L’animal de compagnie devra disparaître dans le Great Reset

 

Que se passe-t-il d’un coup dans le monde des animaux de compagnie ? Il semblerait que la condition animale intéresse énormément l’État Français et d’autres pays.

M Darmanin nous explique qu’il est en train de créer 4.000 postes de gendarmerie pour dénoncer, enquêter, arrêter toutes sortes d’exactions contre les animaux [1]. On est d’abord surpris que l’État se préoccupe plus des animaux que des êtres humains.

Il paraît que les myocardites poussent comme des champignons en ce moment : 750.000 potentielles rien qu’en France [2]. Mais qu’importe, le sort des animaux est aussi intéressant à prendre en compte après tout. D’ailleurs une étude récente semble montrer que les animaux avaient eu un impact positif sur la santé mentale des personnes torturées par un confinement inutile [3].

Alors cette mesure gouvernementale c’est pour le bien de tous ou c’est l’application du plan mondialiste ?

On sait déjà que pour ceux de Davos il nous faudra vivre entassés les uns sur les autres sur une « ligne » [4]. Les seuls animaux qui seront autorisés à nous approcher de près seront les insectes que l’on devra ingurgiter. Il semble donc logique de faire disparaître nos amis considérés selon eux comme des producteurs de CO2 sur pattes et rien d’autre. Et si on peut nous faire plonger un peu plus dans la folie en nous enlevant toute forme d’apaisement, c’est tout bénef ! En plus avoir des êtres de chair et de sang près de nous, qui naissent, vivent, jouent, souffrent, meurent... ça colle pas avec le monde virtuel du Metavers tout ça.

Alors comment s’en débarrasser ? Oh, bien sûr, il y a toujours des épidémies à déclencher, et leurs vaccins associés. Mais on pourrait commencer par utiliser les bonnes intentions, par exemple utiliser la législation et faire monter la délation et la répression.

Prenons le meilleur ami de l’Homme par exemple : le chien. 
Depuis un moment il se passe beaucoup de choses autour de lui, d’abord la plus grosse augmentation sur la nourriture de l’année (+40 %) concernait les croquettes [5].

Et on voit que la législation monte, monte, monte :

 pour avoir moins d’abandons : on doit signer un certificat [6] 
 pour un meilleur suivi racial : les éleveurs de chiens inscrits au LOF doivent les tracer avec leurs ADN [7] 
 pour ne pas les traumatiser : interdictions des colliers électriques ou étrangleurs [8] 
 pour ne pas avoir des races souffrantes : interdiction des races aux museaux écrasés, comme aux Pays Bas [9] 
 pour ne pas polluer : taxe de 1 000 euros sur les chiens en Israël [10]

Pris une par une on peut trouver ces mesures intéressantes, mais si on les additionne...

Finalement, l’idée est simple, on attaque d’abord le pauvre : l’empêcher d’acheter, élever, nourrir, soigner ses animaux, et dénoncer tout ceux qui veulent passer entre les gouttes. Puis on remontera doucement la pyramide sociale, tout ça au nom du « bien-être animal ».

Il y a toujours une bonne raison pour faire avancer la grande réinitialisation.

E&R