Au cours des réunions spéciales du 18 octobre, qui avaient été ajoutées au calendrier du synode pour permettre aux délégués de dialoguer avec les responsables de chaque groupe d’étude, la session du groupe d’étude n°5 a été animée par deux jeunes fonctionnaires du Dicastère pour la Doctrine de la Foi du Vatican.
Selon de nombreux participants, ceux-ci ont distribué aux délégués synodaux des feuilles indiquant comment ils pouvaient soumettre leurs commentaires pour le groupe d’étude n°5.... » (benoit-et-moi.fr)
Louis D'Alencourt a toujours affirmé que la mort de l'Église ou des deux témoins arriveraient par l'abolition de la Présence Réelle ou la dilution du sacerdoce:
« les questions théologiques et canoniques concernant les formes ministérielles spécifiques » est exactement un mandat pour diluer le sacerdoce.
Le faux prophète est partie intégrante du 3ème secret de Fatima :
« Voici ce qu’on soupçonne d’être le 3ème secret, reconstitué par Frère Michel de la Trinité au terme d’une étude publiée il y a plus de trente ans (en 1985) !
Tandis qu’au Portugal se conservera toujours le dogme de la foi, dans bien des nations peut-être dans le monde presque entier, la foi se perdra. Les pasteurs de l’Église manqueront gravement aux devoirs de leurs charges. Par leur faute, les âmes consacrées et les fidèles en grand nombre se laisseront séduire par des erreurs pernicieuses partout répandues. Ce sera le temps du combat décisif entre la Vierge et le Démon.  Une vague de désorientation diabolique déferlera sur le monde. Satan s’introduira jusqu’au plus haut sommet de L’Église. Il aveuglera les esprits, il endurcira le cœur des pasteurs. Car Dieu les aura livrés à eux-mêmes en châtiment de leur refus d’obéir aux demandes du Cœur Immaculé de Marie. Ce sera la grande apostasie annoncée pour les derniers temps, le faux agneau, faux prophète trahissant l’Église au profit de la Bête, selon la prophétie de l’Apocalypse. »
Le regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil nous révélait que :
« Bergoglio (le pape François) est sans chiffre parce qu’il est unique, il est à la fois le dernier et le premier. Le dernier pape de l’ex-catholicisme et le premier chef de la nouvelle religion de l’humanité. 
Il est chargé d’accomplir la dernière mutation de l’Église, on pourrait même dire sa mue ; il ne s’agit pas d’une disparition en tant que telle, mais d’une transformation. Elle n’aura même pas besoin de changer de nom, parce que sa requalification en religion de l’humanité constituera de facto la disparition de l’original.
Cependant il subsiste un problème de taille : la messe.
La messe fait tâche d’encre, elle ne colle pas avec ce discours ni son esprit, ni même l’ambiance. Car la messe, même sous sa forme ordinaire (la messe de Paul VI), même dénaturée, est peut-être le dernier lieu, le dernier office, à vénérer ostensiblement Jésus-Christ comme Dieu, malgré leurs efforts pour le diluer dans l’humanisme ambiant. En tous cas, la messe telle qu’elle existe encore -et je rappelle qu’elle constitue l’office principal des catholiques- n’est pas compatible avec cette nouvelle théologie, qui voit Dieu partout, dans toutes les religions, justement parce qu’elle ne lui donne pas son vrai nom : Jésus-Christ. Sauf à la messe.
C’est une incongruité. Une incompatibilité avec la nouvelle théologie du Vatican. En toute logique, elle aurait déjà dû être réformée, adaptée au goût du jour, assaisonnée d’œcuménisme comme tout le reste, pour qu’elle soit compatible avec leur nouveau Dieu, universel et non Trinitaire.
Mais ce n’est pas si simple.
Il faut rappeler que la messe catholique ou orthodoxe est le seul office religieux qui prétende faire venir Dieu en personne sur l’autel à chaque office. Aucune autre religion n’a une telle prétention, personne n’ose prétendre faire venir Dieu sur place et encore moins physiquement (car c’est bien l’objet du miracle de la Transsubstantiation : l’hostie et le vin dans le calice sont les signes visibles d’une Présence divine réelle, par définition invisible puisque Dieu est un pur esprit. D’où leur changement de substance : la Présence Réelle est physique !)
Personne ne le fait parce que cette idée ne peut pas et ne pouvait pas être humaine : seul Dieu pouvait en avoir l’idée et l’instaurer parmi les hommes. Parce que si Dieu ne se rendait pas présent à ce moment-là, la supercherie serait découverte et la religion en question ferait long feu. 
Voilà pourquoi aucune religion, en dehors de nous, ne prend le risque de déclarer faire venir Dieu durant ses célébrations. Si c’était facile à faire, et s’il suffisait de l’affirmer sans preuve, tout le monde le ferait. 
Or personne ne le fait. Même pas les Protestants, parce que le fondateur des protestants, Luther, savait très bien au fond de lui-même, qu’il était un hérétique coupé de la grâce et du soutien divin. 
Pour tromper son monde, il a donc institué à la place de la messe une célébration commémorant la Sainte Cène mais sans Consécration ni miracle de la Transsubstantiation. La messe de Luther n’est qu’une cérémonie où l’on prie Dieu comme dans toutes les autres religions, sans le signe distinctif qui fait le privilège de la seule vraie religion, de la seule agréée par Dieu parce que fondée par Lui, un signe exceptionnel inégalable et inimitable : la Présence Réelle.
Et la garantie de la Présence Réelle est donnée d’une part par l’expérience unique de la vie divine en soi (la véritable spiritualité) et par les innombrables miracles accomplis chez les catholiques seuls. 
Rappelons que le principe des Ex-voto et de la canonisation n’existe que dans le catholicisme et l’orthodoxie. Aucune religion ne nous imite sur ce plan et pour cause : parce qu’aucune ne peut prétendre aux miracles qui prouvent la présence de Dieu. Les plaques de remerciements (Ex-voto) témoignent de ces miracles au quotidien et n’existent que dans nos églises, de même pour les saints, une canonisation ne peut être prononcée qu’après constat avéré d’un ou plusieurs miracles liés au saint. 
Voilà pourquoi les protestants ont abandonné le culte des saints : là aussi, Luther savait très bien que dans sa contrefaçon du christianisme il n’y aurait pas de miracles et donc pas de saints ; pour le masquer, l’astuce a consisté à supprimer le culte des saints.
D’autre part, l’Eucharistie catholique est le principal sacrement qui unit l’homme à Dieu, appliquant à l’homme le mystère de l’union hypostatique effectuée par le divin Maître. Par les sacrements, mais principalement par l’Eucharistie car celui-ci a l’éminente qualité d’être répétitif, Dieu insuffle à l’homme la grâce sanctifiante, et le divinise en s’unissant à la nature humaine, c’est à dire non par le corps mais par l’esprit (c’est le véritable sens du mot spirituel, la vie spirituelle ne peut s’appliquer en réalité qu’aux catholiques en état de grâce et sûrement pas à tout le monde). 
C’est dans notre âme que Dieu habite, c’est notre âme que Dieu nourrit par ses sacrements, principalement l’Eucharistie, faisant de ses enfants des temples du Saint-Esprit selon l’expression de saint Paul.
Voilà pourquoi le Royaume de Dieu n’est pas de ce monde (matériel) mais d’ordre spirituel. C’est par l’âme que Dieu s’unit à l’homme.
Ainsi donc, modifier la messe n’a rien d’anodin. » (grandreveilwordpress.com)
Voilà pourquoi on s’attaque dans les derniers mois à ceux et celles qui pratique la Messe Tridentine. 
Cet obstacle gênant doit être éliminer au plus vite, le temps presse.
Une autre victime?
« ( LifeSiteNews ) — La journaliste du Vatican Diane Montagna rapporte que l'archevêque émérite de Dublin d'Irlande, Diarmuid Martin, et l'archevêque émérite de Tours de France, Bernard-Nicolas Aubertin, ont été sollicités pour effectuer la visite apostolique récemment annoncée par le Vatican à la Fraternité sacerdotale de Saint-Pierre.
Fondée en 1988 pour les prêtres désireux d'offrir la messe latine avec l'accord du Vatican, la FSSP a annoncé cette visite fin septembre dans un communiqué.  
« Cette visite n'a pour origine aucun problème de la Fraternité, mais a pour but de permettre au dicastère de savoir qui nous sommes, comment nous allons et comment nous vivons, afin de nous apporter toute l'aide dont nous pourrions avoir besoin », a dit le groupe. 
L'annonce a été considérée comme un signe inquiétant d'une possible répression de la FSSP par le pape François, alors que de précédentes visites apostoliques de communautés et de membres du clergé à l'esprit traditionnel , notamment Mgr Joseph Strickland, les frères franciscains de l'Immaculée et les Carmélites de Fairfield, l'ont fait …. »
La guerre mené par le faux prophète et ses maîtres judéo-maçonniques a pour but d’éliminer Dieu sur cette terre pour y faire régner Satan comme seul maître.
Louis D’Alencourt (lien ci-haut) :
« Cette guerre ayant démontré une fois de plus l’animosité entre les trois grandes religions monothéistes (chrétiens, juifs et musulmans), les promoteurs du nouvel ordre mondial proposeront la religion mondiale du noachisme via le faux prophète. La religion noachide sera présentée comme celle de la « nouvelle civilisation de l’amour », celle de l’Antéchrist et de son bras droit, le faux prophète. « Le Dieu unique est actuellement adoré sous des formes multiples, au sein de cultes bien différents, mais à l’époque messianique, le monde spirituel verra se réaliser l’unité d’adoration » explique un promoteur de la religion noachide. En somme, une religion universelle et cosmopolite, réunissant tous les hommes devenus enfin frères. Albert Pike est un peu plus clair : ce sera « la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée aux yeux de tous ». »

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