Ave Maria - G.Caccini

LIBERTÉ, FRATERNITÉ, ÉGALITÉ : LA PSEUDO VICTOIRE DE L’HUMANISME

 La boucle est bouclée.
12 ans après la cérémonie de clôture maçonnique des JO de Londres (voir analyses précédentes : symbolique du phœnix et du virus du Covid : Pierre Hillard), cette ouverture symbolique de la « grande réinitialisation » dont nous entendons parlé depuis plusieurs années, devrait atteindre son apogée tel qu’annoncé par la cérémonie de clôture des JO de Paris.
Le 12, chiffre significatif de la bible, est singé par la franc-maçonnerie, encore une fois.
Rappelons-nous le film catastrophique 2012 suite à la supposée fin du monde du 21 décembre 2012 reliée au calendrier maya.
« 21 décembre : fin du monde
QUI a eu les moyens, la constance et le culot de donner un écho mondial à ce qui fut considéré comme un des plus gros canulars du siècle ? Je veux parler de la fin du monde au 21 décembre 2012.
A partir d’un calendrier maya reconstitué pour l’occasion et complètement bidon -de toute façon invérifiable-, pendant plus de dix ans (!) l’information a tourné en boucle dans le monde entier, suscitant articles de presse, ouvrages en tous genres, émissions de télévision, mouvements survivalistes, et même un film à gros budget.

Franchement, seule cette oligarchie mondiale a les moyens et la possibilité de donner une telle publicité à ce qui apparaîtra comme un non-événement. Vraiment ? Quand on sait qu’un jeune obscur banquier, issu de chez Rothschild (tiens tiens) est bombardé la même année secrétaire général adjoint de l’Elysée et qu’il propulsé comme par miracle à la Présidence du pays cinq ans plus tard, et qu’il est né un 21 décembre, n’importe quel observateur avisé fera le lien entre d’une part cette ascension surprise et la date du 21/12, et d’autre part avec la fameuse oligarchie capable de financer autant le personnage que le joli mythe de la fin du monde. Mais on ne fait pas quelque chose pour rien : les investissements colossaux autour du 21 décembre (le concept comme le personnage) et les risques pris interdisent toute improvisation ni hasard.
C’est très curieux, tout le monde s’en fiche, mais pas les initiés, car ils savent eux, que tout ceci est volontaire.
Après avoir beaucoup travaillé sur le sujet, ce n’est qu’en 2015 que j’ai fini par comprendre le sens réel lié au 21 décembre : cela voulait dire « fin du monde chrétien » ; et donc le rôle joué par Macron, et l’ère inaugurée par le 21 déc 2012, avaient pour but de concrétiser cet objectif, d’où la nomination trois mois après au Vatican de l’homme chargé de réaliser cette destruction ultime de l’Eglise.
J’en ai eu la confirmation en 2023 dans le livre de mémoires de Mgr Georg Gänswein, le secrétaire particulier de Benoît XVI. Rien que le titre du livre annonce la couleur : « Rien d’autre que la vérité« , ce qui veut dire qu’en réalité il va passer son temps à cacher ou déguiser cette vérité. Et ça ne loupe pas, à aucun moment il n’explique ou n’insinue que la démission de Benoît XVI lui aurait été arrachée. Par contre, il nous livre une information incroyable en faisant semblant de la considérer presque comme banale. Voilà ce qu’il écrit page 208 de son livre : « L’idée originale de Benoît XVI était d’annoncer sa démission à la fin de l’audience à la Curie romaine à l’occasion des vœux de Noël, fixée cette année-là au 21 décembre, et de déclarer que le 25 janvier 2013 se conclurait son pontificat. »
Il explique ensuite que ses collaborateurs l’ont dissuadé de ce projet à cause de la proximité de Noël. Mais évidemment !! Ce 21 décembre, présenté comme un jour banal par Gänswein, c’était le fameux 21 décembre 2012 !! Vous imaginez ce qui se serait passé si le pape avait annoncé sa démission ce jour-là ? Tout le monde aurait compris le message subliminal qui se cachait derrière cette fameuse fin du monde : la fin de l’Eglise ! Ce qui prouve que Benoît XVI avait bien compris les projets de nos ennemis, et en choisissant le 21 décembre, il leur coupait l’herbe sous le pied, il révélait le complot, Bergoglio aurait été démasqué avant même d’être nommé.
Notons également que le démon, qui pilote tous ces hommes et ces événements, sait que ces mots cachent une terrible réalité : s’il y a fin de l’Eglise, et surtout fin de son pouvoir spirituel, alors c’est aussi la fin du monde car le règne du Christ ne peut avoir de fin. Oui c’est vrai : détruire l’Eglise c’est provoquer la fin du monde. Voilà pourquoi, je l’ai déjà expliqué, les derniers souverains personnifient les deux Bêtes de l’Apocalypse (qui sont aussi des systèmes) : Emmanuel Macron personnifie la Bête de la terre, le pouvoir politique et médiatique, et Bergoglio personnifie la Bête de la mer, le pouvoir spirituel, l’ensemble formant l’Antéchrist (système), la personnification de l’Antéchrist-personne revenant à la Bête de la mer, donc Bergoglio.
Ceci je l’explique depuis dix ans, mais je commence enfin à voir des auteurs traitant sérieusement Macron ou Bergoglio, ou les deux, d’Antéchrist. Ils auront mis le temps ! » (Louis D'Alencourt, grandreveil.wordpress.com)
Ces jeux olympiques donc, ont été marqués par de multiples références à la révolution française de 1789 qui a contribué à la naissance du monde actuel, apostasié, humaniste, où tous sont égaux dans la miséricorde infinie chère à Bergoglio, et à la gloire du monarque en vue, Macron.
Comme exemple, le parcours du marathon était exactement le chemin choisi par les femmes et hommes marchant vers Versailles en 1789.
L’homme masqué de la cérémonie d'ouverture, donc sans visage, égalitaire, avait fait place au cheval pâle mécanique de l’Apocalypse et à la tragédie de la dernière Cène.
Les nouvelles générations gavées aux jeux vidéos et les « wokes » n’y ont vu que du feu. 
Tout comme à la cérémonie de clôture dont le symbole le plus éloquent fut le « golden voyager» ou le voyageur doré en français.
(voir aussi: « Clôture des JO: ce que les journalistes n'ont pas vu » (benoit-et-moi.fr)
Les faits marquants de cette cérémonie :
Alors que les continents stylisés sur le parterre du stade sont parcourus d’éclairs et de fumée symbolisant la terre en convulsion, prête à renaître, (quoique pour nous on y voit l’enfer), surgit du ciel le voyageur doré au travers de jets lumineux qui forment en partant un pentagramme de Baphomet.
Une fois au sol, il commence une danse macabre, rencontrant Nike, la déesse de la victoire, avant d’être rejoint par d’innombrables démons ou formes humaines boueuses, qui vont excaver l’anneau olympique manquant (il n’y a que quatre anneaux au toit du stade à ce moment là; il manque une pièce du casse-tête; les anneaux représentant le nouveau monde issue de la grande réinitialisation, le monde de « paix » humaniste) pour ensuite le hisser au toit du stade.
Alors le voyageur doré monte au sommet d’une pyramide constituée des démons et célèbre son triomphe au son d’une musique rock.
Cela rappelle drôlement la pyramide avec l'oeil qui voit tout à son sommet, la 33ème marche de l'initiation maçonnique.
Le voyageur doré « atterrit dans un monde désert et mystérieux, prêt à être exploré » confirme le Comité International Olympique (CIO). 
Selon certaines sources, le personnage est un hommage à de nombreuses références du patrimoine historique français, dont l'Esprit de la Bastille, faisant encore une fois référence à la révolution de 1789.
Supposément, l'idée derrière la pièce dystopique est que les Jeux disparaissent avant de renaître.
Selon le concepteur artistique, le voyageur doré atterri sur une terre post-apocalyptique et cherche à reconstituer les vestiges de ce monde qui n'existe plus afin de comprendre qui habitait ce monde.
Quel est le nom du groupe rock français qui a performé à la cérémonie suite à l'élévation finale du voyageur doré?
Phoenix.
Voilà. 
Le lien est clairement établi pour l'initié.
Dans un monde inondé de symboles maçonniques, le voyageur doré est inévitablement une référence au phœnix (voir les multiples références dans les analyses précédentes), renaissant des cendres des continents en convulsions.
Un nouveau monde à l’image des élites mondiales, de Satan.
Outre le lien de Pierre Hillard ci-dessus, rappelons le phœnix du Fonds Monétaire International pour refaire le monde post-covid : 
Doré, comme le voyageur doré.
Puisque Satan singe et que nous savons que l’Antichrist est d’abord et avant tout le système mondial actuel sans Dieu, ce dernier indique la résurrection d’un nouveau système des cendres de l’ancien (le monde christocentrique européen).
Devant des milliards de téléspectateurs.
Voilà.
Mais Dieu a un tout autre plan.
Nous avons eu des aurores encore un fois en ces 11 et 12 août.
Nous avons eu les signes depuis la démission de Benoît XVI (dont la a basilique du Sacré-Cœur de Paris, qui est restée visible comme une cathédrale faite de lumière alors que tout la ville était noyé dans l’obscurité après la cérémonie d’ouverture de JO), comme l’éclair sur le dôme de la basilique Saint-Pierre.
Le dôme qui soudainement dernièrement, est devenu noir.
« Aucun d’entre nous n’oubliera jamais la photographie qui, le 12 février 2013, immédiatement après l’annonce de la démission du pape Benoît XVI, a capturé le moment où la foudre a frappé le sommet de la coupole de Saint-Pierre.
Cette image, devenue un symbole iconique de l’un des événements les plus dramatiques de l’histoire bimillénaire de l’Église, a fait et fait encore l’objet, de la part de nombreux croyants, de commentaires, de réflexions, de craintes et de considérations sur la signification réelle ou présumée de cet événement.
En revanche, du côté des athées-agnostiques, la question a alimenté les sarcasmes de ceux qui y voient le caractère superstitieux, rétrograde et fanatique de nombreux aspects de la foi et de la religion.
Il n’y a pas et il n’y aura jamais de moyen de réconcilier ces positions ; en fait, je dirais que ce serait un exercice stupide et futile que d’essayer de le faire.
Chacun peut voir dans ce tableau ce que son cœur (entendu comme un ensemble plus ou moins cohérent de foi, de scepticisme, de conscience et de convictions) lui suggère. Je pars de là pour donner un sens à ma contribution, pour proposer mon point de vue personnel sur la façon dont parfois des événements et des faits – qu’ils soient apparemment naturels et explicables ou le résultat d’actions humaines conscientes – peuvent représenter ensemble une image qu’un croyant devrait néanmoins ressentir le besoin d’analyser et sur laquelle il devrait réfléchir en profondeur.
Dans ce contexte, c’est précisément la coupole de Michel-Ange, avec la façade de Maderno [Carlo Maderno, 1556-1629, architecte italien; il a réalisé la façade de la Basilique] qui en dissimule partiellement la vue, qui représente une sorte de « théâtre » métaphysique. Un proscenium d’où, ces dernières années, ont pris forme, aux yeux des croyants qui veulent voir au-delà du simple sens concret, des messages inquiétants qui ne sont que trop cohérents avec les phénomènes climatiques que l’Église catholique temporelle est en train de traverser.
J’ai déjà parlé de l’éclair qui a suivi l’annonce de Ratzinger, et qui a précédé d’un mois l’élection de Jorge Mario Bergoglio au trône pontifical. Je voudrais maintenant m’arrêter sur deux autres événements qui, d’une manière différente, semblent confirmer à quel point cette basilique, la plus grande et la plus importante du monde catholique, est devenue une sorte de « centre de communication » dont la governance – et c’est un autre aspect inquiétant de la question – ne peut pas, à mon avis, être clairement identifiée. Mais procédons dans l’ordre.
L’événement dont je vais parler maintenant n’a rien de surnaturel ; il a malheureusement été accouché par un esprit humain, un pontife qui, deux ans et demi plus tôt, avait ravi le monde en se présentant avec ce « bonsoir frères et sœurs » digne du meilleur Mike Bongiorno [sobriquet d’un célèbre présentateur de télévision]. C’était le 8 décembre 2015, fête de l’Immaculée Conception. Je me trouvais ce soir-là sur la place Saint-Pierre. Je ne pouvais pas encore savoir qu’à partir de ce jour, je ne mettrais plus jamais les pieds sous la colonnade du Bernin. 
Le Saint-Siège avait organisé une sorte de spectacle tout en lumières [cf. benoit-et-moi.fr/2015-II/actualite/fiat-lux], en couleurs et en images gigantesques et fantasmagoriques projetées sur la façade de la basilique. On aurait pu s’attendre à une sorte d’allégorie en l’honneur de Marie Immaculée, sur fond des plus importantes musiques composées en son honneur au cours des siècles.
A la place, il s’est passé quelque chose de monstrueux : des images de forêts, d’animaux (certains vraiment horribles), de paysages plus ou moins sauvages. Un sabbat entièrement dédié à la nature et à la faune de notre planète. C’était le nouveau fétiche écologiste auquel le néo-paganisme bergoglien avait consacré sa dernière œuvre littéraire, ce Laudato sì’ anticipant toutes les obscénités catholico-climatiques qu’il allait nous déverser dans les années à venir. Marie, Mère de l’Eglise et notre Avocate, s’est transformée en Mère Terre !
Cette kermesse, qui coïncidait sans vergogne avec la fête de l’Immaculée Conception, était aussi le salut de l’Église catholique à la Conférence mondiale sur le climat qui se tenait ces jours-là dans le « Parigi o cara » de mémoire de Verdi.
Il n’est pas inutile de rappeler qui étaient les concepteurs et les exécutants matériels de ce spectacle indigne (je ne sais pas s’ils ont été payés par le Saint-Siège et combien) : un partenariat entre Vulcan Inc., la LiKa Shing Foundation et Okeanos, en collaboration avec la Ocean Preservation Society et Obscura Digital. . Pour ceux qui ont le temps, il sera très instructif d’en savoir plus sur ces entreprises, organisations et personnalités dont les noms sonnent déjà comme un programme [un début de réponse ici, peut-être: benoit-et-moi.fr/2015-II/actualite/son-et-lumiere-sur-la-façade-de-saint-pierre].
Quelque trois ans après le message subliminal de l’éclair frappant le crucifix de la coupole, revoici la basilique, cette fois par la main de l’homme (mais guidé par qui ?), protagoniste d’un sombre spectacle de mort.
De nombreux croyants de l’époque ont exprimé bruyamment leur étonnement et leur protestation face à cette incroyable imposture. Aucun d’entre eux ne pouvait cependant se douter que ce qui était proposé n’était qu’une petite mise en bouche de ce qui allait arriver quelques années plus tard. En effet, en octobre 2019, le funeste synode d’Amazonie a officialisé l’entrée du paganisme dans l’Église catholique. L’image de la pachamama en procession d’adoration dans l’église Traspontina à Rome a été le symbole iconique de ces jours terribles [dossier ici: www.benoit-et-moi.fr/2020/tag/pachamama].
Et voici le troisième événement, celui qui depuis quelque temps suscite la curiosité (pour certains, l’angoisse) de nombreux Romains et de la multitude de touristes qui affluent chaque jour à Saint-Pierre. Cet événement est à nouveau attribuable, comme la foudre, à un phénomène physico-chimique pour lequel, cependant, personne n’a jusqu’à présent réussi à donner une explication plausible, semble-t-il : la coupole de Saint-Pierre est devenue noire !
Voici comment le corrierediroma.org décrit la situation :
À la fin des travaux [de restauration, Ndlr], le Dôme est apparu nettoyé, blanc (même si certaines parties avaient déjà noirci à cause de la pollution), mais il y a un phénomène qui a frappé (et qui frappe) les yeux des Romains et des autres : les dalles de plomb. La structure a pris une couleur tout à fait inhabituelle dans sa partie courbe. Les dalles sont devenues sombres, comme si elles s’étaient soudainement oxydées. Cette couleur gris clair, typique des coupoles de la Renaissance et du Baroque, qui accompagne le panorama de Rome depuis des siècles, a soudainement disparu de LA coupole par excellence, prenant une couleur, pour l’œil humain, presque noire. Que s’est-il passé ? Il serait intéressant de connaître, par le biais d’un communiqué des services techniques du Vatican, la raison d’un tel « phénomène » qui a radicalement changé la vision traditionnelle de « der Cuppolone« .
Un signe des temps qui changent ? Qui sait si quelqu’un peut répondre à cette question. Il semble que ce soit un processus d’oxydation qui ait affecté la structure, bien que personne, à l’heure actuelle, n’ait été en mesure d’expliquer la cause d’un tel phénomène et la raison pour laquelle il s’est manifesté de la manière et au moment que nous observons.
La dernière question posée par le journaliste est toutefois intéressante. On pourrait en ajouter d’autres : quels sont les temps qui changent ? Dans quelle direction ? Et pourquoi maintenant ? Une chose est sûre : aucun bureau technique, aucun ingénieur expert en structures anciennes ne pourra jamais répondre à ces questions. Pour moi, c’est un message supplémentaire (et inquiétant) que la grande scène 
Michelangelesco-Bernin nous offre depuis une douzaine d’années.
Suis-je, moi aussi, un membre de cette armée dispersée, superstitieuse, fanatique et rétrograde qui se plaint de présences maléfiques et de messages lugubres venant de la Jérusalem souterraine à la Via della Conciliazione ? 
Qui sait ?
Peut-être, face à tout cela, le Poète n’hésiterait-il pas à proclamer : Papa Satàn, Papa Satàn aleppe ! [Premier vers du Chant VII de l’Enfer de Dante]. (benoit-et-moi.fr)
Il ne restera que l'autel prophétisait Anne Catherine Emmerich.
Voilà le message du dôme noir qui confirme le tout.
Il ne restera que la présence réelle malgré la volonté de Bergoglio et son synode.
Cela, nul ne peut y toucher.
Demain, c'est la fête de l'Assomption de Marie.
Un signe puissant en cette fin des temps.
Une tache solaire gigantesque sur le soleil... Une éjection de masse coronale ce matin qui pourrait donner du fil à retordre.
À suivre...

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