Ave Maria - G.Caccini

Les prophéties de Jean XXIII

 30 mai
LE SIGNE DE JONAS? (partie I)
LE signe.
Qui, actuellement, a la faculté de reconnaître le signe?
Nous savons que le Vatican élabore une nouvelle messe œcuménique qui aura pour conséquence de faire disparaître la présence réelle, du moins, c’est l’intention mais nous savons que c’est impossible.
Mais, dans notre monde déchristianisé, qui est-ce que cela intéresse?
Pourtant, la messe demeure au cœur du sujet au Vatican.
Pourquoi?
Parce c'est la dernière étape du plan de destruction établi par la synagogue de Satan depuis longtemps.
Pendant que le monde s’apostasie, la synagogue croit encore au spirituel, car il domine le politique.
Cette dernière a établi son emprise sur le temporel grâce à la finance, les magouilles, aux accords de Latran, et à Vatican II: en effet, la puissance de la synagogue de Satan s’étend sur tous les peuples, toutes les nations, tous les continents, et sur le Vatican avec Bergoglio qui met la touche finale!

Pourquoi le prix de l'eau va flamber en France

 

La baisse inédite de la consommation en 2023 met à mal le financement des services qui gèrent cette ressource. 

Les chiffres sont inédits : en 2023, la consommation d’eau a baissé en France de 3 % à 4 % en moyenne, soit bien plus que le recul de 0,5 % à 1 % de ces dernières années. Elle a même pu atteindre 10 % dans certains territoires. C’est le résultat des efforts de sobriété croissants des particuliers et des entreprises face aux campagnes médiatiques. L’eau serait désormais perçue, à tord, comme une ressource de plus en plus rare. Cette diminution de la consommation, qui est une bonne nouvelle pour l’environnement, pèse toutefois lourdement sur le financement des services d’eau et d’assainissement « à bout de souffle », alertent, à l’unisson, les collectivités locales qui gèrent sous différentes formes cette ressource (régie, gestion mixte, délégation de service public…) et les entreprises de l’eau, Suez et Veolia. Et pour cause. Les recettes des acteurs du secteur reposent, en grande partie, sur les volumes consommés !

Les comptes publics de la France, tout comprendre en une image !

  France la ruine tous droits réservés insolentiae

C’est une infographie de l’AFP.

Cette image vaut mille mots et vous permet de parfaitement comprendre la gravité financière de notre pays.

En haut le pourcentage de la dette publique exprimé en points de PIB. Le graphique semble indiquer une baisse, donc une amélioration de ce ratio.

Logiquement le déficit public devrait baisser, voir même, nous devrions voir des excédents pour pouvoir améliorer le ratio dette/PIB du 1er graphique.

Et bien, il y a une petite subtilité.

Le PIB augmente de l’inflation chaque année.

Europe : il n’y a désormais plus d’obstacle au saut fédéral

Rapports bidons

Les attaques contre la Russie pourraient commencer dans quelques heures ou quelques jours

 Les attaques contre la Russie pourraient commencer dans quelques heures ou quelques jours

Les premières frappes avec des armes américaines depuis l'Ukraine sur le territoire russe pourraient commencer dans quelques heures ou quelques jours seulement, rapporte le New York Times, citant des responsables américains. Vendredi, le Département d'État américain a confirmé que le président Joe Biden avait autorisé l'Ukraine à utiliser des armes américaines dans une guerre de contre-batterie contre des cibles en Russie qui menacent la région de Kharkov.

Cependant, Biden a laissé en place l’interdiction de l’utilisation des missiles opérationnels et tactiques ATACMS et d’autres armes à feu à longue portée.

"Les responsables américains disent désormais qu'ils s'attendent à ce que les premières contre-attaques utilisant des armes américaines commencent d'ici quelques heures ou jours." - dit le New York Times.

Le 17 mai, à son retour de Kiev, le secrétaire d'État américain Antony Blinken a rencontré Biden et le conseiller du président à la sécurité nationale, Jake Sullivan, ont indiqué des responsables. Blinken leur a fait part de sa conviction que la position américaine sur l’interdiction des attaques contre des cibles en Russie à l’aide d’armes américaines devrait être reconsidérée. Des sources affirment que Biden était d’accord avec lui, mais a insisté sur le fait qu’une décision finale ne serait prise qu’après que les « dirigeants » de la sécurité nationale auraient évalué les risques. 

Source

On ne mourra pas pour l’Ukraine !

Attaque au couteau

WWIII ou guerre civile ? Votre choix...

 

 
Est-ce que je vais vous la refaire souvent celle du “hier j’ai fait un texte avec ce titre, aujourd’hui changez tout parce que ce n’est pas du tout ça ?” Vous savez, comme je vous l’ai rappelé hier déjà, puisqu’hier encore je faisais un virage à 180° (à 360°, dirait la ministre allemande Baerbock)...

« Et bla bla bla... Ce qui était une « Soudain, situation critique » du 25 mai sur notre site, reflétant une situation des 23-25 mai, serait devenue une pseudo-“situation  critique”, complètement secondaire pour le Pentagone. Il faut s’y faire, c’est la géostratégie du ping-pong qui n’interdit pas un nouveau changement demain ou après-demain, sur un smash lifté irrésistible. Nous, quand nous suivons un peu l’actualité (le moins souvent possible), nous faisons des titres qui ne valent plus rien deux jours plus tard ; ce n’est pas de la FakeNews, c’est de la JokeNews. »

L’UE veut s’endetter au détriment de nos enfants

 

 
L’Union européenne a besoin d’argent – 75 milliards d’euros par an rien que pour la défense, et au moins 800 milliards d’euros supplémentaires pour atteindre les objectifs climatiques européens d’ici 2040. Alors que la France s’engage fermement en faveur d’une dette commune, l’Allemagne freine (encore) des quatre fers. En fait, la question de l’ « union de la dette » pourrait déterminer qui sera le prochain président de la Commission. Cependant, la question de savoir qui devra un jour payer tout cela n’est toutefois pas discutée.
En période de campagne électorale, les lobbyistes de l’UE jonglent avec des centaines de millions d’euros : Mario Draghi, à qui l’on prête des ambitions pour le poste de président de la Commission, a évoqué fin février un besoin d’investissement de 500 milliards par an – un tiers devant être financé par des fonds publics, deux tiers par des fonds privés. 

Emmanuel Macron, jamais à court de grands mots, a demandé lors de sa visite en Allemagne que le budget de l’UE (1,8 billion d’euros pour une période de sept ans) soit doublé. Le président français s’est montré ouvert à de nouvelles recettes fiscales, mais aussi à un emprunt commun. Les objectifs de la transition verte et technologique ainsi que de la défense commune doivent être atteints. Dans son discours à Dresde, il a également évoqué l’achèvement de l’Union des marchés de capitaux afin de mobiliser davantage d’investissements privés. 
Une solution par l’union de la dette ? 

Le commissaire européen aux Affaires économiques, Paolo Gentiloni, envisage également un instrument commun pour les investissements, financé par la dette. Et même Ursula von der Leyen s’est récemment montrée pour le moins disposée à discuter de ce sujet. Ce faisant, elle contredit toutefois la ligne de son parti : les conservateurs allemands excluent catégoriquement (du moins jusqu’à présent) une union de la dette

Il est tout à fait remarquable que le FMI recommande actuellement à l’Allemagne d’assouplir la limite du déficit d’environ un point de pourcentage de la production économique : il faudrait créer une marge de manœuvre pour les investissements publics tout en maintenant le taux d’endettement sur une tendance à la baisse. Actuellement, le frein à l’endettement réduit les emprunts de la République fédérale à 0,35% de la performance économique par an. 

Outre le fait que le Fonds monétaire international n’est vraiment pas responsable des questions relatives aux dispositions constitutionnelles allemandes, nous nous trouvons ici sur un terrain délicat. 

Nous savons que les traités régissent précisément la manière dont les recettes de l’UE sont générées et les règles applicables en matière de dette. En intégrant le fonds de reconstruction Corona de 750 milliards d’euros en 2020, ce qui n’était pas prévu dans les traités, la Commission a brisé un tabou. Une partie (des dirigeants) des États souhaite aujourd’hui manifestement poursuivre dans cette voie. Cela conduirait à un approfondissement de l’intégration et à un démantèlement de la souveraineté des États. 

Selon des données récentes d’Eurostat, le ratio dette publique/PIB de l’UE a certes légèrement diminué, passant de 83,4 % en 2022 à 81,7 % en 2023. Pour l’ensemble de l’UE, la Commission prévoit toutefois une croissance économique de seulement 0,9% en 2024. Si les ressources propres ne sont pas augmentées, les dettes de l’Union devront être payées par le budget courant. La question de savoir comment y parvenir, compte tenu des nombreux projets coûteux, n’a pas été clarifiée. 

Reiner Eichenberger, professeur de théorie de la politique financière et économique à l’université de Fribourg, a récemment résumé de manière très pertinente cette évolution erronée dans un commentaire, en parlant d’une « course aux rats pour la fortune de l’État » : 

« Pour les citoyens, une bonne politique axée sur un développement durable de la société, de l’économie et de l’environnement ne vaut plus la peine. Au contraire, il est raisonnable pour eux de s’approprier le plus rapidement possible les ressources encore disponibles. Le meilleur moyen d’y parvenir est de financer les dépenses publiques non pas par l’impôt, mais par la dette. De cette manière, les coûts seront à la charge des générations futures. » 

Cette « course aux rats pour le patrimoine de l’État » n’est pas un phénomène suisse : ce phénomène a visiblement aussi touché l’UE et ses États membres. Il faut donc s’attendre à ce que la question de la dette commune détermine qui sera le prochain président de la Commission. Cela ne change rien au fait que les lobbyistes de l’UE se servent sur le dos des jeunes générations et donc sur le dos de nos enfants.




 

🐌💯 Perturbateur endocrinien : Quand tu changes de sexe sans le vouloir/savoir 💯🐌

🟥 DOSSIER ÉCONOMIE : LA MISE EN PLACE D'UN PASS CROTTE

🟥 DOSSIER MANIPULATION EN ISRAËL : ILS CHANGENT DE NOM POUR MIEUX COLONISER

#1984–«Tout ce dont ont besoin les régimes totalitaires, c’est d’un téléphone et d’une identité numérique»—Christine Anderson

🇺🇸 « Nous avons incité les hôpitaux à commettre des meurtres sur les patients »

🌱 Le contrôle des mauvaises herbes par l'IA !

« Macron et Sholz appelle à créer un produit d’épargne européen… »

La mort des empires

 

L’abandon de l’expansion, de la production et du commerce au profit du crédit et de la spéculation a précipité le déclin des empires pendant des siècles.

L’une des caractéristiques curieuses du paysage américain est que la financiarisation de l’économie est aujourd’hui largement condamnée comme étant malsaine, mais que peu de choses sont faites pour l’inverser. Il fut un temps, dans les années 1980 et 1990, où le capitalisme axé sur la finance était censé ouvrir la voie à une meilleure allocation des capitaux et à une économie plus dynamique. Ce n’est plus un point de vue que l’on entend souvent.

Par conséquent, si un tel phénomène est majoritairement perçu négativement mais n’est pas modifié, il ne s’agit peut-être pas simplement d’un échec de l’élaboration des politiques, mais plutôt de quelque chose de plus profond – quelque chose de plus endémique dans le tissu même de l’économie capitaliste. Il est bien sûr possible de rejeter la responsabilité de cet état de fait sur les élites actuelles, cyniques et assoiffées de pouvoir, et d’arrêter là l’analyse. Mais un examen de l’histoire révèle des cas récurrents de financiarisation qui présentent des similitudes remarquables, ce qui invite à conclure que la situation difficile de l’économie américaine au cours des dernières décennies n’est peut-être pas unique et que la montée en puissance constante de Wall Street était en quelque sorte prédestinée.

Comment les élites sont devenues de plus en plus bêtes

 

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L’Occident a maintenant un grave problème avec ses élites

Le bon sens permettait déjà de s’en douter, les observations s’accumulant dans le sens d’une déconnexion de plus en plus importante et aux conséquences de plus en plus graves des élites du reste du peuple. Une étude récemment menée par Scott Rasmussen (fondateur de l’institut Rasmussen Reports) permet d’apporter des éléments factuels à ces intuitions.

En substance, l’enquête a porté sur les «super-élites», c’est-à-dire les individus définis comme étant diplômés des institutions prestigieuses (aux États-Unis, ce sont en gros les universités de la Ivy League comme Yale, Harvard, Columbia, Princeton,…), gagnant un revenu annuel supérieur à 150.000 dollars et habitant les villes denses comme New York, Los Angeles qui comptent plus de 10.000 personnes par code postal.

De façon assez logique, on retrouve les caractéristiques suivantes pour ces super-élites : il s’agit de blancs (à 86%) qui sont très majoritairement (67%) dans la tranche d’âge la plus professionnellement active (35-55 ans) et qui sont largement pro démocrates (i.e. socialistes américains) à 73% et pour 47% d’entre eux, tenants des politiques de Bernie Sanders (le plus à gauche de ces socialistes américains).

Et maintenant la remise en cause des arrêts de travail moins indemnisés !

 

Dans notre pays nous avons tout confondu.

C’est l’immense confusion.

Confusion entre assistanat insupportable et juste solidarité.

Pour les arrêts maladie c’est la même confusion. Une confusion entre gabegie, démagogie et juste protection assurantielle.

On s’assure pour quoi ?

Pour les risques que l’on ne peut pas assumer seul.

Ma maison brûle, je n’ai pas les moyens de la reconstruire. Je suis assuré.

Ma clef se casse dans la serrure, je dois pouvoir payer le serrurier même si c’est au prix du renoncement du dernier I-phone 15.

Pour les arrêts maladie c’est la même logique.

La chute de Drahi, l’homme qui marche sur la dette

 

C’est l’hémorragie chez Altice et en particulier dans son vaisseau amiral SFR qui a perdu un demi-million d’abonnés sur le mobile en 3 mois et plus de 600.000 clients sur le fixe depuis l’année dernière.

L’opérateur de Patrick Drahi dit avoir souffert des prix bas proposés par ses rivaux. Sur le dossier de la dette, la maison mère Altice renonce à la cession de ses actifs en République dominicaine.

J’ai toujours été très sceptique sur la stratégie économique et surtout sur les montagnes de dettes accumulées pour la création du groupe Altice.

Aujourd’hui les créanciers couinent, ce qui se comprend.

Mais disons le clairement.

Je n’aurais jamais prêté mes sous à Monsieur Drahi dont la stratégie consiste à racheter des actifs avec un recours ahurissant à la dette qui ne laisse aucune marge ou si peu pour financer l’opérationnel.

Résultat ?

En tant qu’utilisateur de SFR, je peux vous dire que le réseau devient indigent, et que tenir une conversation est parfois très compliqué. Certains jours, cela ne marche tout simplement pas.

C’est toujours le même problème. Quand les dettes sont trop fortes, le paiement des intérêts de cette dette se font toujours au détriment des investissements nécessaires.

Charles SANNAT

Source ici Les Echos

Linky un outil pour limiter la puissance à distance… et une méthode de rationnement !

 

Officiellement, c’était les complotistes qui disaient que les compteurs Linky serviraient notamment à surveiller les consommations ou à les limiter réduisant ainsi la liberté des citoyens de notre pays.

Ce qui est une réalité en revanche, c’est le test qui a été mené.

Vers une limitation temporaire de puissance chez les particuliers pour faire baisser la consommation ?

En effet la puissance électrique de 115 000 foyers a été limitée dans le cadre d’une expérimentation, le 15 février dernier. Un test mené pour juger de la viabilité, ou non, du dispositif afin d’éviter de potentiels délestages en hiver.

« Limiter la puissance électrique des compteurs Linky. Telle est l’expérimentation menée par Enedis le 15 février dernier, et qui a concerné 115 000 foyers du Puy-de-Dôme. Ce mardi 27 mai, TF1 a publié les résultats de ce test grandeur nature où l’électricité des particuliers a été limitée à 3.000 watts pendant deux heures.

Reuters : Macron annoncerait l’entrée en guerre de la France contre la Russie la semaine prochaine

Guerre d'Ukraine : L’annonce explosive serait imminente, des "centaines d’instructeurs français" bientôt déployés

 

Lundi, le commandant en chef des forces armées ukrainiennes Oleksandr Syrsky avait annoncé avoir signé les documents nécessaires à la venue d’instructeurs militaires français en Ukraine pour former des soldats avant de tempérer ses propos.

Paris pourrait annoncer l’envoi de personnel militaire en Ukraine pour former des soldats à l’occasion de la visite du président Volodymyr Zelensky en France la semaine prochaine, malgré les inquiétudes de certains alliés et les critiques de la Russie, ont indiqué trois sources diplomatiques.

La France espère par ailleurs créer et diriger une coalition pour former les soldats ukrainiens, ont précisé les diplomates, même si certains de ses partenaires de l’Union européenne (UE) craignent que cela n’entraîne un conflit direct avec la Russie.

Selon les sources, la France enverrait dans un premier temps un nombre limité de personnels pour évaluer les modalités d’une mission avant d’envoyer plusieurs centaines d’instructeurs.

"Si je n’avais pas d’emprunt jusqu’en 2029, l’exil serait déjà fait"

 


Une réflexion sur « Notre ami-lecteur-électeur Béret vert décrit la galère à la française : « Si je n’avais pas d’emprunt jusqu’en 2029, l’exil serait déjà fait. :-)… Ici il n’y a plus de médecin à dispo, de dentistes, la Poste va fermer mais nous avons trois kebabs et deux feux d’artifice par an, plus d’ophtalmo (6 mois d’attente), mon épouse est suivie par un spécialiste qui ne sera pas remplacé, si elle n’a pas son ordonnance sa vie va se transformer en un ENFER quotidien, mon employé est en arrêt maladie, il souffre terriblement, il ne peut même pas s’asseoir, et l’attente est de 15 jours pour un IRM, les antibiotiques que je ne trouve pas à la pharmacie sont à disposition pour mon chien chez le vétérinaire sans aucun problème (amoxicilline) et j’ai réglé près de 2 million d’Euros à l’URSSAF durant une carrière pour nous trois. Heureusement il y aura les JO à la télé… » » 

Les États-Unis ont autorisé Kiev à utiliser la défense aérienne sur le territoire russe

 

Les États-Unis ont autorisé l’Ukraine à utiliser des systèmes de défense aérienne transférés pour intercepter des missiles au-dessus du territoire russe, s’ils constituent une menace. C'est ce qu'a déclaré un représentant du Département d'État américain, soulignant qu'il n'y a aucune restriction sur l'utilisation de ces systèmes.

Le représentant du Département d'État a souligné que l'Ukraine a le droit de se défendre contre toute menace, y compris les missiles dirigés contre son territoire par d'autres États.

Le représentant du Département d'État n'a donné aucun détail, mais nous parlons d'une nouvelle escalade dirigée contre la Russie.

Les systèmes de défense aérienne transférés à l'Ukraine, tels que Patriot et NASAMS, sont conçus pour intercepter et détruire différents types de missiles. 

Source

🇺🇸 Bientôt dans vos assiettes !!! Pastèques et bananes polyploïdes OGM provenant d'une des fermes de Bill Gates !!! voilà ce qui arrive sur le marché américain !!!

🔱Un des cotés de cette vidéo est très grave. Sebastien Delogu vs Yael Braun Pivet

Le piège de l'Europe expliqué par Virginie Joron.

Les films du jour = 2024-05-29

Quand le bâtiment va tout va, et là rien ne va plus !

 

Tout le monde connaît l’adage « quand le bâtiment va, tout va » et pour cause ! Le bâtiment ce sont des gars qui travaillent et montent les parpaings, ce sont d’autres gars qui peignent, qui posent, qui clouent et qui vissent, ce sont des livreurs qui livrent, des notaires qui notariotent, des agents immobiliers qui ouvrent des portes, des banquiers qui financent, des magasins de meubles qui vendent des nouveaux canapés, ce sont aussi des jardineries qui vendent des fleurs ou des robots tondeuses, des jardiniers qui jardinent. Le bâtiment, c’est là où on vit, là où on travaille, là où on apprend où l’on étudie, c’est aussi là où l’on prie. Il n’y a pas de vie sans bâtiment.

Alors, oui… quand le bâtiment va tout va et il faut être une lumière éteinte, un « mozart de la finance » pour croire un seul instant que l’on peut créer les conditions d’une crise immobilière et penser… que cela va bien se passer.

Voici, en une image issue du site des Notaires de France qui vaut 10 000 mots, tous les maux de l’immobilier et donc du bâtiment qui ne va pas.

Les restaurateurs veulent limiter les nouvelles installations avec un numérus clausus et organiser la pénurie de restaurant

 

C’est incroyable les ravages que peuvent faire l’idéologie du contrôle et de l’économie administrée.

Je trouve cela incompréhensible.

Les restaurateurs eux-mêmes veulent s’arroger le droit de fixer le nombre de restaurants et d’interdire à de nouveaux entrants de rentrer sur le marché et c’est totalement stupide économiquement et je vais vous expliquer pourquoi.

« Thierry Marx, président confédéral de l’Union des métiers et industries de l’hôtellerie (Umih) et Franck Chaumès, président national de la branche restauration, veulent réguler le développement non encadré des établissements mettant en péril toute la profession. Ils veulent donc un « numerus clausus » pour sauver « la profession en danger » »

Guerre commerciale contre la Chine. Le G7 va passer à l’attaque

 

Le G7 « envisage » des mesures face à la surproduction chinoise nous explique l’AFP qui est reprise dans cet article du Figaro.

« Le G7 « envisage de prendre des mesures » face aux « surcapacités » de production de la Chine, qui inonde les marchés occidentaux de produits subventionnés à bas prix, ont annoncé les ministres des Finances réunis à Stresa en Italie ce samedi 25 mai. Ils ont également exprimé leurs « préoccupations » sur « l’utilisation généralisée par la Chine de politiques et de pratiques hors marché », qui « portent atteinte à nos travailleurs, à nos industries et à notre résilience économique ».

La secrétaire américaine au Trésor Janet Yellen avait appelé jeudi le G7 à constituer « un front clair et uni » face aux « surcapacités industrielles » de la Chine, qui génèrent des « déséquilibres macroéconomiques », appelant des « réponses » des pays affectés. Le ministre français de l’Économie Bruno Le Maire avait lui aussi exhorté vendredi le G7 à « présenter un front uni pour protéger ses intérêts industriels » face à la Chine, appelant toutefois à éviter « une guerre commerciale ». »

Macron rapproche dangereusement la France d'une confrontation militaire avec la Russie

 

Macron entraîne la France toujours plus près d'une confrontation militaire directe avec la Russie. Ainsi, non seulement il autorise l'utilisation des armes françaises contre des cibles en profondeur sur le territoire russe, mais il envoie des militaires français en Ukraine, formellement des "instructeurs". Face à l'avancée de l'armée russe sur le front, l'Axe atlantiste joue l'escalade. Au prix de nos hommes. Comme si la Russie allait indéfiniment se retenir de répondre directement.

Nous le disons depuis le début de ce conflit en Ukraine, bien avant 2022 : les Atlantistes ne peuvent se permettre de perdre contre la Russie, car ils jouent leur pouvoir. Après avoir utilisé le potentiel ukrainien, après avoir mis à contribution les pays de l'Est, plus atlantistes qu'européens, les Occidentaux doivent donner l'exemple et entraîner le Continent dans une confrontation contre la Russie, pour protéger la domination américaine.

Et c'est justement ce que Macron est en train de faire. Entraîner notre pays dans un guerre, qui n'est pas la nôtre. Notre territoire national n'est pas mis en danger par la Russie. Les intérêts vitaux de la France ne sont pas mis en danger par la Russie. Ce n'est pas la Russie, qui fait de l'ingérence directe, et économique, et politique, dans notre pays, mais les Etats-Unis. Ce n'est pas la Russie, mais bien les Etats-Unis, qui nous mettent en danger en nous lançant dans une confrontation avec une puissance nucléaire.

Poutine menace Macron après que ce dernier ait souhaité voir l’Ukraine frapper des cibles en Russie

 

Notre cher président français en a remis une couche en exprimant son souhait de permettre aux Ukrainiens de "neutraliser" les bases russes d'où sont lancés des missiles sur l'Ukraine, une déclaration qui a suscité une vive réaction de la part de Vladimir Poutine. Ce dernier a menacé de "graves conséquences" en cas d'utilisation d'armes occidentales contre le territoire russe.

Cette nouvelle prise de position d’Emmanuel Macron a été faite mardi en Allemagne, aux côtés du chancelier Olaf Scholz. Selon le fada de l’Élysée, il est nécessaire de permettre aux Ukrainiens de neutraliser les sites militaires d’où sont tirés les missiles qui les agressent. Mais « en même temps », il a précisé qu’il ne s’agissait pas de permettre aux Ukrainiens de viser d’autres cibles en Russie, notamment des infrastructures civiles.

De son côté, Vladimir Poutine a réagi fermement à ces propos lors d’un point presse à Tachkent, en Ouzbékistan. Il a mis en garde les pays européens, en particulier les petits États, contre les conséquences d’une telle escalade. Selon lui, ces pays doivent réfléchir aux implications de leurs actions, compte tenu de leur petite taille et de leur population dense.

Kiev a commencé à attaquer le territoire russe avec des missiles Storm Shadow

 Kyiv a commencé à attaquer le territoire russe avec des missiles Storm Shadow

Kiev a officiellement déclaré qu'elle utilisait déjà l'autorisation accordée par le Royaume-Uni pour utiliser les missiles Storm Shadow pour des attaques sur le territoire russe. Le conseiller du ministre de l'Industrie, Yuriy Sak, a confirmé que ces missiles avaient déjà été utilisés et a également annoncé que l'Ukraine développait ses propres armes à longue portée.

Selon Yuriy Sak, les missiles Storm Shadow, connus pour leur précision et leur portée, sont devenus un élément important de l'arsenal des forces armées ukrainiennes. Ils sont utilisés pour frapper des cibles stratégiquement importantes sur le territoire russe, ce qui améliore considérablement les capacités de combat de l'armée ukrainienne.

En fait, c’est la première fois que Kiev admet que des armes sont déjà utilisées pour frapper le territoire russe.

Il convient de noter que la France n’est pas non plus à la traîne de la Grande-Bretagne. En particulier, dans les rapports du ministère de la Défense de la Fédération de Russie, des informations apparaissent sur les bombes guidées Hammer abattues au-dessus des régions frontalières. 

Source

La Californie, cinquième État nord-américain à autoriser le "compost humain" après la mort

 

En septembre, le gouverneur démocrate de Californie a signé une loi autorisant le "compost humain" après la mort. Après la décomposition, le corps devient de la terre cultivable. Washington, l’Oregon, le Colorado et le Vermont, avaient déjà validé cette alternative à la crémation ou à l’enterrement.

Le gouverneur démocrate de Californie Gavin Newsom a signé en septembre dernier une loi autorisant le "compost humain" après la mort. Loi qui n’entrera en vigueur que dans cinq ans. Dans le sillage de quatre États déjà précurseurs : Washington, l’Oregon, le Colorado et le Vermont. Cette méthode, que certains agriculteurs utilisent pour leur bétail, présente plusieurs avantages. Elle serait notamment moins néfaste pour l’environnement.

La "réduction organique naturelle"

Cristina Garcia représente le sud-est de Los Angeles, à l’Assemblée de Californie, le parlement local. C’est elle qui a porté la loi AB 351, légalisant le compost humain. Ce que le texte appelle la "réduction organique naturelle". Elle explique : "En Californie et aux Etats-Unis, nous n’aimons pas beaucoup parler de mortalité et de mort mais je m’occupe de mes parents et de mon oncle donc ce sont des conversations que je suis obligée d’avoir. Et la crémation ou l’embaumement et un corps dans un cercueil, ce ne sont pas des options qui me plaisaient".

Le grand reset : La voie occidentale vers la dékoulakisation

 


Affiches de propagande soviétique promouvant la collectivisation de l’agriculture dans les années 1930

En bas à droite de l’affiche, on peut voir un petit homme s’opposer à la ligne des paysans en marche. Il est reconnaissable comme un “Koulak, un des agriculteurs indépendants locaux qui ont été dépossédés et partiellement exterminés pour laisser la place à des fermes collectivisées, considérées comme plus efficaces.

Il existe plusieurs similitudes entre la chute des Koulaks et l’actuel “Grand Reset” qui voit la destruction d’un certain nombre d’activités économiques, telles que le commerce de détail, considérées comme inefficaces par rapport au commerce électronique moderne.

Dans les années 1930, l’Union soviétique a procédé à la “dékoulakisation”(раскулачивание) de l’Ukraine. C’est le terme donné à la suppression des agriculteurs indépendants relativement riches (“koulaks”), pour les remplacer par des fermes collectives. Leurs propriétés ont été confisquées, beaucoup d’entre eux ont été déplacés dans des régions éloignées, et certains ont été exterminés. Nous ne connaissons pas les chiffres exacts, mais ils sont certainement de l’ordre de quelques millions de personnes. Le passage aux fermes collectives a peut-être été l’une des causes de la grande famine ukrainienne du début des années 1930, connue sous le nom de Holodomor.

Burgers, Tacos, la victoire des fast-foods contre la cuisine traditionnelle et c’est triste

 

Les petits plats de mamie, mijoté longuement sur la cuisinière dans une vieille marmite ne sont plus qu’un lointain souvenir.

Souvenir aussi l’odeur dans la cuisine de la grand-mère en formica marron et blanc.

Souvenir encore, le gout des plats en sauce que l’on goutait discrètement avec la cuillère en bois en se léchant les babines.

C’était un temps de lenteur, un temps ou Mitterrand, le président de l’époque expliquait qu’il fallait laisser du temps au temps, alors que maintenant, le mamamouchi du palais confond travail et agitation.

Un temps ou on lisait des livres et ou les recettes se trouvaient dans des cahiers pour celles qui se transmettent de génération en génération.

Il brasse du vent notre président et les gens mange vite, de la bouffe rapide… appelée « fast-food ».

Tacos ou burger ? Les fast-foods et les chaînes ne se sont jamais aussi bien portés en France


 

Une question urgente

 What Are The Most Important Pros And Cons Of Eating Insects?

“Si le gouvernement peut suspendre vos droits chaque fois qu’il estime que quelque chose est en crise, vous n’avez pas de droits. Vous avez des permissions”. – “Pismo” sur “X” 

Alors que notre pays est plongé dans les séquelles mortelles de l’opération Covid-19, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) met la dernière main à une belle connerie appelée Traité sur le règlement sanitaire international (RSI) ou initiative “Une seule santé”, une prise de pouvoir globaliste déguisée sous les saints habits blancs de la médecine de santé publique. L’accord, qui doit être finalisé à la fin du mois, cédera ce qui reste de votre liberté à cette bureaucratie non élue au nom de “l’équité et de l’inclusivité”, ce qui signifie davantage d’enfermements, une surveillance constante, des “vaccinations” forcées, des restrictions sur les médicaments et la censure de tous ceux qui expriment une opinion contraire à ces actions.

Baisser les retraites de 25% : leur projet !

 

 
L’intérêt de la presse subventionnée est qu’elle ne se soucie plus guère d’informer… et qu’elle relaie consciencieusement la doctrine de la caste, en se gardant bien de la remettre en cause. On en veut pour preuve cette interview publiée par l’Express, qui fait sans fioriture le service après-vente du gouvernement sur la désindexation des retraites. De combien faut-il diminuer les prestations de la sécurité sociale, sans, évidemment, baisser les tarifs de de système mal géré, obligatoire et monopolistique ? De 15%, soutient l’Express, l’hebdomadaire quasiment officiel de la macronie.
Au moins, ils ne se cachent pas ! On lit dans l’Express une interview d’Antoine Foucher, proche de la CFDT, ancien directeur des relations sociales du MEDEF (ce qui rappelle, une fois de plus, le lien organique entre le grand patronat managérial et le syndicalisme réformiste), ancien directeur de cabinet de Pénicaud, ministre du Travail du premier mandat Macron, qui dit exactement de combien il faut baisser les retraites à l’avenir pour les rendre “soutenables” : environ 25% ! 

Traduisez ici (choix multiples)