Le texte de l’extrait du film :
DÎNER ANDRÉ
Tu vois, je continue de rencontrer ces gens… Je veux dire, euh, il y a seulement quelques jours… J’ai rencontré cet homme que j’admire beaucoup. C’est un physicien suédois. Gustav Bjrnstrand. Et il m’a dit qu’il ne regarde plus la télévision… …il ne lit pas les journaux, et il ne lit pas de magazines.
Il les a complètement coupés de sa vie…… parce qu’il a vraiment l’impression que nous vivons dans une sorte de cauchemar orwellien maintenant… et c’est tout ce que tu entends maintenant contribue à faire de vous un robot.
Et quand j’étais à Findhorn, j’ai rencontré cet extraordinaire expert anglais des arbres…qui avait consacré sa vie pour sauver les arbres. Je reviens tout juste de Washington. faire du lobbying pour sauver les séquoias.
Il a 84 ans, et il voyage toujours avec un sac à dos… parce qu’il ne sait jamais où il sera demain.
Et quand je l’ai rencontré à Findhorn, il m’a dit : « D’où viens-tu ? »
J’ai dit : « New York. » Il a répondu : « Ah, New York. » Oui, c’est un endroit très intéressant. Connaissez-vous beaucoup de New-Yorkais qui n’arrêtent pas de parler sur le fait qu’ils veulent partir, mais ne le font jamais ? »
Et j’ai dit : « Oh, oui. » Et il a dit : « Pourquoi penses-tu qu’ils ne partent pas ? » Je lui ai donné différentes théories banales.
Il a dit : « Oh, je ne pense pas du tout que ce soit ainsi. » Il a dit : « Je pense que New York est le nouveau modèle pour le nouveau camp de concentration… « là où le camp a été construit par les détenus eux-mêmes… « et les détenus sont les gardiens, et ils avoir cette fierté dans cette chose qu’ils ont construite.
« Ils ont construit leur propre prison. « Et donc ils existent dans un état de schizophrénie… « où ils sont tous les deux gardes et les prisonniers.
« Et du coup, ils n’ont plus… ayant été lobotomisé… « la capacité de quitter la prison qu’ils ont faite… …ou même de le voir comme une prison. «
Et puis il est allé dans sa poche, et il a retiré une graine pour un arbre… …et il a dit : « C’est un pin. » Il l’a mis dans ma main et il a dit :
« Évadez-vous avant qu’il ne soit trop tard. » Tu vois, en fait, depuis deux ou trois ans maintenant… Chiquita et moi avons vécu cela très désagréable le sentiment que nous devrions vraiment sortir.
On se sent vraiment juifs en Allemagne à la fin des années 30.
Sors d’ici. Bien sûr, le problème est où aller.
Parce qu’il semble assez évident que le le monde entier va dans la même direction.
Tu vois, je pense que c’est tout à fait possible que les années 1960… …représentait le dernier sursaut de l’être humain avant qu’il ne s’éteigne… …et que c’est le début du reste du futur, maintenant… …et qu’à partir de maintenant il y aura simplement tous ces robots qui se promènent… …ne rien ressentir, rien penser.
Et il ne restera presque plus personne pour leur rappeler… …qu’il existait autrefois une espèce appelé un être humain… …avec des sentiments et des pensées… …et cette histoire et cette mémoire sont en train d’être effacés… …et bientôt plus personne je m’en souviendrai vraiment… …que la vie existait sur la planète.
Maintenant, bien sûr, Bjrnstrand se sent qu’il n’y a vraiment presque aucun espoir… … et que nous sommes probablement revenir à un monde très sauvage… …période de non-loi et terrifiante.
DÎNER ANDRÉ
Tu vois, je continue de rencontrer ces gens… Je veux dire, euh, il y a seulement quelques jours… J’ai rencontré cet homme que j’admire beaucoup. C’est un physicien suédois. Gustav Bjrnstrand. Et il m’a dit qu’il ne regarde plus la télévision… …il ne lit pas les journaux, et il ne lit pas de magazines.
Il les a complètement coupés de sa vie…… parce qu’il a vraiment l’impression que nous vivons dans une sorte de cauchemar orwellien maintenant… et c’est tout ce que tu entends maintenant contribue à faire de vous un robot.
Et quand j’étais à Findhorn, j’ai rencontré cet extraordinaire expert anglais des arbres…qui avait consacré sa vie pour sauver les arbres. Je reviens tout juste de Washington. faire du lobbying pour sauver les séquoias.
Il a 84 ans, et il voyage toujours avec un sac à dos… parce qu’il ne sait jamais où il sera demain.
Et quand je l’ai rencontré à Findhorn, il m’a dit : « D’où viens-tu ? »
J’ai dit : « New York. » Il a répondu : « Ah, New York. » Oui, c’est un endroit très intéressant. Connaissez-vous beaucoup de New-Yorkais qui n’arrêtent pas de parler sur le fait qu’ils veulent partir, mais ne le font jamais ? »
Et j’ai dit : « Oh, oui. » Et il a dit : « Pourquoi penses-tu qu’ils ne partent pas ? » Je lui ai donné différentes théories banales.
Il a dit : « Oh, je ne pense pas du tout que ce soit ainsi. » Il a dit : « Je pense que New York est le nouveau modèle pour le nouveau camp de concentration… « là où le camp a été construit par les détenus eux-mêmes… « et les détenus sont les gardiens, et ils avoir cette fierté dans cette chose qu’ils ont construite.
« Ils ont construit leur propre prison. « Et donc ils existent dans un état de schizophrénie… « où ils sont tous les deux gardes et les prisonniers.
« Et du coup, ils n’ont plus… ayant été lobotomisé… « la capacité de quitter la prison qu’ils ont faite… …ou même de le voir comme une prison. «
Et puis il est allé dans sa poche, et il a retiré une graine pour un arbre… …et il a dit : « C’est un pin. » Il l’a mis dans ma main et il a dit :
« Évadez-vous avant qu’il ne soit trop tard. » Tu vois, en fait, depuis deux ou trois ans maintenant… Chiquita et moi avons vécu cela très désagréable le sentiment que nous devrions vraiment sortir.
On se sent vraiment juifs en Allemagne à la fin des années 30.
Sors d’ici. Bien sûr, le problème est où aller.
Parce qu’il semble assez évident que le le monde entier va dans la même direction.
Tu vois, je pense que c’est tout à fait possible que les années 1960… …représentait le dernier sursaut de l’être humain avant qu’il ne s’éteigne… …et que c’est le début du reste du futur, maintenant… …et qu’à partir de maintenant il y aura simplement tous ces robots qui se promènent… …ne rien ressentir, rien penser.
Et il ne restera presque plus personne pour leur rappeler… …qu’il existait autrefois une espèce appelé un être humain… …avec des sentiments et des pensées… …et cette histoire et cette mémoire sont en train d’être effacés… …et bientôt plus personne je m’en souviendrai vraiment… …que la vie existait sur la planète.
Maintenant, bien sûr, Bjrnstrand se sent qu’il n’y a vraiment presque aucun espoir… … et que nous sommes probablement revenir à un monde très sauvage… …période de non-loi et terrifiante.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire