Valérie Bugault répond aux questions de Nicolas Vidal et aborde notamment la question de nouveaux traités européens préparés par des ploutocrates.
Valérie Bugault répond aux questions de Nicolas Vidal et aborde notamment la question de nouveaux traités européens préparés par des ploutocrates.
Dans l’obscurité des origines d’Halloween, la sorcellerie a tissé des fils macabres qui persistent encore aujourd’hui.
La vidéo explore les racines sombres de cette tradition celtique, mettant en évidence pourquoi Halloween ne peut être considérée comme une célébration anodine.
La lueur de la Toussaint est présentée comme la seule vraie alternative.
Dans ces temps troublés, le choix de s’écarter d’Halloween au profit de l’assistance à la messe est un vrai et bel acte militant contre ce monde crépusculaire.
Chapitres de la vidéo :
0:00 – Halloween à la télévision
1:58 – Introduction
2:30 – Les origines d’Halloween
4:17 – Une fête à ne pas fêter
6:13 – La Toussaint, l’alternative
7:30 – Soyez Français, soyez catholique
Merci à la Nouvelle chevalerie – Chevaliers de Notre-Dame – de cette remise en perspective catholique.
Telegram: https://t.me/lanouvellechevalerie
Notre site internet: https://militiasanctaemariae.wixsite….
Fabien Laurent
Si un groupe de conspirateurs s’infiltre dans l’Église pour la détruire et en vient à avoir un « pape » comme principal représentant, le seul résultat que l’on puisse attendre est précisément que chacune de ses actions ait pour but d’obtenir le résultat le plus dévastateur au détriment de l’Église. des âmes.
L’action est évidente : si, voyant les résultats désastreux obtenus, ils s’obstinent à continuer vers l’abîme, c’est uniquement parce qu’ils veulent nous entraîner dans l’abîme. Il n’y a aucune possibilité qu’ils se trompent ou qu’ils soient trompés.
Perseverare diabolicum.
+ Carlo Maria Viganò, Archevêque
« Nous détruirons le Hamas et nous vaincrons. » Telle fut la promesse que le président Benyamin Netanyahou adressa à un peuple israélien traumatisé par l’attaque surprise de la résistance palestinienne du 7 octobre dernier. Une violente et meurtrière campagne de bombardements aériens s’abattit alors sur la bande de Gaza.
Cependant, comme le savent trop bien les experts militaires, les bombardements aériens, aussi massifs soient-ils, ne suffiront jamais pour venir à bout des combattants du Hamas, qui se cachent sous terre dans un vaste réseau de tunnels.
Pour atteindre l’objectif proclamé haut et fort par le premier ministre israélien, un assaut terrestre est nécessaire. Dès les premiers jours de la contre-attaque de Tsahal, 300.000 réservistes ont été mobilisés et campent depuis lors en face de Gaza, attendant l’ordre de passer à l’assaut. Toutefois, cet ordre tarde à venir. Qu’est-ce qui pourrait expliquer ce délai ?
« L’éclatement de la Syrie et de l’Irak en régions déterminées sur la base de critères ethniques ou religieux doit être, à long terme, un but prioritaire pour Israël, la première étape étant la destruction de la puissance militaire de ces États. […] Riche en pétrole, et en proie à des luttes intestines, l’Irak est dans la ligne de mire israélienne. Sa dissolution serait, pour nous, plus importante que celle de la Syrie, car c’est lui qui représente, à court terme, la plus sérieuse menace pour Israël. »
Le « plan » Oded Yinon n’inclut pas à proprement parler la déportation de deux millions de Palestiniens du camp de Gaza vers le Sinaï, et précisément le Sinaï égyptien (car le Sinaï israélien est miné de têtes nucléaires). Mais depuis 1982 et sa divulgation ou sa fuite dans un article au sein du ministère des Affaires étrangères israélien, tout ou presque s’est déroulé comme prévu : la déstabilisation de l’Irak et de la Syrie, la balkanisation des pays arabes, bref, le « journaliste » Oded Yinon a eu le nez creux, ou alors le plan s’est déroulé comme prévu.
Ils nous avaient dit que l'immigration était une chance et que le multiculturalisme était un enrichissement culturel.
— Réalité Actuelle (@ReaActuelle) October 29, 2023
La réalité est tout autre... pic.twitter.com/Zfm5dPBmQB
Le record du nombre de PV a été battu en 2022 avec plus de 40 millions de procès-verbaux dressés. Et cela n'est peut-être pas près de s'arranger avec l'apparition d'un nouveau panneau. En effet, le non-respect risque de coûter aux Français une belle amende.
Le chiffre a de quoi faire frémir les automobilistes qui ne se tiennent pas à carreau. L'année dernière, l’Agence nationale de traitement automatisé des infractions (Antai) a dressé pas moins de 42,5 millions d'avis de contravention. Autant dire que les radars automatiques ont tourné à plein régime.
« Les ventes massives de bons du Trésor américain ébranlent le système financier international.
Ils étaient considérés comme la valeur la plus sûre du monde. Ils ne le sont plus. Depuis des semaines, les ventes incessantes des bons du Trésor américain mettent à mal la stabilité financière internationale.
Voilà comment commence cet article de Médiapart qui s’étonne du désintérêt pour les bons du Trésor américain…
Alors comment expliquer une telle désaffection ?
C’est très simple.
L’offre et la demande.
Si personne n’en veut c’est qu’il n’y a plus de demande.
Les Chinois n’en veulent plus.
Les Saoudiens n’en veulent plus.
Les Russes n’en veulent plus.
Les Turcs n’en veulent plus.
Les Japonais n’en peuvent plus.
Les Européens ne peuvent pas non plus en acheter parce que nous sommes fauchés ou presque et que nous achetons du gaz et du pétrole américain… c’est bon pour le dollar, mais cela n’augmente pas nos réserves de dollars ! C’est évidemment le contraire.
Plus personne ne veut donc des bons du Trésor américain, car si vous n’êtes pas sage, l’Oncle Sam fait ce qu’il veut de vous.
Si personne ne veut des bons, bons du Trésor américain, c’est parce que le monde se détourne de Washington.
Ce n’est pas rien.
C’est même un moment important de bascule géopolitique.
Source Mediapart ici
« Lorsque je l’ai rencontré, Ezra avait quatre protégés qui avaient reçu le prix Nobel. Il m’a pris sous son aile et a entrepris de me former. Il m’a donné pour mission d’aller à la bibliothèque du Congrès pour y faire des recherches sur le système de la Réserve fédérale.
J’avais un don pour la recherche et j’y ai découvert toute l’histoire du système de la Réserve fédérale qui est la plus grande escroquerie jamais commise dans l’histoire : un groupe de banquiers privés a conspiré de manière criminelle pour s’emparer de la monnaie et du crédit aux États-Unis. C’est ce qu’ils ont fait en 1913. Ils ont fait voter le projet de la Réserve fédérale par le Parti démocrate à Washington, D.C. Il a été adopté par le Congrès. Cette loi a remis à des banques privées la totalité de la monnaie du crédit aux États-Unis, ce qui n’était pas rien !
Elles ont gardé ce droit depuis en l’érigeant en monopole, de sorte que les actions des banques de la Réserve fédérale ne puissent jamais être échangées sur le marché. Seulement au sein d’une même famille ou si une société achète la banque qui les détient. Depuis 1914, il est impossible d’acheter une action de la Réserve fédérale sur le marché et ça en fait un monopole. C’est ce qu’ils ont : un monopole !
Ils sont totalement protégés contre la prise de contrôle du système de la Réserve fédérale par quiconque. John D. Rockefeller était à l’époque l’un de ses plus gros actionnaires. Il a fait placer ses actions sous la fondation Rockefeller de sorte qu’elles ne puissent jamais être achetées ou vendues. Elles sont en sécurité pour toujours. Les autres actionnaires qui ont pris le contrôle avec lui en 1914 sont la famille Schiff et la famille Warburg. Bien sûr, ces fortunes de famille existent toujours, ainsi que leurs participations majoritaires dans le capital de la Réserve fédérale et des diverses banques de la Réserve fédérale. »
Mullins plonge son analyse encore plus loin dans les racines de ce pouvoir profond qu’on appelle Réserve fédérale : elle est au centre de la politique monétaire américaine, de sa géopolitique agressive et des guerres qui ont embrasé le XXe siècle.
« Elle n’est pas plus “fédérale” que la société Federal Express. Et elle n’a pas de “réserves”. Elle n’a pas besoin de réserves car elle imprime sa propre monnaie. Si vous imprimez votre propre monnaie, à quoi bon ? Il suffit de mettre en marche l’imprimante et de créer 10 milliards de dollars !
Enfin, ce n’est pas un “système”. On l’appelle le “système de la Réserve fédérale” mais il n’est pas fédéral, il n’a pas de réserves et ce n’est pas un système. Je suis le seul au monde à l’avoir défini, dans mes travaux, comme un syndicat du crime.
Et c’est ce qu’il est : un syndicat du crime ! Comme la mafia, qui est une de ses filiales. Ainsi que la CIA et tous les syndicats du crime qui dépendent du système de la Réserve fédérale. Une banque centrale est un groupe de banquiers qui exercent un contrôle total sur l’économie d’un pays. Ils impriment leur propre monnaie, autant qu’ils veulent, et elle finit par ne plus rien valoir... par la spéculation... Une banque centrale est conçue pour la spéculation.
Le système de la Fed a été mis en place uniquement pour la spéculation. Son créateur fut Paul Warburg, associé chez Kuhn, Loeb & Co. à New York, qui, soit dit en passant, a financé la révolution communiste, la révolution hitlérienne, et l’entrée du Japon dans la Seconde Guerre mondiale… »
« Israël contrôle totalement les États-Unis. Ariel Sharon, le président d’Israël, a déclaré publiquement à de multiples reprises – c’est très rarement relayé par la presse – que “les États-Unis feront tout ce que nous leur dirons”. Pas “leur demanderons” mais “leur dirons” !
Lorsque le sionisme a été proposé pour la première fois au début des années 1920... Pendant la Première Guerre mondiale, ils ont obtenu la déclaration Balfour en faveur d’un “foyer national pour le peuple juif” et cette déclaration a été imposée au Parlement britannique par Lord Rothschild. Ce n’était pas une bonne affaire, et personne dans le monde ne voulait d’un foyer national pour les Juifs. Surtout pas les Juifs !
Ils vivaient déjà très bien en tant que peuple nomade dans le monde entier et ils n’avaient pas vraiment envie d’être confinés à un seul pays. Ce qui, bien sûr, n’a jamais été le cas. C’est ainsi que la plupart des Juifs notoires – y compris Jacob Schiff de Kuhn, Loeb & Company, qui avait financé la révolution bolchevique en Russie...
Jacob Schiff, de 1920 à 1926, était un antisioniste très franc. Il pensait qu’il serait suicidaire pour le peuple juif d’avoir un foyer national, auquel il devrait bien sûr être fidèle, par opposition à la liberté dont il jouissait, qui consistait à être citoyen de toutes les nations du monde, ce qui était idéal pour leurs projets. »
L’Ordre mondial d’Eustace Mullins
« Face à l’intensification du travail, les jeunes plongent dans un malaise profond : « Je m’enfonçais dans le travail, je n’avais plus de distance » » proclame le titre de cet article du Monde qui revient sur les états d’âmes d’une jeunesse inadaptée au travail en général et au monde du travail en particulier ce que le journal n’ose pas dire.
« Tâches absurdes, rythme intense, précarité de l’emploi, absence de seniors pour les guider… les transformations du monde professionnel génèrent de la souffrance chez les jeunes salariés. Le nombre d’arrêts-maladie explose chez les moins de 30 ans. »
Certes, sauf que les tâches sont aussi absurdes pour les plus de 30 ans !
Sauf que le rythme est aussi intense pour les plus de 30 ans, et qu’en plus « plus on est vieux », plus on est fatigué et moins l’on est résistant !
Sauf que la précarité de l’emploi ne touche pas que les jeunes.
Pire… elle touche encore plus les « vieux » et les plus de 30 ans, car quand on est jeune, on retrouve vite du boulot, ce n’est pas le cas pour les quinquas.
Sauf, que l’absence des seniors pour les guider n’est pas un problème, puisque ces petits jeunes sont si forts en ordinateur, en nouvelles technos, ils sont si « agiles » bref, plus besoin de vieux… hein, et puis nous les vieux on ne comprend rien à la beauté du Bitcoin, c’est dire si nous sommes stupides alors que les jeunes eux, sont forcément gentils et brillants.
Voilà… et malgré tout cela, ce sont chez les petits jeunes que les arrêts maladies progressent !
Hahahahahahahahahaha.
Une génération de tout-mous.
J’ai évidemment une autre théorie, issue de mes études personnelles et observationnelles.
Nous avons créé une génération de jeunes gentils-tout-mou du bulbe, biberonnés au confort le plus total, à qui l’on avait le droit de ne rien dire, et à qui l’on ne peut toujours rien dire, car c’est tout de suite et immédiatement de la maltraitance (parentale) ou du harcèlement (patronal) ce qui dans tous les cas constitue la même « violence » insupportable pour cette jeunesse toute molle.
Ce que je vous dis-là est une généralité qui souffre heureusement de bien nombreuses exceptions mais en gros c’est cela.
Rajoutez à tout cela, l’importance centrale du divorce, car c’est LA génération du tous divorcés à 75 %, où les gamins ballotés entre papa et maman, en garde alternée ou pas, souffrent massivement du syndrome post-traumatique de la dislocation de la cellule familiale.
Il ne faut pas non plus oublier les réseaux sociaux, l’informatique, le poids des écrans pour ces « digitals natives » des outils qui n’aident pas à l’effort puisque tout est à portée d’un clic.
Enfin, n’omettons pas non plus les conséquences massives des drogues dites douces, qui ne sont pas douces, mais au mieux « lentes » tant ils deviennent tout mous, au pire, cela grille définitivement les neurones et l’on se retrouve avec des dépressifs, bipolaires schizophrènes par centaines de milliers.
Bien évidemment, le marché du travail est très dur, mais il l’est bien moins pour les « jeunes » que pour les « vieux ».
Le problème c’est que nos jeunes sont inadaptés dans une grande majorité à beaucoup de chose à commencer par le fait qu’ils sont structurellement fâchés avec l’effort.
Ils sont loin, les pauvres, d’être responsables de tout cela.
Ils souffrent en réalité d’une insécurité affective majeure qui les a empêchés de se construire et donc de devenir des adultes solides psychologiquement.
Les responsables, ce n’est pas eux.
Ce sont sont les adultes qui les ont fait grandir si mal.
Et cela continue.
Cela est même de pire en pire.
Génération, après génération, nous détruisons de plus en plus nos enfants.
Maintenant nous les faisons même douter de leur genre et de leur identité. Accepter l’autre dans sa différence, ne signifie pas d’adopter sa différence comme mode de fonctionnement général !
Que croyez-vous que vous obtiendrez à part des gens fragiles, instables, et mal structurés ?
Ce sera pire.
Parce que nous faisons toujours pire.
Source le Monde ici
Voilà à quoi ressemble la peau des #Palestiniens chaque fois qu'Israël les bombarde de phosphore blanc. Il peut provoquer une mort lente et très douloureuse lorsqu'il atteint les os et reprendre feu lorsque les bandages sont retirés car il réagit avec l'oxygène
— 📢 🔥A__SAMEDI🔥 (@_samedi_) October 29, 2023
#GazaGenocide https://t.co/eud264XEFB
A votre avis, pourquoi Pfizer investit-il 43 Milliards de Dollars dans la biotech Seagen....
— Heselte (@Heselte) October 31, 2023
spécialisée dans les traitements contre le cancer ??🤔https://t.co/Zuvuzrt8MC
Si l’effondrement de Worldline restera dans les annales avec une perte de près de 60 % sur une seule séance, on assiste également à une multiplication des accidents boursiers, à l’image d’Alstom et Sanofi. Faut-il craindre d’autres capitulations boursières ? Voilà le résumé de mon intervention sur Ecorama du 30 octobre 2023.
Contrairement à ce que l’on veut bien nous dire, les krachs sont parfaitement prévisibles et aujourd’hui nous avons tous les critères qui sont réunis pour que les marchés craquent.
Un krach ce n’est pas la fin du monde, loin de là. C’est un moment de réajustement violent des valeurs boursières. Rien de plus. Rien de moins.
C’est un moment désagréable pour ceux qui ont besoin de leur argent à ce moment-là. C’est un moment d’opportunité pour ceux qui ont de l’argent disponible et qui n’en ont pas besoin. Rien de plus. Rien de moins.
La guerre peut être la fin du monde, et elle est toujours la fin du monde pour ceux qui y laissent leur vie.
Un krach boursier n’est jamais la fin du monde.
Tout est relatif.
Alors, pourquoi sommes nous dans une période pre-krach ?
Simple.
Inflation, hausse de taux et récession.
Vous avez là, la trinité du krach boursier.
L’inflation rabote les bénéfices des entreprises qui n’arrivent pas tout le temps à vivre avec en sauvegardant le niveau de leurs marges.
Pour lutter contre l’inflation les banques centrales montent les taux. En montant les taux, il y a moins de croissance donc moins de ventes et moins de bénéfices. En montant les taux et c’est le deuxième effet « kisskool », la dette à court terme des sociétés endettées coûte de plus en plus cher, ce qui entraîne moins de bénéfices et parfois pour les entreprises les plus fragiles de grosses difficultés.
Enfin, bien évidemment, il faut que cela arrive dans un contexte de marchés dont la valorisation est très élevée ce qui est le cas aujourd’hui.
C’est dans ce contexte logique, que la tension sur les marchés augmente, et l’on sent bien l’anxiété des marchés qui réagissent avec une grande violence à chaque mauvaise nouvelle sur un titre.
Pour vous le dire autrement, il va y avoir un krach boursier à très court terme sauf si les banques centrales annoncent une baisse des taux directeurs très prochainement.
Mon petit doigt et mes poules de cristal me disent qu’une telle décision n’est pas à l’ordre du jour.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Ukraine, Israël… les potentiels casus belli d’un prochain conflit mondial se multiplient à grande vitesse.
Mais un autre front semble bien souvent oublié par les observateurs occidentaux, et il s’agit de la mer de Chine.
Taïwan ? Oui, mais pas que.
En témoignent les tensions qui opposent actuellement la Chine aux Philippines autour de cette région à haut risque.
Le dimanche 22 octobre dernier, deux collisions entre navires se sont produites près de l’atoll Second Thomas Shoal, situé près des Spratleys, où les Philippins font stationner leur marine.
D’après Manille, les responsables seraient des bateaux de garde-côtes chinois, qui s’aventurent fréquemment dans cette zone contestée et hautement stratégique pour Pékin.
La tension diplomatique n’est pas prête de redescendre, alors que les autorités chinoises affirment de leur côté que « la responsabilité des incidents de dimanche incombe entièrement aux Philippines ».
Quand on sait que le gouvernement philippin est l’un des alliés les plus zélés d’un Washington particulièrement agressif ces derniers temps, on comprend qu’il y a des raisons de craindre le pire…
Le Dr. Sabine Hazan, PDG de ProgenaBiom, laboratoire de recherche en génomique du microbiome, a étudié les effets de l'administration d'injections de gènes d'ARNm contre le Covid-19 sur la flore intestinale . Selon un récent rapport , les résultats ont été extrêmement médiocres. La quantité de bifidobactéries importantes peut diminuer jusqu'à 90 pour cent après de telles injections, même pendant plusieurs mois. Mais cela signifie également que toutes les vaccinations de rappel ne font que prolonger encore davantage cette condition.
Les études de Hazan sur les patients hospitalisés atteints du Covid-19 montrent que ceux qui souffrent d'une maladie grave ont souvent des niveaux très faibles de bifidobactéries, tandis que les personnes ayant de nombreuses bactéries de ce type dans le tractus gastro-intestinal étaient plus sujettes aux infections « asymptomatiques » et restaient donc effectivement en bonne santé.
Selon le rapport, Hazan a également découvert que certains des nourrissons allaités par leur mère (injectée Pfizer ou Moderna) ne présentaient aucune bifidobactérie. Cela peut entraîner des déficits immunitaires chroniques massifs, d’autant plus que ces bactéries sont extrêmement importantes pour le système immunitaire.
Ils se sont fait des milliards de bénéfices avec les statines pour réduire le taux de cholestérol... Mais maintenant tout le monde sait que ces statines sont nocives.
Donc ?
Un nouveau vaccin à ARNm contre le cholestérol arrive...
Hallucinant !
https://transition-news.org/spanien-neuer-mrna-cholesterin-impfstoff-kommt
La défense aérienne russe a abattu 24 avions en 5 jours. Les experts se demandent actuellement quelles armes ont été utilisées pour y parvenir. Cela n'est pas sans rappeler l' interception d'un F-35 italien au-dessus de la mer Baltique par un Su-30SM russe, dont l'approche n'avait pas été détectée par les instruments des avions américains. « C’est presque sorti de nulle part. J'étais très confus car je ne m'attendais pas à le voir d'aussi près ", raconte le pilote italien, décrivant ses premières impressions sur l'apparition soudaine du Su-30SM. Les mesures de camouflage développées par la Russie ne peuvent apparemment pas être pénétrées par la technologie américaine.
L'ancien officier de la marine américaine et plus tard inspecteur des armes de l'ONU en Irak, Scott Ritter, rend compte de la série de tirs contre des avions ukrainiens dans une interview avec Garland Nixon :
"Les Russes viennent de lancer ce qui est sans doute le programme de défense aérienne le plus sophistiqué de l’histoire. Nous ne comprenons pas ce qui s'est passé. Tout ce que nous savons, c'est que les avions sont détruits. Même si nous saturons le ciel avec nos radars, nous recherchons tout ce qui se trouve dans le ciel, mais les avions explosent tout simplement. Les Russes ont trouvé une solution.
Lorsqu’on fait ses courses, on fait rarement attention aux étiquettes que l’on trouve sur les fruits et légumes vendus en vrac et vendus à la pièce pourtant, il y a une signification aux chiffres qu’on trouve dessus.
Il s’agit d’un code international appelé PLU (Price Look Up).
Ces chiffres permettent d’identifier le produit, d’indiquer la taille, le type d’aliment...
Ces autocollants sur les fruits (surtout importés) savez-vous ce qu'ils signifient ?
4 ou 5 chiffres :
➡️ Dans la plupart des cas, le code est à 4 chiffres.
Il commence par un "3" ou un "4", ce qui veut dire que le fruit ou légume a été cultivé de façon conventionnelle avec des engrais, des pesticides…
➡️ S'il a 5 chiffres et que le premier chiffre est 9 :
Cela indique que ce fruit ou légume est biologique (et est considéré comme le meilleur type).
➡️ S'il a 5 chiffres et que le premier chiffre est 8 :
Cela signifie que le fruit ou le légume a été génétiquement modifié.
meyer habib est un menteur patenté il ne travaille pas pour les français mais pour israel selon même ses collègues députés ! en un mot comme en cent un gros traître https://t.co/WiAJgJyUED
— pierre jovanovic ♥ (@pierrejovanovic) October 30, 2023
Oh the Irany … pic.twitter.com/a1x9hFgJ0Y
— Elon Musk (@elonmusk) October 28, 2023
[ 🇮🇱 ISRAËL | 🇵🇸 PALESTINE ]
— (Little) Think Tank (@L_ThinkTank) October 29, 2023
🔸 « La Troisième Guerre mondiale est sur le point de commencer. Tout le monde devrait être prêt. » - Dirigeant Suprême de la Corée du Nord, Kim Jong-un, affirmant que les tensions au Moyen-Orient pourraient s'étendre à d'autres régions. pic.twitter.com/CZZTT9FrGy
Quand le sage montre la lune, l’imbécile, lui, regarde le bout du doigt.
C’est exactement l’impression que j’ai à la lecture du titre de cet article de BFM intitulé "Le Directeur Général de BNP Paribas, regrette le retard de l’Europe dans le financement de la transition énergétique".
Voilà les premières lignes de cet article qui ne correspondent pas franchement au titre écolo !
« Pour financer cette transition énergétique qui « coûte très cher », le monde des entreprises et l’Europe doivent prendre le sujet au sérieux, estime Jean-Laurent Bonnafé, directeur général de BNP Paribas depuis 2011.
Les banques s’occupent par nature d’orienter les financements stratégiques en fonction du contexte et doivent pour cela s’adonner à des prévisions. Dernièrement, la Banque mondiale et JPMorgan ont qualifié la période actuelle – avec les conflits en Ukraine et en Israël – de “dangereuse”, même si la perspective d’une crise financière n’est pour l’heure pas réellement admise. »
Puis de continuer avec le paragraphe suivant…
« C’est aujourd’hui au tour de BNP Paribas de s’adonner à cet exercice dans un entretien pour La Tribune. Son directeur général Jean-Laurent Bonnafé en a profité pour analyser la “montée supplémentaire des tensions planétaires, mais aussi l’absence de dialogue et la fragmentation du monde” depuis la résurgence des tensions en Israël. “Il est donc difficile de concevoir des scénarios fiables de prévisions économiques, précise-t-il. Mais des volumes très significatifs de matières premières transitent par le Proche-Orient et le Moyen-Orient. Des conséquences assez considérables sur l’économie mondiale pourraient se matérialiser, si la situation se dégradait davantage.”
Puis…
« Il faut dire qu’au-delà de cette instabilité géopolitique mondiale, le contexte inflationniste contribue aussi à fragiliser l’économie. Jean-Laurent Bonnafé fait un constat général: “l’Europe a bien davantage ralenti que les États-Unis, où l’activité se maintient à un niveau très élevé. L’Allemagne est particulièrement touchée. Il ne faudrait donc pas tarder à amorcer une baisse des taux d’intérêt, de façon à préserver le tissu économique européen”.
Sinon, chez BFM ils ont raison de résumer la chose en disant que c’est un problème de financement de la transition énergétique.
Hahahahahahahaha.
Bon, vous l’avez compris, l’essentiel du message du patron de la BNP c’est que si le conflit s’étend, ce sera la grosse catastrophe économique, ce qui nous permettra peut-être d’arrêter nos âneries de transition énergétique.
Source BFM ici