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Des scientifiques chinois conçoivent la variante GX_P2V du COVID « 100% des personnes infectées mourront » !

 

Le 26 mai 2023, je publiais un article concernant le Traité sur la pandémieproposé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Par ce traité, les chefs d’État s’apprêtent à remettre la souveraineté de leurs nations entre les mains d’un gouvernement mondial et à signer un traité international qui soumettra tous les peuples à une dictature sans précédent, incluant les fermetures de frontières, les restrictions de voyage, le confinement (quarantaine), les examens médicaux et la médication des individus (englobant les exigences relatives à l’injection de vaccins ou d’autres produits pharmaceutiques).

Le médecin infectiologue et haut fonctionnaire français, Jérôme Salomon, est en charge de mettre en place ce « Traité sur la pandémie » qui donnera les pleins pouvoirs à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et qui représentera une menace directe pour nos libertés individuelles. La signature de ce traité est prévue en mai 2024.

Le problème ne se limite pas à la perte de la souveraineté et à la menace des libertés individuelles. Lors du forum de l’Assemblée mondiale de la santé en 2023, le directeur de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a brandit la menace d’une pandémie « encore plus mortelle » et a appelé à un accord mondial sur la pandémie. « La menace d’une autre variante émergente qui provoque de nouvelles poussées de maladies et de décès demeure. Et la menace d’un autre agent pathogène émergeant avec un potentiel encore plus mortel demeure », a prophétisé le chef de l’OMS, dont Bill Gates est le premier bailleur de fonds. Il a également affirmé que, bien que les jours les plus sombres de la pandémie soient relégués à l’histoire, une variante apocalyptique de Covid avec le pouvoir de renvoyer le monde à la case départ pourrait encore apparaître. Tedros a donc exhorté les pays à mener les réformes nécessaires pour se préparer à la prochaine pandémie et à honorer un engagement antérieur : « L’accord sur la pandémie que les États membres sont en train de négocier doit être un accord historique pour susciter un changement de paradigme dans le domaine de la santé mondiale, en reconnaissant que nos destins sont liés. »

Il semble bien que l’agenda des globalistes s’accélère maintenant. En effet, lors de la discussion au Forum économique mondialde Davos sur « la préparation à la maladie X » le 17 janvier dernier, Ghebreyesus a affirmé que la meilleure façon de se préparer à la maladie X est que chaque pays doit signer le « Traité sur la pandémie », actuellement désigné CA+. Or, exactement le même jour, les médias à l’échelle internationale nous apprenaient que des scientifiques liés à l’armée chinoise ont développé en laboratoire une nouvelle variante du coronavirus qui attaque le cerveau et ont démontré un taux de mortalité de 100 % lors d’expériences avec des souris « humanisées ». Le virus, qui aurait été cloné dans un laboratoire de Pékin et conservé en plusieurs copies, risquerait d’être transmis à l’homme.

Il est donc très clair que les pièces se mettent désormais en place sur l’échiquier et que nous devrons bientôt affronter le programme de dépopulation et de domination de ces criminels réunis autour du FEM, de l’ONU et de l’OMS. Comme l’écrit Aliénor d’Aubigné sur le réseau social Twitter/X : « Tout a été prévu depuis longtemps, ces gens-là sont LA réelle menace pour l’humanité ».

« Les droits humains des peuples ont été bafoués par les vaccins. L’OMS ne peut pas avoir plus de pouvoir que cela. […] Le gouvernement slovaque ne signera pas le traité sur la pandémie et ne le ratifiera pas au Parlement. »

— Robert Fico, Président de la Slovaquie

J’écrivais dans un article publié le 3 janvier 2024 : « On veut vous injecter, vous pucer, vous faire manger des insectes et de la viande synthétique, vous placer dans des cheptels “15 minutes“, vous contrôler, vous affamer et, dans un court laps de temps, vous exterminer. Et comme vous le savez, tout ceci est planifié depuis très longtemps. » Pour preuve que tout est planifié : le 5 juin 2023, un projet de loi a été déposé devant le Congrès des États-Unis, intitulé “H.R.3832 – Disease X Act of 2023“, c’est-à-dire « Loi sur la maladie X de 2023 ». Rien de moins ! Ce projet de loi est parrainé par les représentants républicains Michael C. Burgess et Dan Crenshaw, ainsi que par la représentante démocrate Susie Lee. Il n’y a donc aucune surprise réelle pour celles et ceux qui se tiennent adéquatement informés.

Un laboratoire chinois développe la variante mutante GX_P2V du COVID-19 avec un taux de mortalité de 100 %

Des scientifiques chinois ont développé un coronavirus dont le taux de mortalité est de 100 % lors d’expériences utilisant des souris « humanisées ». Cela a été révélé grâce à une étude récemment publiée par Pékin, qui parle également d’un risque de transmission à l’homme. Le virus nouvellement créé appelé GX_P2V a infecté le cerveau de souris, qui à leur tour ont été modifiées pour avoir des propriétés génétiques similaires à celles du cerveau humain.

Toutes les souris infectées par le virus lors de l’expérience sont mortes dans les huit jours, ce qui, selon les chercheurs, représente un taux de mortalité « étonnamment » rapide.

Le coronavirus muté a attaqué les poumons, les os, les yeux, la trachée et le cerveau des souris, l’infection cérébrale étant la cause finale du décès. Avant de mourir, les souris avaient perdu du poids très rapidement et se déplaçaient lentement dans une posture voûtée. Particulièrement bizarre : la veille de leur mort à cause du GX_P2V, les yeux des souris sont devenus complètement blancs.

Selon le New York Post, il s’agit de la première étude à faire état d’un taux de mortalité de 100 % chez des souris infectées par le virus COVID-19, dépassant de loin les résultats des études précédentes, ont indiqué les chercheurs. Le nouveau virus est une variante mutée du GX/2017, un virus de la famille des coronavirus découvert chez les pangolins malais en 2017, trois ans avant la pandémie de COVID-19.

On ne sait pas exactement quand l’étude nouvellement révélée a été menée. Mais les chercheurs ont déclaré qu’il était possible que le virus ait subi une « mutation renforçant la virulence » lors du stockage, ce qui l’aurait rendu plus mortel. Ce qui est particulièrement inquiétant est la conclusion des chercheurs selon laquelle ce virus hautement mortel peut également être transmis à l’homme : « Il s’agit du premier rapport montrant qu’un coronavirus pangolin lié au SRAS-CoV-2 peut provoquer une mortalité de 100 % chez les souris hACE2, ce qui suggère qu’il existe un risque que le GX_P2V empiète sur les humains. »

Des chercheurs chinois qui utilisent des expérimentations pour permettre aux coronavirus de muter encore plus dangereusement et qui présentent un risque de transmission à l’homme ? Tout cela n’est pas sans rappeler les événements survenus à l’Institut de virologie de Wuhan, qui, selon de nombreux experts et autorités, comme le FBI américain, sont à l’origine de la pandémie de COVID-19.

C’est également l’avis de François Balloux, spécialiste des maladies infectieuses au Genetics Institute de l’University College London. Il a qualifié cette recherche d’« horrible » et de « totalement dénuée de sens scientifique ». Il écrit sur le réseau social  Twitter/X : « Je ne vois rien de vaguement intéressant à tirer de l’infection forcée d’une race bizarre de souris humanisées par un virus aléatoire. À l’inverse, je vois comment de telles choses pourraient mal tourner… » Il ajoute un peu plus loin : « Le travail a probablement été soumis à une revue scientifique sous la forme d’une “lettre à l’éditeur”. Cela peut sembler un peu démodé, car de nos jours, peu de revues utilisent les “lettres aux rédacteurs” pour publier de nouveaux résultats, mais il y en a encore quelques-unes qui le font. »

La communauté scientifique est sérieusement préoccupée par les expériences de ses collègues chinois. Non seulement ils ne voient pas l’intérêt d’inventer de tels virus, mais ils créent également la possibilité d’infecter des personnes à la moindre fuite. Il a déjà été signalé que des cas d’infection simultanéepar des infections virales et bactériennes étaient enregistrés en Russie.

Richard H. Ebright, professeur de chimie et de biologie chimique à l’Université Rutgers de New Brunswick, dans le New Jersey, a déclaré au DailyMail.com qu’il était tout à fait d’accord avec l’évaluation du professeur Balloux. Il a ajouté : « La prépublication ne précise pas le niveau de biosécurité et les précautions de biosécurité utilisées pour la recherche. L’absence de ces informations soulève la possibilité inquiétante qu’une partie ou la totalité de cette recherche, comme la recherche à Wuhan en 2016-2019 qui a probablement causé la pandémie de Covid-19, a été effectuée de manière imprudente sans le confinement et les pratiques de biosécurité minimales essentielles pour la recherche avec des agents pathogènes susceptibles de provoquer une pandémie. »

Le Dr Gennadi Glinsky, professeur de médecine à la retraite à Stanford, a écrit à son tour sur le réseau social Twitter/X : « Cette folie doit cesser avant qu’il ne soit trop tard. »

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