Dès le début de la crise covid, la vaccination a été présentée comme l’outil majeur pour contrer la propagation du virus. Les gouvernements et les agences de santé ont martelé l’efficacité des vaccins, insistant sur la réduction des risques de formes graves et la protection qu’ils offraient. Le constat est pourtant plus inquiétant, avec le déploiement des vaccins, des signalements d’effets indésirables se sont multipliés. A cet effet, AstraZeneca est poursuivi en justice pour des allégations concernant les effets secondaires de son vaccin contre le Covid-19 développé avec l’Université d’Oxford. Selon les plaignants, il aurait « causé la mort et de graves blessures dans des dizaines de cas ». Dans des documents juridiques, le géant pharmaceutique a admis que son vaccin peut réellement générer un effet secondaire rare.
Olivier Veran, French minister of health and solidarity, receives the first injection of the Astrazeneca vaccine against the COVID 19 in the vaccine center of the hospital group of Melun. Melun, France, February 8th, 2021
En 2021, l’efficacité du vaccin AstraZeneca (AZ) a toujours été posée, avant même son autorisation de mise sur le marché en Europe. Des études israéliennes et américaines avaient mis en doute le bénéfice/risque de l’AZ. Au Royaume-Uni on juge le vaccin “sûr et efficace”. Pourtant, quelques jours après avoir reçu leur vaccin, des patients seraient décédés. Aujourd’hui les familles des victimes du vaccin AstraZeneca portent plainte. Selon The Telegraph, AstraZeneca a reconnu que son vaccin peut, dans des cas très rares, causer un syndrome de thrombose avec thrombocytopénie (TTS). Cette admission marque un revirement significatif, potentiellement ouvrant la voie à des indemnisations massives.
AstraZeneca admet un effet secondaire rare
Les familles des victimes des effets secondaires du vaccin contre le Covid-19 d’AstraZeneca ont intenté une action en justice contre le géant pharmaceutique. Lors de ce recours collectif, ils ont déclaré que l’injection a « causé la mort et des blessures graves dans des dizaines de cas ».
Le premier cas concernant un père de famille nommé Jamie Scott. Il a développé un caillot de sang et une hémorragie cérébrale après avoir reçu le vaccin en avril 2021. Son état a évolué en une lésion cérébrale permanente, ce qui l’a empêché de travailler. AstraZeneca a contesté ces allégations. Cela dit, il a admis dans un document juridique soumis à la Haute Cour que son vaccin anti-Covid « peut, dans de très rares cas, provoquer un TTS (Thrombose avec Thrombopénie Syndrome) » qui est à l’origine de la formation de caillots sanguins.
Cet aveu du géant pharmaceutique a été fait dans le cadre d’une défense juridique concernant le cas de Scott. Mais c’est un véritable revirement de situation. Si AstraZeneca reconnaît que son vaccin a causé les maladies graves et les décès mentionnés ans les nombreuses plaintes déposées devant la Haute Cours, cela va ouvrir la voie à une série d’indemnisations de plusieurs millions de livres. Notons les familles des victimes réclament des dommages set intérêts d’un montant de 100 millions de livres sterling.
Notons qu’en mai 2023, AstraZeneca a envoyé une lettre aux avocats de Mr Scott en déclarant « nous ne sommes d’accord pour dire que le TTS est causé par le vaccin à un niveau générique ». Dans le document juridique, l’entreprise pharmaceutique a aussi indiqué que le TTS peut très bien survenir en l’absence de son vaccin.
Les allégations sont « confuses » et « erronées » selon AstraZeneca
Kate Scott, la femme de M. Scott, a déclaré que des scientifiques ont reconnu depuis longtemps que le trouble qui touche son mari est lié au vaccin. Il est connu sous le nom de Thrombocytopénie immunitaire et thrombose induites par le vaccin (VITT). Mais il a fallu attendre trois ans avant qu’AstraZeneca finisse par l’admettre. Elle espère que les choses vont avancer.
Pourtant, selon l’associée au cabinet d’avocats Leigh Day qui présente les demandes en justice, Sarah Moore, il semble qu’AstraZeneca, le gouvernement et leurs avocats soient plus enclins à jouer à des jeux stratégiques et à accumuler des frais juridiques plutôt qu’à s’engager sérieusement avec l’impact dévastateur de leur vaccin AZ ».
La société pharmaceutique a déclaré que « la sécurité des patients » est leur priorité absolue. Elle a ajouté que les données d’essais cliniques et les données du monde réel ont mis en avant l’innocuité de son vaccin anti-Covid-19. Elle a aussi cité que l’OMS (Organisation mondiale de la santé » a déclaré que l’effet indésirable qui est à l’origine de cette action en justice était « très rare ». AstraZeneca a donc soutenu que les allégations portées contre lui étaient « confuses » et « erronées » sur le plan juridique.
Pourtant, les chiffres officiels de l’Agence britannique des produits de santé et des médicaments (MHRA) ont révélé qu’au moins 81 décès au Royaume-Uni pourraient bien être liés au vaccin AZ.
A noter que le programme gouvernemental – le Vaccine Damage Payment Scheme – a déjà versé une somme fixe de 120 000 £ aux familles endeuillées et aux victimes gravement handicapées dans 148 cas. Parmi ceux-ci, au moins 144 concernaient le vaccin d’AstraZeneca.
Le porte-parole du ministère de la Santé et des Affaires sociales a également déclaré que « le gouvernement a agi pour sauver des vies ». Il a ajouté que les leçons tirées de la pandémie vont permettre aux autorités de mieux se préparer pour l’avenir.
Selon la journaliste d’investigation belge Senta DEPUYDT, jusqu’en 2020, les vaccinations en général comptaient 1 déclaration d’effet indésirable pour 350. Depuis le début de la vaccination de masse, ce chiffre est monté à 1 sur 60. Sur 153 750 725 vaccinations, 2,4 millions de personnes ont rapporté des effets indésirables en consultation médicale. Plus de 3.000 décès ont été signalés, et on note également une flambée des cancers, des troubles neurologiques, de certaines maladies rénales…
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