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Le conseiller transhumaniste du FEM Yuval Harari


  • Le grand architecte de la réinitialisation montre qu’il n’existe pas de petite cabale de mondialistes qui essaient d’influencer les événements mondiaux.
  • L’acolyte de Klaus Schwab a participé au groupe mondialiste Bilderberg, une cabale élitiste qui se réunit en secret pour discuter de la manière d’orienter les événements mondiaux importants.
  • Yuval Noah Harari, conseiller du Forum économique mondial, a réfuté l’idée d’une cabale d’élites mondialistes travaillant ensemble à l’instauration d’un nouvel ordre mondial, la qualifiant d' »absurdité » et de « fantaisie ».


    Harari, l’un des principaux architectes de la Grande Réinitialisation du FEM, a fait une apparition sur le podcast Lex Fridman lundi dernier pour mettre en doute la « théorie de la conspiration » du Nouvel Ordre Mondial, affirmant que le monde est trop « complexe » pour que des individus puissants puissent tracer un programme mondial.

    « La théorie de la cabale internationale a de nombreuses variantes, mais en gros, il y a un petit groupe de personnes, une cabale, qui contrôle secrètement tout ce qui se passe dans le monde », a déclaré Harari. « Toutes les guerres, toutes les révolutions, toutes les épidémies, tout ce qui se passe est contrôlé par ce très petit groupe de personnes, qui sont bien sûr malveillantes et ont de mauvaises intentions. »


    « C’est une histoire très connue. Elle n’est pas nouvelle. Elle existe depuis des milliers d’années. Elle est très attrayante parce que, tout d’abord, elle est simple. Il n’est pas nécessaire de comprendre tout ce qui se passe dans le monde. Il suffit de comprendre une seule chose. »

    « La guerre en Ukraine, le conflit israélo-palestinien, la technologie 5G, le COVID-19. C’est simple. Il y a cette cabale mondiale, ils font tout ça », a-t-il poursuivi, ajoutant que ces crises peuvent ensuite être imputées aux « juifs » ou aux « francs-maçons ».

    « Cela crée un fantasme utopique. Il suffit de se débarrasser de cette petite cabale pour résoudre tous les problèmes du monde. Le salut!’… C’est donc simple, c’est attrayant, et c’est pourquoi tant de gens y croient ».


    Harari a ensuite comparé la croyance en un sinistre Nouvel Ordre Mondial au nazisme, affirmant que les nazis croyaient également qu’une cabale essayait de contrôler le monde.

    « L’idée de base des nazis était que les juifs contrôlaient le monde. Si l’on se débarrasse des Juifs, on résout tous les problèmes du monde », a-t-il déclaré.

    Le rejet par Harari de l’idée d’une cabale mondiale qui essaierait de diriger les événements mondiaux est particulièrement ironique.

    En effet, Harari, transhumaniste convaincu et ingénieur social, a participé en secret à la réunion du Bilderberg de cette année. Il s’agit d’une conférence annuelle réunissant les individus les plus puissants du monde de la banque, de la finance, de l’armée, des médias, de l’université et des affaires – une cabale en quelque sorte – qui se rencontrent pour discuter en secret de leur programme pour le monde, alors que le public et la presse n’ont pas le droit de participer à cette réunion.

    De nombreuses autres déclarations antérieures de Harari minent profondément son argument selon lequel il n’y a pas de programme du Nouvel Ordre Mondial.

    En 2019, Harari a affirmé que l’ère du libre arbitre était « terminée » parce que l’IA sera bientôt connectée à nos esprits et contrôlera nos espoirs et nos rêves.

    « Les humains sont désormais des animaux piratables. Vous savez, toute l’idée que les humains ont cette âme ou cet esprit et qu’ils ont le libre arbitre. Ainsi, quel que soit mon choix, que ce soit lors des élections ou au supermarché, c’est mon libre arbitre. C’est fini le libre arbitre », a-t-il déclaré.


    Son mentor, Klaus Schwab, fondateur du FEM, a notamment coécrit le livre « COVID-19 : The Great Reset », qui explique comment utiliser le COVID-19 pour « réinitialiser » complètement l’économie mondiale afin de créer une société plus « durable » et « équitable » en désindustrialisant essentiellement le monde développé et en mettant en œuvre des initiatives de crédit social.

    On dirait presque qu’il s’agit d’un programme d’une cabale mondiale visant à imposer sa vision de l’avenir au monde.

    Harari a également exposé ses ambitions en matière d’ingénierie sociale en réfléchissant à la manière de débarrasser le monde des « gens inutiles » à mesure que l’IA se répand.

    Je pense que la plus grande question qui se posera peut-être en économie et en politique dans les décennies à venir sera de savoir ce qu’il faut faire de tous ces gens inutiles.

    Le problème, c’est plutôt l’ennui et la question de savoir ce qu’il faut faire d’eux et comment ils trouveront un sens à leur vie, alors qu’ils sont fondamentalement dépourvus de sens et de valeur.

    À l’heure actuelle, je pense qu’une combinaison de drogues et de jeux vidéo pourrait être une solution pour [la plupart] d’entre eux. C’est déjà le cas…

    Heureusement, de plus en plus de gens se rendent compte que des technocrates comme Harari tentent de déterminer unilatéralement l’avenir de l’humanité.

    Voir l’intégralité des remarques de Harari :





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