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Espagne : les ex-ministres de la santé poursuivis après les décès d’enfants vaccinés Pfizer

 


Si au début de la crise covid, la vaccination a été présentée comme l’outil majeur pour contrer la propagation du virus. Les gouvernements et les agences de santé ont martelé l’efficacité des vaccins, insistant sur la réduction des risques de formes graves et la protection qu’ils offraient. Alors que les symptômes du Covid-19 sont légers sinon inexistants chez les enfants, l’Europe a donné son feu vert pour les injections ARN covid sur les bébés et enfants entre 6 mois et 4 ans. En Espagne, des enfants de 12, 13 et 14 ans sont décédés après avoir reçu des doses du vaccin expérimental Pfizer/BioNTech. Ils n’avaient aucun antécédent médical. Mais ils ont tous connu une mort subite suite à un problème cardiaque. Leurs parents ont alors décidé d’intenter une action en justice contre les anciens ministres de la Santé, Salvador Illa et Carolina Darias. Leur mort soudaine soulève des questions sur la sécurité des vaccins pour les enfants. Cette vaccination des enfants est-elle justifiée en matière de santé publique ? L’acceptation par l’opinion publique d’une telle politique n’est-elle pas le signe d’une orientation idéologique ?  
Le 25 septembre 2023, une nouvelle affaire judiciaire secoue l’Espagne. Trois familles, endeuillées par la perte soudaine de leurs enfants après la vaccination contre la COVID-19, ont décidé de porter plainte contre d’anciens ministres de la santé, Salvador Illa et Carolina Darias. Les enfants, Juan José Quiró-3pez, Marvellous Ounanefe Johnson Andrews et Daniel Herce Rodriguez, âgés respectivement de 12, 13 et 14 ans, sont décédés de manière inattendue après avoir reçu des doses des lots controversés de la préparation expérimentale Pfizer/BioNTech. A cause des effets indésirables de la vaccination covid, nombreuses familles ne sont pas prêtes à vacciner leurs enfants. En effets, les effets indésirables de la vaccination Covid pour les enfants (comme chez les adultes) sont particulièrement à risque, les autorités sanitaires ont pourtant accéléré cette politique sanitaire mortifère qui repose sur le déni de réalité. 


Mort subite après la vaccination 

Juan José Quiros Lopez, Marvelous Ounanefe Johnson Andrews et Daniel Herce Rodriguez avaient respectivement 12, 13 et 14 ans. Ils étaient en excellente santé d’après leurs parents. Aucun d’entre eux ne présentait un antécédent médical. Mais, ils sont tous décédés après avoir reçu une injection Cominarty de Pfizer/BioNTech. 

Daniel Rodriguez a reçu le lot FG7898 de l’injection expérimentale qui a été associé à plusieurs effets indésirables. Selon ses parents, il est décédé subitement sur le canapé. « Je pensais qu’il s’était endormi, mais ensuite il n’a pas voulu se lever », a raconté sa mère. Mais en réalité, le garçon est décédé. 

Marvelous et Juan José ont en revanche reçu le lot FG9428 de Pfizer/BioNTech. L’un s’est effondré pendant une partie de football, tandis que l’autre est décédé dans la cour de l’école. 

Les parents de ces trois adolescents ont décidé de porter plainte contre les anciens ministres de la Santé Salvador Illa et Carolina Darias pour « homicide par négligence grave, manipulation génétique, menaces, coercition, mise en danger de la santé publique, tromperie, abus de pouvoir et violation de l’intégrité morale avec atteinte à la vie ». Notons que les parents ont bénéficié de l’aide de l’équipe juridique de l’association de défense des droits humains Liberum lors de ce procès. 

Ils accusent les anciens ministres d’avoir autorisé et promu l’utilisation de vaccins expérimentaux sans prendre en compte les risques potentiels pour la santé des enfants.

Des études en défaveur de la vaccination des jeunes

Les parents affirment que leurs enfants étaient “complètement en bonne santé” avant la vaccination. Cependant, les autorités sanitaires ont tenté de classer ces décès comme naturels, refusant d’envisager un lien avec les vaccins. “Nous voulons que justice soit faite et que d’autres parents suivent notre plainte”, ont-ils déclaré au portail The Objective

Selon l’autopsie, Juan José et Marvelous sont décédés suite à une cardiopathie hypertrophique. Il s’agit d’un épaississement du muscle cardiaque. Quant à Daniel, il est décédé suite à une arythmie cardiaque. 

Sous la pression de Liberum, l’Agence espagnole des médicaments AEMPS a publié des données sur les effets indésirables de quelques lots de ces injections expérimentales. L’AEMPS a révélé que 14 lots de vaccins contre la COVID-19 avaient causé 200 décès en Espagne. 

Daniel, Marvelous et Juan José n’étaient pas les seuls à avoir subi un tel sort. D’autres effets secondaires graves du vaccin expérimental ont été aussi signalés. L’un des plaignants était devenu aveugle tandis que l’autre a perdu la mobilité de ses jambes. Les trois couples de parents demandent à ce que « justice soit rendue ». Ils espèrent aussi que d’autres parents ayant subi la même tragédie se joignent à eux dans ce procès. 

Aux Etats-Unis, selon le journal The leadingreport, le CDC américain a publié sous couverture un rapport cinglant. D’après ce rapport, les vaccins ont causé le décès de milliers d’enfants et de jeunes adultes aux États-Unis alors qu’ils étaient conçus initialement pour leur offrir une protection contre les hospitalisations et le décès. 

Malgré toutes ces études et ces constats, pour la saison automne/hiver, le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’Agence européenne des médicaments (EMA) a dernièrement donné un avis favorable à l’administration du vaccin mis à jour de Pfizer à tous les individus de 6 mois et plus. Les autorités sanitaires européennes préfèrent fermer les yeux : les commandes avec Pfizer sont passées et continueront à l’être.
 

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