30 mai
LE SIGNE DE JONAS? (partie I)
LE signe.
Qui, actuellement, a la faculté de reconnaître le signe?
Nous savons que le Vatican élabore une nouvelle messe œcuménique qui aura pour conséquence de faire disparaître la présence réelle, du moins, c’est l’intention mais nous savons que c’est impossible.
Mais, dans notre monde déchristianisé, qui est-ce que cela intéresse?
Pourtant, la messe demeure au cœur du sujet au Vatican.
Pourquoi?
Parce c'est la dernière étape du plan de destruction établi par la synagogue de Satan depuis longtemps.
Pendant que le monde s’apostasie, la synagogue croit encore au spirituel, car il domine le politique.
Cette dernière a établi son emprise sur le temporel grâce à la finance, les magouilles, aux accords de Latran, et à Vatican II: en effet, la puissance de la synagogue de Satan s’étend sur tous les peuples, toutes les nations, tous les continents, et sur le Vatican avec Bergoglio qui met la touche finale!
LE signe.
Qui, actuellement, a la faculté de reconnaître le signe?
Nous savons que le Vatican élabore une nouvelle messe œcuménique qui aura pour conséquence de faire disparaître la présence réelle, du moins, c’est l’intention mais nous savons que c’est impossible.
Mais, dans notre monde déchristianisé, qui est-ce que cela intéresse?
Pourtant, la messe demeure au cœur du sujet au Vatican.
Pourquoi?
Parce c'est la dernière étape du plan de destruction établi par la synagogue de Satan depuis longtemps.
Pendant que le monde s’apostasie, la synagogue croit encore au spirituel, car il domine le politique.
Cette dernière a établi son emprise sur le temporel grâce à la finance, les magouilles, aux accords de Latran, et à Vatican II: en effet, la puissance de la synagogue de Satan s’étend sur tous les peuples, toutes les nations, tous les continents, et sur le Vatican avec Bergoglio qui met la touche finale!
Alors que c’est le Christ qui devrait être au centre de nos sociétés tel qu’il l’a demandé aux apôtres en leur disant d’aller baptiser et convertir les païens.
Quant au spirituel, la synagogue se considère comme le seul peuple prêtre valable entre les hommes et Dieu.
D’où les notions de rédemption et de paix: seul ce peuple peut sauver le monde et lui garantir la paix.
Mais pour avoir la paix, il faut avant avoir la guerre.
C’est le scénario auquel nous avons droit maintenant.
Et, ce pouvoir spirituel de la synagogue doit être reconnu par tous.
Tous.
Mais il reste un obstacle pour fouler Rome aux pieds définitivement : la messe et la présence réelle.
Voici le contexte dans lequel nous attendons, nous chrétiens éveillés, le signe qui nous sera donné.
Mais quel signe?
NSJC a été très clair.
Nous n’aurons que le signe de Jonas!
En rappel, voici ce que Luc (11, 29) a rapporté dans son Évangile :
« Le peuple s'amassant en foules, il se mit à dire : " Cette génération est une génération méchante ; elle demande un signe, et il ne lui en sera point donné d'autre que celui du prophète Jonas.
Car, de même que Jonas fut un signe pour les Ninivites, ainsi le Fils de l'homme sera un signe pour cette génération.
La reine du Midi se lèvera, au jour du jugement, avec les hommes de cette génération, et les condamnera, parce qu'elle est venue des extrémités de la terre entendre la sagesse de Salomon : et il y a ici plus que Salomon.
Les hommes de Ninive se lèveront, au jour du jugement, avec cette génération et la condamneront, parce qu'ils ont fait pénitence à la prédication de Jonas ; et il y a ici plus que Jonas. »
Si on recoupe avec l’Évangile de Matthieu, nous constatons qu’il y a deux parties à la prophétie de Jésus :
- Ses trois jours au tombeau avant sa résurrection.
- Le jugement pour cette « génération », c’est à dire, pour la génération chrétienne qui a eu pour mission d’évangéliser le monde lorsque le « peuple élu » a perdu ce droit en ne reconnaissant pas le Christ.
La reine de Saba, païenne égyptienne adorant multiples divinités, a été converti au seul Dieu par Salomon.
Les hommes de Ninive, se sont CONVERTIS à la suite de l’avertissement de Jonas.
Puisque aujourd’hui les valeurs sont inversées, avec la grande apostasie et le retour à tout ce qui se termine en «isme», les chrétiens actuels fidèles, les DEUX TÉMOINS de l’Apocalypse (ceux fidèles à la Loi et aux Prophètes, la tradition, le dogme) ont le droit de condamner ce qui se trame contre la chrétienté, même au Vatican.
D’ailleurs, Saint-Jean dans l’Apocalypse donne le même commandement que le Christ : sortez de Babylone!
L’Église vit sa Passion comme le Christ l’a vécu.
C’est pourquoi le signe de Jonas s’adresse à nous en cette fin des temps, pour le Jugement final, comme il s’adressait aux pharisiens et aux scribes au temps de Jésus.
Et, nous avons peut-être eu ce signe dernièrement…
Du moins, il faut considérer le fait parce que des indices pointent en cette direction.
Comme introduction, la pensée du vaticaniste Roberto de Mattei relayé par (benoit-et-moi.fr) cette semaine :
« Dans l’Antiquité et au Moyen-Âge chrétien, on scrutait le ciel pour connaître le sens des événements extraordinaires, comme les mages lors de l’apparition de l’étoile comète annonçant la naissance du Sauveur. Et lorsque Jésus mourut sur le Calvaire, le ciel s’obscurcit et la terre trembla (Mt 27, 45-51). Il était en effet normal, commentent les Pères de l’Église, que les ténèbres tombent sur la terre au moment où était crucifié celui qui était venu apporter la lumière au monde.
À Fatima, en juillet 1917, la Vierge a révélé aux trois bergers que le châtiment qui frapperait l’humanité si elle ne répondait pas à ses demandes serait anticipé par un grand signe du ciel: « Lorsque vous verrez une nuit illuminée par une lumière inconnue, sachez que c’est le grand signe que Dieu vous donne qu’il se prépare à punir le monde pour ses crimes, au moyen de la guerre, de la famine et de la persécution de l’Église et du Saint-Père» .
La Seconde Guerre mondiale, qui éclate le 1er septembre 1939, est précédée de deux aurores boréales, les 25 et 26 janvier 1938 et le 23 août 1939. Sœur Lucie, dans l’institut de Santa Dorotea à Tuy, en Espagne, où elle séjournait alors, semblait identifier l’aurore boréale de 1938 au « grand signe » prophétisé par Notre-Dame. »
Retenez ceci : il y a eu deux séries d’aurores en janvier 1938 et août 1939.
Le regretté Louis D’Alencourt, du Grand Réveil, considérait que les aurores indiquaient le début de la guerre ouverte contre l’Église.
Donc, cette guerre a commencé réellement en 1939 sous le règne du pape Pie XII, le dernier pape prédestiné ne marchant pas main dans la main avec la franc-maçonnerie, consacré évêque le 13 mai 1917 par le pape Benoît XV, le jour du début des apparitions de Fatima!
Et, cet extrait de la prophétie de Jean XXIII de l’église No 4: Pie XII , nous confirme le tout :
« ... Sur des croix feintes et dans des prétendues Églises, beaucoup parleront au nom d'un pouvoir mesquin. Les chiens courront à Rome et la Mère sera liée aux branches de la croix. Celui qui ne prendra pas les armes devra se cacher. Et les soi-disant fils s'empareront du troupeau. »
C’est l’annonce de la prise du troupeau par les idées des lumières et de Vatican II.
Qui a initié Vatican II?
On pense aussitôt à Jean XXIII, mais c’est Pie XII sous la pression de certains cardinaux. Pie XII voyant le danger des tentacules maçonniques s’infiltrer au Vatican, a reculé et a mis le projet sur la glace.
Prophétie de l’église concernant Jean XXIII , son successeur :
« Et dans les papiers du Père mort il trouvera le projet pour rassembler les bergers et parler au troupeau. Il osera l'inosé. Il se trompera, mais ce sera un bien.
Il voudra connaître le monde et le faire connaître avec ses yeux aux simples. Le scandale arrivera mais tous comprendront. »
Voici deux références qui confirment que Pie XII avait eu l’idée du concile mais dans sa grande sagesse l’avait abandonné afin de ne pas créer de schisme.
« Tout de même honnête, Peter Hebbletwhaite rappelle que c’est Mgr Ruffini qui en a eu l’idée en 1939, avant même d’être cardinal, mais Pie XII ne s’y arrêta pas. Devenu archevêque de Palerme, il revint à la charge en 1948, avec le soutien du cardinal Ottaviani, dans le but d’obtenir la condamnation des erreurs modernes ; cette fois, le Pape en ordonna la préparation secrète. Mais Pie XII abandonna quelques mois plus tard, lorsque les réactions des prélats consultés laissèrent entrevoir de grandes divisions au sein de l’épiscopat. Finalement, au dernier conclave, les deux cardinaux s’adressèrent à celui vers qui le vote s’orientait.
Le 30 octobre 1958, donc deux jours après son élection, Jean XXIII en parla à son secrétaire et se fit apporter les archives de la préparation de 1948. Après en avoir pris connaissance, il résolut que son concile se ferait dans un tout autre esprit : son objectif principal serait pastoral et non pas doctrinal, il fallait répondre aux besoins nouveaux de l’Église et du monde. Sa décision est définitivement arrêtée le 28 novembre. » (crc-resurrection.org)
« Ce dernier chapitre traite du pape Pie XII en tant que précurseur du Concile Vatican II, et commence par aborder les relations préconciliaires entre Pacelli et les deux futurs papes du Concile, Jean XXIII et Paul VI, comme pour fixer une ligne de continuité. » (erudit.org)
Avec Vatican II à l’horizon, l’église commence le dernier droit vers la conversion à l’humanisme.
Pie XII sentant le danger à l’interne, répond avec l’encyclique « Humani Generis », la « Famille Humaine » qu’il voit en péril, se tournant vers Satan.
« Humani generis est l’encyclique pontificale de Pie XII promulguée le 12 août 1950. Elle concerne les « opinions et erreurs modernes menaçant de miner les fondements de la doctrine catholique. Elle s'oppose notamment à la Nouvelle Théologie. » (wikipedia)
Pie XII :
« Supposons que le communisme soit l’un des instruments de subversion les plus évidents utilisés contre l’Église et les Traditions de la Révélation Divine. Nous verrons alors la contamination de tout ce qui est spirituel : philosophie, science, droit, enseignement, arts, médias, littérature, théâtre et religion.
Je m’inquiète des confidences de la Vierge à la petite Lucie de Fatima. Cette insistance de la Bonne Dame sur les dangers qui menacent l’Église est une mise en garde divine contre le suicide qui représente une altération de la Foi dans sa liturgie, sa théologie et son âme.
Je sens autour de moi que les innovateurs veulent démanteler la Sainte Chapelle, détruire la flamme universelle de l’Église, rejeter ses ornements et la rendre coupable de son passé historique. Ici, je suis convaincu que l’Église de Pierre devra se réapproprier son passé, sinon son propre tombeau sera fouillé.
Je mènerai ce combat de toutes mes forces à l’intérieur de l’Église, comme à l’extérieur, même si les forces du mal peuvent un jour profiter de ma personne, de mes actes ou de mes écrits, comme on le sent aujourd’hui déformer l’histoire de l’église. Toutes les hérésies humaines qui altèrent la Parole de Dieu sont faites pour apparaître meilleures qu’elle.
Il viendra un jour où le monde civilisé reniera son Dieu, où l’Église doutera comme Pierre a douté. Il sera alors tenté de croire que l’homme est devenu Dieu, que son Fils n’est qu’un symbole, une philosophie comme tant d’autres. Dans les églises, les chrétiens chercheront en vain la lampe rouge où Jésus les attend ; comme le pécheur en larmes devant le tombeau vide, ils crieront : « Où l’ont-ils emmené ? ».
Ce sera alors que des prêtres d’Afrique, d’Asie, des Amériques – ceux formés dans les séminaires missionnaires – se lèveront et diront et proclameront que le « pain de vie » n’est pas un pain ordinaire, que la Mère de Dieu-homme n’est pas une mère comme beaucoup d’autres. Et ils seront déchirés pour avoir témoigné que le christianisme n’est pas une religion comme les autres, puisque son chef est le Fils de Dieu et que l’Église (catholique) est son Église ». » (itreamoribianchi-araldidelvangelo.com)
Pie XII ne pouvait pas si bien l’affirmer : apostasie, valeurs inversées, d’innombrables motu proprio de Bergoglio, dont Fiducia Supplicans qui a fait déborder le vase : toute l’Afrique s’est refusé à ce dernier acte.
L’église s’est bien sabordée de l’intérieur comme il était prévu.
Les aurores de 1938/1939 indiquaient le début du dernier droit de la guerre contre l’Église.
Les aurores de 2024 indiquent la fin du calvaire de l’Église.
À suivre...
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