Nos lecteurs savent de quoi il retourne, donc on ne va pas y passer la journée. La démolition du père, ce résistant à l’ordre mondialiste, est concomitante de la poussée progressiste, cette hydre à 7 têtes (c’est pour la symbolique)
Rappel des 7 têtes chimiques sales pour les branleurs du fond de la classe, qui ne font que bavarder : féminisme, homosexualisme (ou hétérophobisme), immigrationisme (ou antiracisme), mercantilisme (ou américanisme), pornocratisme (ça inclut le violisme, la pédophilie et toutes les déviances possibles et inimaginables), antinationalisme (ou mondialisme) et sionisme (ou anticatholicisme, satanisme).
Attention : article interdit aux femmes
Sardine, avec son mari déconstruit, est dans l’air du temps. Peu à peu, les mâles alpha, bêta ou gamma se font prendre dans la toile bien-pensante et se soumettent aux oukases de la tyrannie féministe, qui ne se cache même plus.
- Pour Le Monde, les nouveaux pères n’en font pas assez
« Les gens dans les commentaires ou dans mon entourage ont tendance à défendre mon conjoint. Le sempiternel “t’as de la chance”. Mais c’est la pointe de l’iceberg. Il tend la cuillère au bébé et ça impressionne, mais qui a mixé la purée ? Il fait le dernier kilomètre et on ne voit pas les trente avant », explique la trentenaire, qui regrette ce rapport de force, de l’ordre du travail, au sein du couple.
Ceux qui font des efforts en direction du féminisme, c’est-à-dire qui abandonnent leurs prérogatives masculines, se retrouvent à devoir faire encore plus d’efforts pour devenir des non-hommes, c’est-à-dire des femmes. On s’occupe des enfants ? Il faut faire plus de ménage et de vaisselle. On fait le ménage et la vaisselle en plus des mômes ? il faut faire les courses et rester à la maison, parce que madame travaille. À l’arrivée, une fois que le père est devenu esclave à 100 %, madame prend un amant et quitte l’esclave.
Il faut bien comprendre la psychologie féminine : quand elle tient un moineau, la femme veut en faire un aigle. Et quand elle tient un aigle, elle veut en faire un moineau. Dans les deux cas, elle veut transformer l’homme selon son désir, ou ses besoins très matériels. À l’homme de rester lui-même. Naturellement, un homme qui reste homme va être taxé de violent, d’égoïste, voire d’assassin potentiel. S’il n’obéit pas à la femme, il prend le risque de la voir partir ; or, beaucoup d’hommes n’ont pas assez confiance en eux pour dépasser ce chantage et se dire qu’ils méritent mieux. Il y a pourtant toujours mieux qu’une emmerdeuse ou une féministe, ce qui se rejoint souvent.
L’histoire de la résistance des sorcières selon l’immense historienne Sardine
Un passé glorieux, des femmes « puissantes », des hommes qui les ont brûlées vives, on nage dans le délire victimaire le plus total. L’homme, le père, le mari, le catholique, et maintenant le musulman, c’est l’ennemi à abattre. Or, on parie que si cet homme disparaît, la femme disparaîtra avec lui, et la société s’effondrera. Heureusement, dans ce tintouin, il y a des petits miracles, comme la volte-face d’Adèle Exarchopoulos. Adèle est cette actrice bien-pensante qui a fait un bébé avec le rappeur Doums. Son fils a 7 ans, et elle en est dingue.
« Quand mon fils Ismaël est né, il y a 6 ans, la première chose à laquelle j’ai pensé, c’est : Wouah, donc ma mère m’aime aussi fort que ça ? »
Elle dit même qu’elle est devenue comme sa propre mère, ce qui, pour une féministe avancée, est presque une insulte (cliquez sur l’image pour écouter la repentie) !
Ah, on nous dit dans l’oreillette qu’Adèle a quitté le père de son enfant et qu’elle est amie avec Leïla Bekhti. Ismaël va donc grandir sans papa, avec deux mamans super copines. Selon nos calculs, le petit a toutes les chances de devenir un homme déconstruit. Sardine a gagné. On se couche.
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