Most Brits have already had Covid since the pandemic, with many being infected more than once ( Image: Getty Images)
Des "experts" émettent un avertissement de risque de décès de toute personne ayant eu le Covid au cours des deux dernières années.
De nouvelles recherches montrent que toute personne infectée par Covid court un risque accru de mourir jusqu'à deux ans après avoir attrapé le virus, suite à une augmentation des décès dans tout le pays.
De nouvelles recherches montrent que toute personne infectée par le virus court un risque accru de mourir jusqu'à deux ans après l'avoir attrapé. La plupart des Britanniques ont déjà eu Covid et beaucoup ont été infectés plus d’une fois.
Suite au déploiement massif de vaccins au Royaume-Uni, de nombreux Britanniques bénéficient d'un certain niveau de protection contre le virus, mais des scientifiques américains préviennent désormais que ceux qui ont contracté le virus courent un risque plus élevé de mourir que ceux qui ne l'ont pas été. La nouvelle étude, publiée dans Nature Medicine, a découvert que jusqu'à deux ans après l'infection, les personnes hospitalisées avec le virus ont un plus grand risque de décès.
De nouvelles recherches montrent que toute personne infectée par Covid court un risque accru de mourir jusqu'à deux ans après avoir attrapé le virus, suite à une augmentation des décès dans tout le pays.
De nouvelles recherches montrent que toute personne infectée par le virus court un risque accru de mourir jusqu'à deux ans après l'avoir attrapé. La plupart des Britanniques ont déjà eu Covid et beaucoup ont été infectés plus d’une fois.
Suite au déploiement massif de vaccins au Royaume-Uni, de nombreux Britanniques bénéficient d'un certain niveau de protection contre le virus, mais des scientifiques américains préviennent désormais que ceux qui ont contracté le virus courent un risque plus élevé de mourir que ceux qui ne l'ont pas été. La nouvelle étude, publiée dans Nature Medicine, a découvert que jusqu'à deux ans après l'infection, les personnes hospitalisées avec le virus ont un plus grand risque de décès.
Le même groupe est également confronté à un risque plus élevé de problèmes de santé graves, comme les maladies pulmonaires et le diabète, ainsi que de fatigue générale ou de Covid long. Deux ans après l’infection, le risque de décès diminue, selon cette étude.
Pour les patients qui n’ont pas été hospitalisés à cause du virus, il ne faut que six mois pour que le risque de décès ne soit plus significatif, ajoute-t-on. Mais cela ne veut pas dire qu’ils sont épargnés par des effets secondaires assez désagréables. Ils pourraient toujours être exposés à plus de 20 problèmes médicaux, tels que des problèmes cardiovasculaires et des problèmes de coagulation sanguine, du diabète, des problèmes gastro-intestinaux et des troubles rénaux.
L'auteur de l'étude, le docteur Ziyad Al-Aly, épidémiologiste de l'Université de Washington, a déclaré : "Beaucoup de gens pensent : 'J'ai eu le Covid, je m'en suis remis et je vais bien. Peut-être que vous avez oublié le Covid... mais le Covid ne vous a pas oublié." Cela peut toujours faire des ravages dans votre corps.
Dans cette étude, des scientifiques ont examiné les dossiers médicaux de près de 140.000 vétérans américains diagnostiqués avec Covid au début de la pandémie, comparant leurs données de santé à celles d’un groupe témoin de près de six millions de personnes, dont on ne sait pas si elles ont été infectées. Mais l’étude souligne également que la plupart des anciens combattants sont des hommes, souvent plus âgés.
L’étude intervient alors qu’une nouveau variant Covid provoque une augmentation des cas. Le BA2.86 est une nouvelle souche d'Omicron et vient peu de temps après la variante EG5.1, ou « Eris ». Eris représente actuellement environ 15% de tous les "cas" au Royaume-Uni, selon les données de la UK Health Security. Entre le 6 et le 12 août, 6.289 personnes ont eu un résultat de test positif confirmé en Angleterre.
Cela représente une augmentation de 17,4% par rapport aux sept jours précédents. Les experts ont suggéré que cette augmentation soudaine des "cas" pourrait être due au mauvais temps en juillet, qui a incité les gens à se rassembler à l'intérieur sans ventilation pour assurer leur sécurité.
Les "cas" ne sont pas des malades. De plus, il serait indispensable de faire une corrélation entre les vaccinés covid et les malades du covid, cette étude est donc faussée et évite de traiter le sujet des effets secondaires graves des inoculations ARNm. Les décès en surnombre sont dues majoritairement aux inoculations et non au fait d'avoir attrapé le covid.
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