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L’industrie de la FinTech a placé un homme de confiance à la tête du gouvernement britannique! Famine et dépopulation probables.

 Par Vincent Held via Liliane Held Khawam

Rishi Sunak, premier ministre britannique, est un ancien Goldman Sachs et l’heureux époux de l’héritière du fondateur de Infosys, le partenaire des banquiers centraux chargé de mettre au point les Monnaies centrales numériques. Infosys est aussi un développeur de metaverse. Cette entreprise est donc un des pivots-clés du Nouveau Monde cybernétique hébergeant des cyborgs. https://www.infosys.com/services/metaverse.html Commentaire LHK

Il faut une « campagne de type militaire » ! Et même un « état de guerre » ! Tout ceci pour « sauver la planète » !

On connaît le style parfaitement martial avec lequel le tout nouveau roi d’Angleterre enjoint tout un chacun, depuis quelques années déjà, de « réduire les émissions » de gaz carbonique. Ceci en vue de combattre « le changement climatique », comme on l’aura compris.

Un engagement écologiste bien dans l’air du temps et qui n’est manifestement pas pour déplaire à certains milieux d’affaires internationaux. En janvier 2020, celui qui n’était alors encore que prince de Galles avait ainsi été mis à l’honneur par le Forum de Davos en tant que porteur d’un « message vital pour sauver la planète ». Rien de moins ! Le futur Charles III y avait même été gratifié d’une couronne infographique aux couleurs des 17 « objectifs de développement durable » de l’Agenda 2030 de l’ONU. Objectifs qui incluent, bien évidemment, l’inévitable « protection du climat ».

Or voilà que la même année (2020, donc), le ministre des Finances britannique, un certain Rishi Sunak, annonçait l’engagement de son gouvernement en faveur de l’objectif de « zéro émissions nettes [de gaz carbonique] ». Et ce, dans une vidéo publiée non par son ministère ou par le gouvernement britannique… mais bien, là encore, par le Forum de Davos !

Quelques mois plus tard, on retrouvait le même Rishi Sunak à la fatidique COP26, déclarant son ambition de faire du Royaume-Uni « le premier centre financier aligné sur le ‘zéro émission nette’ ».

L’accession à quelques semaines d’intervalle de Charles III à la couronne d’Angleterre et de Rishi Sunak à la tête du gouvernement britannique augure ainsi d’une paupérisation inédite de l’ancien Empire, d’ores et déjà ravalé au rang « d’économie émergente » par les marchés financiers…

Alors que les dirigeants du pays semblent sur le point de déclarer la guerre aux « énergies fossiles », à la viande et à maint autres aliments, produits et activités suspectés de « nuire au climat », des millions de Britanniques sont en effet aujourd’hui placés face au dilemme « heat or eat » : se chauffer ou manger ! L’ancien premier ministre Gordon Brown prévoyant pour sa part déjà le retour d’une société « à la Dickens »

De fait, il est de notoriété publique depuis Malthus (lui-même anglais !) et son célèbre essai de 1798 « sur le principe de population », que la paupérisation (pour ne pas dire la famine) est un puissant facteur de réduction de la natalité – et donc de compression de la démographie.

« Un homme qui naît dans un monde déjà occupé, si sa famille n’a pas le moyen de le nourrir, ou si la société n’a pas besoin de son travail, cet homme, dis-je, n’a pas le moindre droit à réclamer une portion quelconque de nourriture : il est réellement de trop sur la terre. Au grand banquet de la nature il n’y a point de couvert mis pour lui. La nature lui commande de s’en aller… » (Un extrait de l’ouvrage susmentionné dans lequel l’auteur – un pasteur anglican… – expose ses convictions quant à la valeur de la vie humaine)

Or, cette approche résolument (et même brutalement) anti-nataliste rejoint parfaitement les préoccupations climatiques de nos oligarques davossiens ! De fait, comme nous avons eu l’occasion de le relever dans notre Civilisation en crise (2020) :

Voilà qui nous offre l’occasion de remettre quelques pendules à l’heure, en soulignant cette évidence : les récentes alertes médiatiques invitant à « réduire la population mondiale » pour « sauver la planète » concernent en réalité avant tout les pays occidentaux ! C’est ce qu’expliquait le quotidien Le Monde en janvier 2010 déjà :

« [L’ONU] a affirmé […] que le réchauffement planétaire ne peut être endigué que par une réduction massive de la population mondiale. […] Faut-il pour autant réduire la natalité dans les pays où elle est la plus élevée, à savoir les pays en développement ? Pas forcément […] chaque bébé qui naît aux États-Unis est responsable de [5 fois plus d’émissions de CO2] qu’un bébé [chinois] et 91 fois plus qu’un enfant [né au] Bangladesh. »

Dans le même opus, nous remarquions bien avant les récentes vagues de surmortalité et de dénatalité encore inexpliquées :

« Le World Economic Forum et l’ONU travaillent ainsi sur deux axes complémentaires : 1) la baisse de la natalité et 2) la hausse de la mortalité. »


Une évolution qui, en ce qui concerne la surmortalité tout au moins, ne semble pas être totalement étrangère à la campagne de « vaccination contre le covid » si agressivement promue par nos systèmes politico-médiatiques. La surmortalité de +55% (!) observée en Islande au mois de juillet pouvant par exemple difficilement s’expliquer par « la canicule » de l’été dernier (or il s’agit-là de l’explication-phare p. ex. de BFM TV pour appréhender ce phénomène « mystérieux »…)

Voilà qui pourrait dès lors expliquer l’allégeance enthousiaste du tout nouveau souverain britannique au projet de « Grande réinitialisation » lancé par Davos à la faveur de « la rare opportunité » (dixit Klaus Schwab) offerte par la « pandémie de covid-19 » :

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