Ave Maria - G.Caccini

Une lecture ésotérique de la sombre victoire du 24 avril...

 Nous n’allons pas discuter ici de la réalité de la victoire d’Emmanuel Macron sur Marine Le Pen datée du 24 avril 2022 à 20 heures, mais de l’autre lecture à donner à l’ascension aussi prodigieuse qu’inexplicable du jeune Emmanuel Macron, sans oublier ses origines, floues et volontairement embrouillées, jusqu’à sa marche nuptiale sur fond d’hymne antifrançais accompagné de son mentor serpenté et d’enfants (à piquer). Au fond, personne ne sait qui c’est, d’où il vient, qui sont ses parents, comment il a grandi. Comme si ce personnage de science-fiction ou de religion-fiction était arrivé tout neuf, un jour de mai 2017, parachuté par un engin étrange – un OVNI –, parti aussi vite qu’il était arrivé.

« Extraterrestre ». C’est l’histoire de l’affolante ascension d’un jeune homme pressé. Celle d’un Julien Sorel d’un siècle où la haute finance est devenue l’antichambre du pouvoir politique. À 34 ans, Emmanuel Macron a déjà eu trois vies. À 25 ans, en tant qu’apprenti philosophe (thèse sur l’intérêt général, DEA sur Hegel, maîtrise sur Machiavel), il devient l’assistant de Paul Ricœur. Cinq ans plus tard, après un passage par l’ENA et l’Inspection des finances, il entre chez Rothschild & compagnie comme banquier d’affaires. Début 2012, il est nommé gérant et se retrouve à piloter l’un des plus gros deals de l’année (le rachat par Nestlé d’une filiale de Pfizer). Un deal à 9 milliards d’euros qui lui permet de devenir illico millionnaire… Quelques jours plus tard, il entre à l’Élysée au poste de secrétaire général adjoint. « Et il n’était pas question pour lui de venir en tant que simple conseiller », raconte un proche.

En vérité, dès 2012, Libération s’était intéressé au personnage, déjà dans les rouages du pouvoir, profond pour ne pas le citer, et Faits & Documentsavait aussi suivi ce jeune « économiste » (mot fourre-tout), bercé par toutes les fées du Système. De notre côté, sur E&R, on avait noté en 2014 que la banque Rothschild nous avait encore placé, après Pompidou et Sarkozy, une fusée sur orbite politique.

 

 

Mais ce dont il est question aujourd’hui a plus sa place dans les rayons de l’ésotérique, du spirituel ou de l’eschatologique que dans celui du politique pur. En fait, tous ces domaines sont liés secrètement.

 

 

 

 

Pour ceux qui ont lu les numéros du journal Societyconsacrés à l’affaire Dupont de Ligonnès, une enquête poussée jusqu’à la racine, le mystère ne s’éclaircit pas mais il prend une dimension autre qu’un simple fait divers. XDDL a été élevé dans un esprit christique par une secte familiale ultracatholique. On espère ne pas tordre la réalité en écrivant cela, tant la chose est difficile à comprendre pour le citoyen moyen. 
Disons que le jeune Xavier a probablement été choisi, élu, par un groupe de croyants dirigé par sa mère et de riches soutiens, qui voulaient en faire un antéchrist, plutôt qu’un Christ, car un Christ ne se fabrique pas comme ça. Et puis il faut être pauvre. C’est nettement plus dur. Quand on est riche ou qu’on a déjà du pouvoir, on fabrique un antéchrist, pas un Christ.

 

 

L’Élu, que nous écrirons désormais avec une majuscule, est nanti de tous les pouvoirs, il est éternel, ou se croit éternel. Il est homme parmi les hommes, mais plus qu’un homme : c’est un homme augmenté de pouvoirs divins, dont la vision, plus grande, la divination – il sait des choses à l’avance. Il est naturel et surnaturel à la fois. 
Le Christ a le pouvoir de faire le bien, l’antéchrist le mal. le Christ annonce la venue sur Terre ou parmi les hommes du Royaume des Cieux, l’antéchrist annonce l’avènement du Diable. Tous ceux qui ont un peu de vécu, qu’ils soient croyants ou incroyants, savent qu’il y a un conflit entre Dieu et le Diable parmi les hommes, et dans chaque homme. De l’issue de ce conflit dépend notre vie future, et la vie sur Terre.

Parce qu’il est difficile de fabriquer un Christ, et que nos sociétés, qui sont fondées sur le mensonge et le meurtre (relire René Girard), n’en veulent pas trop, alors on voit fleurir des antéchrists, et souvent ce sont les maîtres du monde qui endossent cette panoplie. Naturellement, et en général, les maîtres de notre monde sont plus proches du Diable que de Dieu. Il y en a qui veulent très fort ces places de choix, car elles donnent accès à un pouvoir quasi absolu. Et quand on a le pouvoir, on se sent invincible, presque éternel.

Donc ces places tout en haut (Macron se prend pour le « sommet ») sont très convoitées, et c’est pour cette raison que des fées se penchent sur certains berceaux pour en faire de potentiels maîtres du monde. Ceux qui sont versés dans le bouddhisme tibétain savent que les dalaï-lamas, ces réincarnations successives du Bouddha originel, sont fabriqués pour le devenir, mais qu’ils sont choisis, au préalable, selon des critères qui correspondent à un possible dalaï. En d’autres termes, les Tibétains, ou plutôt leurs moines, fabriquent des dalaï comme les fournis se fabriquent une reine. 
L’exemple est mal choisi puisque le XIIIe du nom travaille pour la CIA, mais c’est le principe qui nous intéresse ici.

 

 

De ce point de vue, les Tibétains sont plus évolués que nous, qui ne savons ou ne voulons fabriquer de Christ. Or, c’est notre destin. Du coup, il y en a qui ne se gênent pas pour fabriquer des antéchrists, et ils sont guidés par le Diable, c’est-à-dire un esprit maléfique, l’esprit du mal. Car dans nos sociétés, dites occidentales avancées, c’est en exerçant le mal qu’on accède au pouvoir, et parfois au pouvoir suprême. 
Et entendons-nous bien : le mal, ce n’est pas juste pincer le bras de son voisin craintif à l’école, piquer le pain au chocolat du chétif, ou mettre une balayette sur un freluquet, c’est beaucoup plus que ça. C’est mentir, dominer, altérer, séduire, détruire, pas seulement par la main ou par l’arme, mais par l’esprit, qui est à la fois l’arme ultime, et le sauveur ultime. C’est l’esprit tordu, la langue de serpent, que l’on retrouve chez certains hommes politiques.

 

 

Imaginez maintenant une secte autrement plus puissante...

C’est ce qu’on retrouve chez Xavier et chez Manu. Les deux ont transformé ou voulu transformer les autres, leurs autres, en instruments de leur pouvoir, en esclaves ou en complices. Il n’y a pas de demi-mesure, avec les antéchrists. Et si l’on peut dire que XDDL a été un antéchrist, mais un antéchrist qui a foiré, Emmanuel en est un qui a réussi. XDDL, quand il a compris qu’il n’était finalement pas l’Élu, parce que son entourage a compris ou senti qu’il n’en était pas un, ou que cet entourage ne lui a pas renvoyé cette satisfaction, alors il les a éliminés. Emmanuel fait pareil, sauf que lui a réussi, mais il élimine aussi ceux qui ne croient pas en lui. Une élimination économique, médiatique, avant peut-être une élimination physique, si les incroyants persistent à ne pas le vénérer, et à le haïr.

Ainsi, et ce n’est pas nouveau pour les croyants qui sont à la fois dans le politique et le spirituel, les signes donnés par le couple royal imposteur (car ils ne sont pas de Dieu mais du Diable) sont sans équivoque, depuis cinq ans. L’Élu est arrivé tout en haut, son ascension a été facilitée par des fées (Minc, Attali et Rothschild), celles du pouvoir profond, et maintenant son étoile noire resplendit dans le ciel de France. Mais comme la nature, ou la Vie, a horreur du vide, une foi christique devrait s’opposer à ce fils du Diable. Notre-Dame a déjà brûlé sous son règne.

Et maintenant, les signes

Face à Audrey Crespo Mara, le président de la République décrit avec beaucoup d’émotion à quel point sa femme est importante, voire même indispensable dans sa vie. Questionné sur la première personne à qui il penserait en cas de victoire le 24 avril prochain, le chef d’État répond ainsi sans une once d’hésitation... à son épouse. « C’est évidemment à mon épouse parce que dans ces aventures de vie, ces engagements de jour et de nuit, vous engagez les vôtres. Et évidemment nos familles, nos parents, nos enfants, nos petits-enfants et mon épouse au premier-chef. Et j’aurais une pensée pour ma grand-mère qui n’est plus... » (Pure People)

Emmanuel n’a pas d’enfants (et pour cause), mais il parle de « ses » enfants, qui ne sont pas les siens. Les nôtres sont encore moins les siens, alors il nous menace de les « vacciner ».

 

 
 

 

 

 

 

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