Dostoïevski observe dans sa Maison des Morts (qui est plutôt une Maison des vivants, son roman le plus drôle) que l’on s’habitue en effet à tout. La Boétie :
« C’est cela, que les hommes naissant sous le joug, et puis nourris et élevés dans le servage, sans regarder plus avant, se contentent de vivre comme ils sont nés, et ne pensent point avoir autre bien ni autre droit que ce qu’ils ont trouvé, ils prennent pour leur naturel l’état de leur naissance. »
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