Ave Maria - G.Caccini

Fable dualiste qui n’amusera pas grand monde (?!) ou fera rire jaune certains

 

Buse zinzin de la maladie

Nous ne pouvons que suggérer en fin de texte le « sans-duel », Advaïta, et le « sans-moi », Anâtman, réservés à ceux qui sont capables, après éveil de l’Intuition Métaphysique, la Connaissance Transcendante, d’opérer une investigation soutenue au cours d’une ascèse (s’exercer) réfléchie et tranquille, au-delà de l’intellect limité, nous l’avons dit, qui ne peut résoudre seul l’équation Y = 0. Quand le spectateur s’éveille au fait que le spectacle est absurde et ridicule, alors, absorbé par le RIEN il disparaît de la scène de théâtre sur l’écran blanc. Les plaisanteries mondaines et profanes dans ces jeux du cirque de l’existence cessent enfin.

Une catastrophe programmée depuis des décennies, d’une forte intensité sur l’échelle de riches terres en tremblements « anti-sanitaires », arriva brusquement début 2020


Satan, empereur des menteurs, s’était déguisé à Paris en une démone sinistre, curieuse buze zinzin de la maladie, bru d’une fiel Simone, pour annoncer un fallacieux non-événement qui « cachait » totalement aux gens son but final maintenant dévoilé, celui de fomenter une dépopulation au moyen d’une arme injectable doublement physique et psychologique.

Les humains terrorisés se ruèrent sur leurs TV et leurs radios qui, matin et soir, soir et matin, diffusaient en boucle leurs propagandes éhontées par des serpillères souillées, achetées car fort bien payées depuis leur « pacs » avec le diable. 

Des toubibs-tirelires d’avidité jouissaient. Sans aucun état d’âme, puisque sans âme, ils offraient aux masses apeurées, du bout de fléchettes affûtées, un nouveau poison non-certifié, vers les pompes funèbres agréées. Des apothicaires poudrés par la blanche, mais pas colombe, fournissaient leurs camelotes emmaillotées, mystérieusement encapsulées, vaticanisées et bénies par une camorra mondialisée et alliée à un Romain nommé « El Papé ».

La fléchette dégoupillée, fourguée d’un drone canonisé, genre foutaise-en-ski, faisait la joie du patient qui se mettait à chanter : 

« Merci Necron, merci Necron, nous sommes heureux de travailler pour vous, on est heureux comme des fous, ce que vous faites ici-bas, un jour, Dieu vous le rendra … » …

… puis il clamait : 

« On ira tous au paradis, c’est promis, nous faire p(n)iquer et rep(n)iquer, toute la famille au grand complet, cousins, cousines, neveux et nièces, Papy, Mamie, Papa, Maman, petitsenfants, la Bonne et moi (au moins trois fois, car on aime ça), Tonton, Tatie, aussi le chien, aussi le chat … » … « Puis, on ira au cinéma et au restaurant de Gégé pour son cassoulet renommé ». « On rentrera par le cimetière voir s’il reste de la lumière ».

Des sceptiques qui doutaient, pauvres imprudents qu’ils étaient, osaient poser des questions. Alors, la censure « Yawohl herr major » surgissait au pas de l’oie leur casser le reste des dents. 

Deux moribonds post-injectés se disputaient un cercueil d’un bois rare, très cher aussi. L’un d’entre eux voulait qu’on y place ses dernières économies à dépenser au paradis pour une divine comédie, une ultime surprise partie avec St Truc ou St Machin, St Boutentrain. Les funérailles s’accumulaient. Les pompes funèbres du son d’un gong très excité, en un seul orchestre trompétaient, puis orgasmaient à l’unisson de tout ce pognon qui pleuvait.

Les familles n’oubliaient jamais de se rendre chez le banquier, vérifier si rien n’y manquait. Puis venait l’instant du notaire, parfois joyeux, parfois amère. Curieusement, telles des mouches assommées, tombées sur le carreau, de vie à trépas elles passaient après les pics-pics des margoulins qui veulent à autrui tant de bien.

« Enterrements et oraisons » était la nouvelle chanson en vogue dans les institutions qui riaient avec Satan, aux pas cadencés et rythmés, d’un geste singulier, le bras droit tendu relevé.

Salauski, Necronus, leurs Maquerelles, s’égosillaient au rythme de l’hymne des fous.

Les arnaques financées par les maffieux du clan Satan au sein des églises infiltrées, se succédaient allègrement : pics-pics, supercherie climatique, épandages connus dans le ciel d’aérosols de métaux lourds mal connus, perturbateurs endocriniens dans les environnements, empoisonnements de sols fertiles, escroquerie du CO2 si nécessaire aux végétaux, adultes infantiles désaxés, genrés manipulés, « attentats à la vie », enfants maltraités et bloqués dans leur puberté, extorsions des consentements, dérèglements des ciboulots surtout de nos gigolos, démentiels-timbrés pas rigolos, sectaires formatés, monstres cinglés par magie noire et crétineries digitales, propagandistes dégénérés dont la mort est déjà programmée !

Tandis que le tartuffe inverti, psychotique pervers narcissique, très kriffé à la meute maffia, triste sire d’une enfance perturbée, « l’bobo de Paris », nouveau Barabbas maudit, lui, dansait la Salsa du Démon avec sa sorcière Draculée, sinistrée de la cage aux folles, sans humour, rides cachées, toute grimée « genre ch’tit-j.mi flétri ».

Les citoyens qui doutaient ou mieux ceux qui comprenaient, attendaient la sortie du film primé au festival des horreurs, des « cannes » et des « canards » meurtris, sans têtes, décérébrés : « six pieds sous terre au cimetière ».

Pendant ce temps, Dieu jouait pile et Satan de face préparait la seconde partie de cette monstrueuse tragédie d’une série qui faisait « FURHER » auprès des téléspectateurs.

Au camp de vacances « les barbelés joyeux » d’un bord de mer très convoité pour son gaz et pour son pétrole, résidaient des survivants dont des enfants sans leurs parents, pendant que des phoques otanesques et des otaries ahuries ratissaient large dans les crémeries du reste des chancelleries.

Déterminé à inclure ses coups bas aux joujoux de Paris 24 pour les infantiles abrutis, du sein des probabilités Satan s’apprêtait à créer de nouveaux mythes alambiqués, pour occuper l’humanité, les anciens étant périmés.

D’autres poisons bien emballés, par millions de doses réservées à des cheptels hypnotisés, arrivaient à peine à Roissy que déjà le champagne à flot coulait à la place Beauvau où Satan par son dard malin avait infiltré ses monstres vendus à des sinistres reconnus.

Question : Que faire ? 

Réponse : RIEN.
WU WEI en Chinois signifie : « Rien faire ». « Faire rien » est une erreur. RIEN FAIRE est serein. Les destins suivent leur chemin : Fata viam inveniunt. 

Question : Mais si tout le monde fait comme vous, le monde va s’arrêter ? 

Réponse : En ce qui me concerne, je n’y vois aucun inconvénient. 

Rassurez-vous, ce n’est pas la veille ! 

Autre chose : savez-vous que le mot « folie » signifie « enfler, être enflé » et que le mot « fou » du latin « follis » signifie « sac rempli d’air » ? Comme dit le langage populaire : « Quelles bandes d’enflures ! », drôlement « gonflés » ces types-là ! 
 

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