La dernière émission de capital, sur les vacances luxueuses du club med, avec boy intégré, vacances trèèèès chères, mais la modestie des salaires permet de mettre un serveur par personne.
Et il n'y a pas qu'aux Maldives, en France déjà, pour 15.000 euros la semaine, le salaire et ses charges, c'est que dalle.
N'empêche, ces vacances, elles puent. enfin, surtout ces si riches clients, ils sont à vomir.
Le club Med, qui était parti de la hutte et du camping, acte la fin du tourisme de masse. Déjà fort mal en point, le départ en vacances devient de moins en moins réaliste, et les dits départs, ce sont souvent quelques jours, pas plus.
D'où, les lamentations des restaurateurs, de la Corse, de la Côte d'Azur. Et l'arrachage des cheveux à la Nupes, sur la fin du vacances pour tous, droit acquis et non négociable.
Si la Nupes connaissait ses électeurs, ils sauraient que le départ en vacances concerne peu ses électeurs, sauf dans la famille, à coûts très réduits.
J'ai le souvenir des années 1960, c'était loin d'être la règle, mais le peu de voitures encombrait déjà les routes... En 1970, elles étaient moins de 14 millions...
A partir du milieu des années 1970, le départ devint une obligation et pour les retraités, les voyages lointains, une marque de non-ploucquerie. Un obligation non écrite, mais une obligation. Après, dans les années 1990, la panoplie se renforcera de la croisière, toute aussi indispensable pour casser la pipe des retraités avec moult épidémies, notamment l'inévitable gastro. Comme le croisiériste est essentiellement con, il se précipite dans un bouillon de culture (biologique), avec une légèreté de cervelle absolue. Le type piquouzé 7 fois pour le covid, a visiblement un degré critique voisin de zéro.
Ta bétaillère croisière était bien ??? Oui, je me suis vidé les intestins et j'ai vomi tout le long. Mais confiance, un navire de 10 000 personnes possède hôpital et même morgue. On ne risque donc rien, absolument rien... Le rapatriement du corps est prévu par tous les agents de voyages...
Le croisiériste est lui, par contre, le touriste pauvre, mené en... bateau. Bon, enfin, rien ne l'oblige à être idiot parce que ses voisins, copains, copines, connaissances en ont déjà fait...
Pour la tenue des vacances 2024, j'ai comme qui dirait le sentiment qu'elles ne vont pas être fameuses... Sauf pour le club med et ses vacances arrondies à 20.000 euros la semaine, alors que les Comores, on peut les visiter sans problèmes à Marseille, et à coût bien moindre, couleur locale garantie, et animations, avec les combats à la kalachnikov, dont il faut dire, pour les journaleux, que ce n'est pas une arme lourde.
Sociologiquement, les bredins capables de payer 15.000 euros la semaine, sont obligatoirement des macronistes qui trouvent d'ailleurs, celui-ci tiède, dans sa politique, et qui la voudrait encore plus régressive.
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