Les députés espagnols ont approuvé une nouvelle loi sur la protection des animaux, selon laquelle les relations sexuelles avec des animaux ne sont plus considérées comme une infraction pénale, rapporte RT.
La loi, proposée par le ministre espagnol des Affaires sociales, Ione Belarr, a été adoptée le 9 février. Le document stipule que la zoophilie est possible et ne prévoit pas de responsabilité pénale si l'animal n'est pas blessé de quelque manière que ce soit.
En 2015, Les députés on approuvé une réforme du Code pénal afin d'augmenter les peines pour cruauté envers les animaux et, pour la première fois dans l'histoire espagnole, pour l'exploitation sexuelle des animaux.
À l'époque, les législateurs ont noté que les animaux, comme les enfants, n'ont pas la capacité de donner leur consentement, la zoophilie a donc été classée comme un nouveau crime impliquant l'exploitation sexuelle des animaux, quelle que soit la gravité des dommages causés. Désormais, les relations sexuelles avec un animal ne seront punies que si l'animal est blessé.
Il est à noter que l'initiative législative appartient au parti United We Can, qui proposait auparavant d'établir que les chiens, chats et autres animaux devraient être considérés comme des êtres intelligents ou des êtres vivants dotés de sensibilité.
Ils durciront la peine pour les traitements cruels et le meurtre d'animaux. Par exemple, une personne qui tue un rat qui s'est introduit dans sa maison encourt 12 à 24 mois de prison en Espagne. Si une chienne tombe enceinte et que son propriétaire n'est pas enregistré en tant qu'éleveur, il encourt une amende de 200.000 euros.
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