[...] Après des décennies de gloire, voilà que ce roi de la trousse de secours se trouve répudié du moins en spray nasal, non pour une question d’inefficacité, mais de dangereuse concurrence à très bas prix aux propositions bidon bien plus lucratives des cartels big pharma contre le Cov19.
Tout comme l’Ivermectine, la Bétadine est même maintenant qualifiée de « dangereuse » par les pouvoirs en place, parce qu’elle protège et guérit sans qu’il soit nécessaire d’utiliser du désinfectant pour les mains, des masques, des « vaxxins » ainsi que des stupides et ruineuses mesures de confinement.
La version spray nasal iodé ou gouttes nasales de Bétadine est donc judicieusement bien choisie pour transformer les narines en cartouches filtrantes hautes performances. Cette mesure, surtout préventive mais pouvant aussi être curative, permet d’approcher des personnes infectées ou d’être confinés, tassés dans des moyens de transport en commun, en toute sécurité par une réduction drastique de la charge virale inhalée.
Un essai contrôlé randomisé réalisé au Bangladesh a récemment révélé que les pulvérisations d’iode par voie nasale et orale permettaient de réduire de 84% les hospitalisations et de 88% la mortalité dues aux cov19.
A ce propos, j’ai déjà évoqué parmi les inconvénients majeurs du masque, le recyclage permanent des microorganismes pathogènes que nous captons par la respiration et dont la charge peut augmenter dangereusement au niveau pulmonaire.
Justement pour les accros du masque se croyant en sécurité (et il y en a beaucoup…) mais aussi pour les autres en tant que mesure anti PV ou de ménagement des peureux que l’on croise, je trouve qu’il est judicieux de s’appliquer le spray à la Bétadine afin de tuer au niveau nasal les germes que nous recyclons…
Le FLCC (Alliance Front Line COV-19 Critical Care) recommande les méthodes suivantes pour utiliser la Bétadine contre le Cov19 et ses mutants :
- Spray oro-nasal de Bétadine tout prêt
A demander en pharmacie dans la mesure où ils en ont…
Appliquer 2 à 3 coups de pompe dans chaque narine toutes les 4 heures. (Attention : pas plus de 5 jours pendant la grossesse), 2 à 3 fois par jour. - Gouttes iodées à fabriquer soi-même
Acheter en pharmacie de la Povidone iodée à 10%, et la ramener à 1% en la diluant dans 9 parties de sérum physiologique.
Mettre 4 à 5 gouttes dans chaque narine toutes les 4 heures, ou bien transférer la dilution 1% dans un flacon à pulvérisation nasale.
La réaction des grands médias aux ordres était prévisible
Bien sûr, les médias grand public se sont déjà indignés de l’utilisation de la Bétadine !
Ainsi selon Newsweek qui s’élève contre le remplacement des masques, la Bétadine ne peut pas fonctionner contre le Cor19 étant donné qu’elle n’a jamais été officiellement « approuvée » pour cet usage ! A noter que l’homéopathie qui a fait ses preuves depuis près de deux siècles n’a jamais été approuvée non plus par « l’establishment ».
Une autre allégation aussi tordue que stupide est que la Bétadine ne peut s’appliquer à la grippe de Wuhan simplement parce qu’elle était antérieure à l’apparition du covid…
Alors pourquoi des vieux traitements tels que l’artémisia annua, l’ivermectine, l’hydrochloroquine, le zinc, ont pu démontrer leur efficacité dans de nombreux pays (sauf la France qui les a interdits) ?
Une référence de choix
Le Dr Eric Hensen, oto-rhino-laryngologiste texan, rappelle que l’iode a été décrit depuis longtemps dans la littérature universitaire comme étant « l’antiseptique des plus puissants ayant une activité antimicrobienne à large spectre, contre les bactéries, les agents pathogènes viraux, les fongiques et les protozoaires, et qu’il est utilisé en tant que tel pour la prévention des infections et le traitement des plaies depuis des décennies ».
Hensen utilise lui-même l’irrigation nasale et orale avec de l’iode pour se protéger, et grâce à cela, il dit qu’il n’est jamais tombé une seule fois malade tout au long de cette « pandémie » malgré des contacts quotidiens avec des patients plus ou moins infectés.
Il ajoute « le PVP-I« (spray nasal et oral probablement américain) a la capacité de détruire le SRAS-CoV-2. La transmission du SRAS-CoV-2 par un patient atteint sera également réduite. Ainsi, le spray oro-nasal PVP-I peut agir comme un bouclier du COV-19 efficace d’abord pour les personnels soignants mais aussi pour tous. »
Daniel Horowitz écrit pour The Blaze « Le problème, c’est que l’iode en spay oro-nasal comme l’ivermectine, permet aux gens de contrôler eux-mêmes leur propre santé et leur sécurité,« ceci représentant une menace majeure pour le complexe militaro-pharmaco-industriel qui ne pourrait plus engranger des bénéfices pharaoniques sur des nouvelles drogues expérimentales.
La Teinture d’iode, ce merveilleux antiseptique universel
Durant tout le 19ème siècle et la moitié du 20ème siècle la teinture d’iode fut utilisée chez nous comme antiseptique général et comme précieux complément alimentaire multi usages. Mais comme ce produit simple et peu couteux gênait le marché des antibiotiques, il a été subitement déclaré dangereux et n’est plus délivré qu’en très petites quantité.
Savez-vous que du temps de nos arrières grand’mères il était courant de mettre 1 goutte de teinture d’iode dans le biberon des bébés pour faciliter le développement de leur cerveau ?
Non seulement on n’a jamais entendu parler d’accidents, mais les bébés se développaient à merveille et en bien meilleur santé que nos pauvres bébés hyper-vaccinés actuels.
De plus, elle n’avait pas les inconvénients bien connus des antibiotiques actuels, générateurs de champignons et levures offrant le lit des cancers et faisant maintenant l’objet d’une antibiorésistance.
Sachez que l’iode tue 90 % des bactéries pathogènes, des moisissures, levures, protozoaires, candidas, staphylocoques et virus sur la peau en 30 à 90 secondes. Mais la fac de médecine a fait oublier aux médecins et au public ce champion de la désinfection !
Mieux encore, les cellules porteuses de tyrosine sur leur membrane externe sont tuées instantanément par une simple réaction chimique avec l’iode qui détruit leurs protéines.
Le Dr Guy Abraham (USA), expert de l’iode a fait la preuve de ses multiples applications :
- Elle est d’abord un soutient thyroïdien bien connu.
En 1819, Jean Coindet montra que la teinture d’iode réduisait les goitres.
Par ailleurs, une étude menée par le Dr Brownstein sur 24 patients a montré que 92 % de ceux qui souffraient d’une thyroïdite de Hashimoto et de la maladie de Basedow présentaient une insuffisance d’iode. Et presque tous ces patients ont eu une amélioration considérable après qu’on leur ait prescrit la solution de Lugol. - Elle est un soutien endocrinien général remarquable.
Ainsi elle agit sur la pression artérielle, la glycémie, sur toutes les fonctions génitales, en particulier les seins, les ovaires, l’utérus, la prostate, mais aussi sur l’hypophyse et les surrénales. - Elle prémunit contre le cancer du sein.
On connaît depuis plus de 50 ans le lien entre cancer du sein et niveaux d’iode. - Elle active l’élimination de métaux toxiques : fluor, brome, plomb, cadmium, arsenic, aluminium et mercure.
- Elle protège l’organisme des champs électromagnétiques, de la radioactivité, et autres polluants ambiants.
- Elle a un effet antioxydant semblable à celui de la vitamine C.
- Elle prémunit des maladies dégénératives.
- Elle régule l’humeur et soutient une bonne santé mentale.
NOTA : On estime que de nombreux Japonais absorbent environ 14 mg d’iode par jour, c’est-à-dire plus de 100 fois l’AJR (Apport Journalier Recommandé), à travers leur consommation d’algues. Aussi ils enregistrent des taux très faibles de cancer du sein, de l’utérus, des ovaires et de la prostate, ainsi que de mastopathies fibrokystiques.
Or cette faible incidence ne subsiste pas lorsqu’ils s’expatrient aux États-Unis.
La fréquence de ces pathologies s’aligne alors sur celle des américains.
Grandeur et Décadence : Historique de l’iode
En 1821, François Magendie fut le premier à introduire de l’iode dans une pharmacopée.
- En 1829, Jean Lugol, un médecin français effectuant des recherches sur les utilisations médicales de l’iode dans les maladies infectieuses, observa que la présence d’iodure de potassium dans l’eau augmentait nettement la solubilité de l’iode. Il créa alors la Solution de Lugol
- En 1890, La 6e édition de “La Pharmacopée Extra de Martindale” a parrainé 30 médicaments dérivés de l’iode.
- En 1928, “Martindale” avait étendu sa couverture à 128 articles avec de l’iode.
NOTA : L’iode fut utilisé avec succès pour les pathologies respiratoires, notamment les maladies pulmonaires chroniques telles que l’asthme et la broncho-pneumopathie chronique obstructive, en raison de son action fluidifiante sur le mucus. Mais, il fut aussi utilisé dans la syphilis et, en dermatologie, dans les dermatites inflammatoires et les infections fongiques.
En 1930, le sel iodé fut introduit dans l’alimentation.
Mais en 1948, mise à mort de l’iode !
Une seule étude de Wolff-Chaikoff (probablement commandée et subventionnée par Big Pharma) a conclu à une possible grosse hypothyroïdie par l’ingestion (en quantités démentielles) d’iode inorganique par des rats ; il fut aussitôt décidé arbitrairement qu’il fallait éviter l’iode comme la peste. Ainsi, l’iode, ce grand gêneur du grand lobby mafieux de la maladie fut subitement retiré de la chaîne alimentaire.
Dans les années 1950-1960, les antibiotiques remplacèrent systématiquement l’iode dans les maladies infectieuses.
L’iode fut remplacé par les bronchodilatateurs pour les patients pulmonaires. Les antihistaminiques remplacèrent l’iode pour les symptômes du rhume. L’iode disparut ainsi progressivement de la science médicale. Trop simple, trop efficace et si peu coûteux… donc pas rentable !
La solution de Lugol
Dans le manuel du préparateur pharmacien, on trouve une formule forte et une faible. L’option pour une formule demi-forte est la suivante :
- Iode 0,5g
- Iodure de potassium 1g
- Eau distillée qsp 100 ml
Exemples de cas résolus selon les annales de EARTH CLINIC :
- Adénite (inflammation des glandes),
- Allergies,
- Arythmie cardiaque,
- Asthme,
- Audition : baisse,
- Boutons cutanés en externe,
- Broncho pneumopathies obstructives,
- Cancers de la peau,
- Candidose,
- Cholestérol,
- Cœur : arythmies,
- Concentration difficile,
- Conjonctivite aiguë,
- Dépression,
- Dermatites inflammatoires,
- Diabète de type 2,
- Eczéma,
- Electrosensibilité,
- Erection : troubles,
- Fatigue chronique,
- Fibromes utérins,
- Fluor : intoxication,
- Frilosité,
- Gangrène,
- Glande pinéale : faible,
- Glycémie : hypo,
- Goitre,
- Goutte (12 ml par jour),
- Goutte,
- Grains de beauté,
- Herpès génital, fibromyalgie,
- Humeur maussade,
- Hypertension (12 ml par jour),
- Hypophyse : hypo,
- Infection de la vessie,
- Infection des gencives,
- Infection vaginale à levures,
- Infections mycosiques,
- Infections,
- Intoxication au brome,
- Intoxication au fluor,
- Kystes aux seins,
- Kystes divers,
- Kystes ovariens,
- Maladie de Basedow,
- Maladie de la hanche,
- Maladies dégénératives,
- Malaria,
- Mastoses fibrokystiques,
- Métaux toxiques (plomb, cadmium, arsenic, aluminium et mercure),
- Nodules,
- Œdèmes,
- Panaris,
- Peau sèche,
- Prostate : adénome,
- Psoriasis,
- Radioactivité ambiante,
- Règles irrégulières,
- Rhumatismes,
- Scarlatine,
- Seins : douleurs,
- Sinusite : 1 goutte dans l’eau de lavage du nez (Néti),
- Stérilité,
- Surrénales faibles,
- Syphilis,
- Thyroïde : en hypo et en hyper (régulateur),
- Thyroïdite de Hashimoto,
- Ulcères,
- Verminoses du chat et du chien : 1 goutte dans la pâtée,
- Vue déficiente.
Mode d’emploi de la Solution de Lugol
Posologie par voie orale :
5 gouttes dans un peu d’eau aux 3 repas
Méthode par voie cutanée (facile à contrôler) :
Voici une façon facile de se recharger en iode d’une façon sécure et sans risque d’overdose en utilisant l’intelligence de la peau. En effet, la peau absorbe ce dont l’organisme a besoin et le bloque lorsque le plein est effectué.
Il suffit de badigeonner de la teinture d’iode sur une plage de peau de préférence peu visible comme la face interne des cuisses ou des bras si l’on met des manches. La peau va alors être teintée en marron, et tout va dépendre du temps que cette coloration va mettre pour disparaitre :
- Si la teinte disparait en quelques heures, c’est que vous êtes en grande carence d’iode ; effectuez un nouveau badigeon.
- Si la teinte disparait en 24 heures, vous êtes en carence moyenne.
- Si la teinte met plusieurs jours à disparaitre, votre peau n’en veut plus, votre organisme est rechargé.
Notez que cette méthode très simple dispense d’analyse
Méthode mixte :
Si vous souhaitez faire agir simultanément, référez-vous aux taches marrons de vos cuisses : si elles persistent plusieurs jours, c’est qu’il faut tout arrêter.
Effets de désintoxication des halogènes indésirables
Les populations industrialisées subissent une baisse vertigineuse d’iode dans l’alimentation, et l’invasion d’éléments halogènes tels le fluor (dentifrices) et le brome (dans le pain), qui poussent lentement l’iode hors de l’organisme et prennent sa place dans les organes récepteurs – d’où souvent la nécessité de gros apports d’iode pour les déloger.
Les symptômes de désintoxication se manifestent communément par fatigue, rhume, nausées, transpirations nocturnes, perte d’appétit. D’autres symptômes fréquemment rapportés concernent le plan mental et émotionnel, avec des troubles passagers incluant paranoïa, humeur dépressive, sommeil médiocre, cauchemars.
Une fois les poisons excrétés, les symptômes cessent et le corps retrouve un état de fonctionnement optimal, supérieur à celui d’avant la détoxication.
Vous pouvez vous procurer l’Iode dans toutes les pharmacies.
Michel Dogna
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