Ave Maria - G.Caccini

Quand nous faisons le parallèle entre notre situation actuelle et les juifs sous les Nazis, on se fait traiter de tous les adjectifs synonymes de stupides, honteux etc etc. Bah dites le à ce Monsieur dont le père a été déporté à Auschwitz.

Une carte bancaire pour limiter son empreinte carbone en Suède

Petit résumé d'un des concepts clés de la 4ème révolution industrielle promue par le Forum économique mondial et par les mondialistes : « l'Internet des Corps »

 


📢🔴🇧🇾 Le président Biélorusse Loukachenko lors d’un discours le 28 janvier 2022

Non, le passe « vaccinal » ne servira pas à rien !

 Nous lisons et entendons, ici ou là, que le passe « vaccinal » serait d’ores et déjà obsolète, ne serait-ce que parce qu’il ne servirait à rien. 

Cette idée, fausse, est extrêmement dangereuse. Elle entretient des illusions funestes et risque de démobiliser les personnes qui ne veulent pas de cet engin. 

Bien sûr que le passe servira à quelque chose ! 

Les malfrats qui l’ont mis en place, ne sont pas des demeurés qui font n’importe quoi, comme cela, histoire de se distraire; ils servent des intérêts énormes et poursuivent des buts bien précis.

D’ailleurs, il n’y a qu’à s’informer auprès des promoteurs du passe, qui avouent de plus en plus impudemment leurs intentions, à commencer par le Sénat, dont des membres ont commis un rapport qui montre un bout de l’oreille. 

La connexion de toutes les données

Le passe ne sera plus seulement « vaccinal » : il va devenir un instrument multifonctions, une espèce de tout-en-un du flicage totalitaire. 

Il tiendra à la fois de la carte bancaire, de la carte de crédit, de la carte de sécurité sociale et de mutuelle, du titre de transport, du sésame informatique sans lequel il sera impossible d’accéder à quelque lieu que ce soit. 

Il comportera notamment les données suivantes : santé (vaccinations, médicaments consommés, dépenses de soins et remboursements par la Sécu ou la mutuelle, hospitalisations, opérations chirurgicales, maladies chroniques, mutuelles privées etc); impôts (revenus déclarés; montant de l’impôt sur le revenu; déductions fiscales, avec y compris la mention des organisations, partis politiques, syndicats ou associations auxquels l’individu aura fait des dons ouvrant droit à ces déductions; taxe foncière etc); patrimoine (propriétés immobilières et mobilières, assurance-vie, actions en Bourse …); consommation (produits achetés en magasin ou sur internet; dépenses journalières, mensuelles, annuelles, par type de denrée, par saison etc); déplacements (par transports collectifs ou individuels); voyages (temps passé dans tel ou tel pays, hôtels ou campings réservés, sites visités, montant total de l’argent déboursé sur le lieu de villégiature …); crédits (par exemple, crédits immobiliers). 

Une carte pour paiement numérique obligatoire

Le passe va servir aussi comme module de paiement numérique. 

Ce procédé sera obligatoire. En effet, l’oligarchie cache de moins en moins sa volonté de supprimer le liquide, et ce, entre autres, pour la raison suivante : actuellement, maintes petites transactions ne permettent pas aux banques de percevoir une commission : par exemple, quand on achète une baguette de 1 euro au boulanger avec une pièce de monnaie, ni le client ni le commerçant ne versent à la banque un pourcentage sur cet euro. 

Les organismes bancaires ne veulent donc plus de ce système. Aussi, le moindre règlement, même pour de très faibles sommes, sera acquitté par opération informatique, à l’occasion de laquelle et l’acheteur et le vendeur verseront des royalties à la banque. Dans le cas de notre boulangerie, le client et le boulanger seront prélevés chacun d’un certain pourcentage sur la somme de 1 euro. 

Inutile de préciser que, l’argent liquide ayant disparu, les personnes qui ne possèderont pas de passe, ne pourront rien acheter. 

A notre avis, le système risque de se mettre en place très rapidement. 

Très bientôt (si les projets de l’oligarchie ne sont pas arrêtés net), les individus qui détiennent un passe « vaccinal » seront contraints de l’utiliser comme moyen de paiement numérique. La personne qui aura été injectée mais qui désirera obstinément régler son expresso au cafetier en espèces, ne le pourra pas. La personne n’aura alors d’autre choix que de renoncer à sa terrasse de café, tout comme elle devra renoncer à sa séance de cinéma, à la visite du musée … ou aux courses en supermarché, car le paiement numérique sera obligatoire partout, y compris dans les magasins d’alimentation. 

Une société de con-sommation 

Parallèlement, des programmes informatiques calculeront ce que l’individu peut ou doit acheter et consommer.

Le passe/carte bancaire empêchera certaines dépenses. Et pas seulement pour de prétendus motifs environnementaux. 

Si la personne n’a plus que X euros sur son compte, la machine bloquera tout achat, autoritairement.

Si, selon l’intelligence artificielle, l’individu a déjà consommé trop de ceci ou de cela, elle empêchera toute nouvelle acquisition de ce produit pendant une certaine durée. 

Toutes les données étant interconnectées (frais de santé, maladies, hospitalisations, remboursements par la Sécu ou une mutuelle, abonnement ou absence d’abonnement à un club de sport …), le programme informatique pourra décréter que la personne ne doit pas acheter de sucre, ou de produits gras, ou de viande etc.

Mais, l’intelligence artificielle ne se contentera pas d’interdire telles ou telles dépenses; elle imposera celles qu’elle calculera comme étant nécessaires. 

Puisque les paiements et prélèvements s’effectueront automatiquement, c’est le programme informatique qui, d’office, effectuera tels ou tels achats pour l’individu, sans que l’avis de celui-ci soit sollicité. C’est la machine qui commandera tel produit ou tel médicament en ligne, et c’est la machine qui paiera, et l’individu n’aura qu’à se plier à cette décision. 

Deux exemples, qui ne sont pas les pires :

D’elle-même, l’intelligence artificielle prendra un abonnement à une salle de fitness, sous prétexte que monsieur X en a besoin. Ce dernier sera informé postérieurement et ne pourra pas s’opposer à cette « décision » . S’il ne fréquente pas la salle, il sera tenu pour responsable des problèmes de santé qui pourraient survenir; le programme informatique refusera alors tout remboursement de soins par la Sécu et la mutuelle. 

Le programme informatique décidera également si la personne doit aller ou non en cure thermale. Si oui, elle déterminera quand, où, combien de temps, dans quelle station et dans quel hôtel, quels sites touristiques doivent par ailleurs être visités etc. La machine effectuera les réservations et paiera sans même demander l’avis du curiste, qui sera juste sommé de partir à tel endroit à telle date, et prévenu que ses billets (de train, ou d’autocar) sont disponibles sur son appareil numérique. 

Là encore, si monsieur X ne va pas où on lui commande d’aller, ou si, sur place, il ne se rend pas aux soins assez assidûment, l’intelligence artificielle interdira tout remboursement des frais de santé par la Sécu ou la mutuelle. 

Péages à tous les étages

Le passe va également devenir indispensable pour circuler n’importe où. 

Il faudra le scanner pour prendre les transports en commun et même simplement entrer dans l’enceinte du métro, du RER, des gares etc. 

Ce système gangrènera une liste toujours plus étendue d’endroits : universités, écoles en général, bibliothèques, hôpitaux, routes et autoroutes, lieux de travail etc etc. 

D’ailleurs, les autorités vont fortement inciter – pour ne pas dire obliger – les entreprises à installer des espèces de bornes informatiques qu’il faudra scanner avec son passe pour pouvoir entrer. 

A terme, ce sont de véritables barrières qui fractionneront l’espace public, entravant la circulation des individus, d’autant que ces barrières deviendront des péages payants : à chaque passage, un certaine somme sera prélevée sur le compte de la personne. 

Sous n’importe quel prétexte, le passe sera désactivé, bloqué. La reconnaissance faciale s’ajoutant aux bornes numériques absolument partout et au traçage informatique généralisé, l’individu ne pourra plus accéder au RER, par exemple, s’il n’a pas payé ses impôts ou une amende (dans le cas où son compte, déficitaire, n’aurait pas pu être prélevé automatiquement), ou s’il a été filmé dehors à 21 heures en violation d’un couvre-feu, ou s’il est allé à plus de 10 kilomètres de chez lui malgré une interdiction, ou s’il a posté un commentaire contestataire sur un réseau social, ou s’il a dépassé son quota de CO2, ou s’il n’a pas reçu une nouvelle dose de tel prétendu vaccin ou de tel prétendu médicament. 

Du reste, en cas de confinement ou de couvre-feu, les passes seront programmés pour que personne ne puisse violer les interdictions de circuler; dans notre exemple, il sera impossible de pénétrer dans le métro si la station est à plus de 10 kilomètres de chez soi. 

De la même manière, le compte bancaire sera bloqué, ou vidé, au moindre prétexte. 

Ceux qui en douteraient, n’auraient qu’à prendre connaissance d’un [rapport récent pondu par des sénateurs et qui lève un tout petit peu le voile sur ce que l’oligarchie a prévu]url:Crises sanitaires et outils numériques : répondre avec efficacité pour retrouver nos libertés (senat.fr) . 

Du passe au pace en passant par la puce

Enfin, le passe « vaccinal » n’est qu’une étape vers le puçage obligatoire. Il ne fait aucun doute qu’à peine habituées à ce passe, on contraindra les populations à se faire pucer; ceux qui refuseront, seront « désactivés » (1). 

Déjà, une société suédoise a annoncé avoir mis au point un passe « sanitaire » sous forme de puce sous-cutanée. 

A terme, le puçage permettra d’inoculer aux individus des substances sans même qu’ils en soient informés ou qu’ils s’en aperçoivent. 

Le passe sera ainsi devenu un pace, terme hybride que nous proposons pour nommer ce passe sous forme de puce (2). 

En conclusion, il serait suicidaire de croire que le passe « vaccinal » serait inutile et donc voué à disparaître rapidement. C’est exactement le contraire : les fonctions du passe seront toujours davantage étendues. 

Il serait tout aussi suicidaire de penser que le covidisme est en train de se retirer au profit d’un retour aux libertés. C’est encore une idée dangereuse qui est véhiculée ici ou là : on évoque l’Irlande, le Royaume-Uni, l’Autriche, l’Espagne, ou d’autres contrées, oubliant qu’elles comptent parmi les pires en matière de violations des libertés et des droits de l’Homme sous prétexte de prétendue pandémie. Sérieusement, il y a des gens assez naïfs pour s’imaginer que l’oligarchie jetterait l’éponge, tout à coup, comme cela, après avoir fait tout ce qu’elle a fait depuis plus de deux ans ? Certes, il ne faut ni décourager les résistants, ni contester que leur action ait pu, ou puisse à l’avenir, freiner la dictature. Mais, craignons la démobilisation. Il est plus que jamais nécessaire de se battre parce que l’oligarchie, qui ne renonce jamais à faire le mal, a déjà programmé les attaques suivantes. 

 

(1) Quel mot horrible ! Mais, ô combien révélateur ! Dans ce mot, il y a l’idée que l’être humain n’est qu’une machine, et qu’on peut le mettre hors service (le tuer) aussi facilement.

(2) Nous suggérons le mot pacé pour qualifier l’individu qui détiendra un passe sous la forme d’une puce. En somme, en quelques années, nous serons donc passés des pacsés aux pacés.


 

Tiré d'un article paru sur Réseau international ...LE RETOUR à LA TERRE !!!

Cette critique petite-bourgeoise du fascisme vaccinal a hélas un travers majeur : l’anticommunisme compulsif nourri de l’expérience négative du social-impérialisme soviétique, c’est-à-dire de la restauration du capitalisme sous la forme d’un capitalisme monopoliste d’Etat ayant maintenu, trois décennies durant, les acquis sociaux hérités de la période socialiste, jusqu’au déclassement brutal du social-impérialisme soviétique lui-même en 1991. Combien Edward Snowden a-t-il raison de souligner « à quel point il est difficile d’exposer la vérité dans un Monde rempli de gens qui ne sont pas conscients de vivre dans le mensonge ». Chacun doit bien comprendre que la civilisation du mensonge mise en œuvre par le Capital financier occidental ne date pas d’il y a deux ans, mais remonte à bien plus loin dans le temps…


Si la petite bourgeoisie s’obstine et s’entête dans son aveuglement farouchement anti-communiste, elle aura inévitablement le déclassement économique et la Guerre civile. On ne peut en effet combattre le mensonge sur la base d’autres mensonges. Et les mensonges se paient en définitive un jour au prix fort… Chacun doit bien avoir conscience de l’ampleur du déclassement économique qui attend l’Occident et dont le Liban constitue à n’en pas douter le miroir de l’avenir proche.


Ce pays est aujourd’hui le champ d’expérimentation de l’ingénierie sociale du Capital financier occidental. Et du point de vue des élites mondialisées occidentales, il fait peu de doute que l’expérience soit jugée concluante au regard de ce qui nous a été rapporté récemment :

« Liban : préfiguration de la future société mondiale. « L’agriculture, branche de production essentielle dans tout le monde antique, l’était redevenue plus que jamais ». Ce qui risque d’advenir prochainement : le retour forcé à la terre : c’est déjà le cas au Liban où de nombreuses personnes sont contraintes de retourner dans leur village pour s’adonner à l’agriculture. À cet égard, il est utile de souligner que le Liban, pays autrefois appelé la Suisse du Moyen-Orient, aujourd’hui précipité dans la paupérisation absolue, est en voie de se transformer en Yémen, 

Ursula accélère l’identité numérique européenne pour détruire les Etats-nations

 

Dans un discours devant le Parlement Européen, Ursula von der Leyen a évoqué l’identité numérique européenne comme une solution majeure pour l’Union. Pour beaucoup d’Européens, ce sujet technique ne mérite pas un tel traitement de faveur. Ils n’ont pas compris qu’Ursula lui accorde une telle importance… parce qu’il est l’arme fatale, mais cachée, pour détruire définitivement les Etats-nations et la résistance opiniâtre qu’ils continuent à opposer aux projets dystopiques de la caste mondialisée. Dans cinq ou six ans, un état-civil européen remplacera les états-civils nationaux et permettra de mettre en place un crédit social à la chinoise. Si nous ne nous y opposons pas.

L’identité numérique européenne n’intéresse que quelques esprits habiles, aujourd’hui, qui subodorent naturellement le coup fourré lorsque la Présidente de la Commission tonitrue publiquement sur un sujet en apparence aussi insignifiant.

Pourquoi accorder une telle importance politique à un sujet en apparence aussi annexe pour la vie quotidienne ?

Tout simplement parce qu’il est en réalité fondamental, et destiné à régler la question qui obsède depuis des décennies la caste mondialisée particulièrement puissante aux Etats-Unis : il permettra de détruire définitivement ces vieilles nations européennes qui se font la guerre et conquièrent le monde depuis des siècles.

L’état-civil, une fonction fondamentale pour “tenir” une société

Il faut d’abord comprendre ce qu’est l’identité numérique européenne. Dans la pratique, il s’agit d’archiver les états-civils des Etats membres et de les “grand-remplacer” progressivement par un état-civil européen.

Si l’on admet l’hypothèse que la première fonction d’un Etat est de donner une identité à ses membres appelés les “citoyens” en démocratie, alors on comprend que le registre des identités est une fonction fondamentale pour constituer ce qu’est un Etat. Et l’on comprend que perdre l’état-civil, c’est perdre l’Etat lui-même.

Naturellement, tout citoyen lie son identité à celui qui la note, la détermine, la documente, l’archive.

Ce n’est pas un hasard si, sous la Révolution Française, en 1792, l’état-civil est passé entre les mains de l’Etat. L’émergence d’un Etat laïque est indissociable de la désacralisation de l’état-civil.

Il ne faut pas s’y méprendre : la création, sous couvert de “révolution digitale”, d’un état-civil européen signe le coup d’envoi d’un grand mouvement de disparition des Etats-nations en Europe.

D’ailleurs, lorsque cette identité numérique européenne se mettra en place, intégrera-t-elle encore la mention d’une nationalité française, allemande, hongroise, grecque, ou mentionnera-t-elle seulement “européen” ? Tout cela dépendra de normes édictées par la Commission Européenne.

Autrement dit, le droit de la nationalité devrait être prochainement transféré à la Commission Européenne. C’est explosif, mais comme l’ensemble est présenté de façon “technique”, personne ne réagit.

La dystopie de l’identité numérique européenne

Bien entendu, présentée de cette façon, l’identité numérique européenne prend un tour un plus inquiétant que la simple affirmation idyllique d’Ursula von der Leyen devant le Parlement européen.

Mais la dystopie ne s’arrête pas là.

Nous conseillons à tous nos lecteurs de s’intéresser à ce que le site de la Commission Européenne annonce à propos de l’identité numérique de l’Union :

L’identité numérique européenne peut être utilisée dans un grand nombre de cas, par exemple pour:

  • utiliser des services publics, comme pour demander un acte de naissance ou un certificat médical ou signaler un changement d’adresse;
  • ouvrir un compte bancaire;
  • remplir une déclaration fiscale;
  • s’inscrire dans une université, dans son pays d’origine ou dans un autre État membre;
  • conserver une prescription médicale utilisable partout en Europe;
  • prouver son âge;
  • louer une voiture au moyen d’un permis de conduire numérique;
  • s’enregistrer au début d’un séjour à l’hôtel.

Au passage, la Commission diffuse quelques schémas intéressants sur l’identité numérique européenne :

Il faut ici bien mesurer l’engrenage dans lequel la Commission Européenne entend nous mettre les doigts de force : il ne sera plus possible de demander un prêt bancaire, demain, sans l’identité européenne.

Pour bien comprendre la manoeuvre qui se prépare, il faut relier le schéma de la Commission sur le prêt bancaire avec ce que la Commission écrit sur son site : l’identité numérique aura des usages bancaires, mais aussi sanitaires ou touristiques.

L’identité numérique européenne permettra concrètement de savoir qui est vacciné, qui a par conséquent le droit de voyager… ou d’emprunter à la banque.

Euro numérique et identité européenne

Bien entendu, ce projet n’a de sens que lié à la mise en place d’un euro numérique dont nous annonçons l’accélération avec insistance depuis plusieurs semaines.

Dès 2023, la Banque Centrale Européenne mettra des euros numériques en circulation, qui ressembleront beaucoup à des “jetons”, des “tokens” de crypto-monnaies, à cette différence près que leur répartition sera tracée de façon centralisée par un organisme officiel qui aura le pouvoir juridique de les “débrancher”, de les “démonétiser” quand il le voudra.

Comme le suggère de façon très pertinente Nicolas Teterel dans Cointribune, ce système permettra de mieux contrôler les dépenses de chacun.

Il y a de fortes chances que la finalité d’une monnaie programmable soit tout simplement d’organiser un rationnement en interdisant l’accumulation d’achats trop gourmands en énergie (CO2).

Autrement dit, l’euro numérique permettra de bloquer automatiquement et à distance ceux qui achètent trop d’essence, consomment trop d’électricité ou mangent trop de viande.

Supposons qu’une norme future vous autorise à consommer un maximum de 1.000 litres d’essence par an, soit 12.500 kilomètres environ, la BCE pourra ordonner le blocage de tout achat d’essence au-delà de 1.000 litres, ou alors sa sur-taxation…

La dystopie du crédit social prend place

Derrière cette idée, traîne le principe du crédit social dont le passe vaccinal nous donne l’exemple de la première application.

Progressivement, la gouvernance de la société européenne va basculer d’une société de la règle et du droit vers une société de la morale et du conformisme.

Il y aura d’un côté ceux qui obéiront à la morale en place : se faire vacciner selon les normes définies par un aréopage incontrôlable de scientifiques choisis par le pouvoir, ne pas produire trop de CO2, probablement ne pas boire trop d’alcool, fumer trop de cigarettes, avoir une vie trop dissolue, faire trop d’enfants, etc. Ceux-là bénéficieront d’un crédit social positif, et continueront à fréquenter les salles de spectacle, de restaurant et de danse.

D’un autre côté, il y aura les dissidents, dont la dissidence sera plus ou moins intense : ceux-ci seront directement frappés au portefeuille, sans même que la maréchaussée intervienne. Le non-vacciné ne pourra acheter une place de cinéma, le producteur de CO2 ne pourra plus acheter d’essence au-delà d’une consommation donnée, et l’alcoolique sera privé d’alcool à partir d’une certaine dose.

La société de la morale bienveillante prend forme.

Comment vous serez spolié avec l’euro numérique

Baucoup imaginent que cette société relève du cauchemar complotiste. Le problème est qu’elle n’est pas un fantasme, elle est d’ores et déjà technologiquement possible. Il lui manque seulement le saut vers l’euro numérique pour se mettre en place.

C’est précisément ce saut qui devrait commencer en 2023, comme nous l’avons indiqué en fin d’année dernière, et qui se poursuivra jusqu’en 2025.

Les institutions européennes ont pris deux ans d’avance sur le calendrier initial. De notre point de vue, l’explication de cette accélération réside dans la revanche que Donald Trump serait susceptible de prendre s’il parvenait au pouvoir en 2025. Dans cette hypothèse, tout ce qui ne serait pas gravé dans le marbre pourrait être remis en cause.

Il faut donc engranger le maximum de résultats avant un éventuel retournement.

L’enjeu de l’euro numérique est de contrôler les populations par la monnaie, en développant et en mettant en pratique la théorie monétaire moderne, telle qu’elle est “digérée” par le Great Reset de Schwab : helicopter money, regain d’inflation, hausse de la fiscalité pour les patrimoines moyens.

Il faut comprendre ici que le scénario de l’euro numérique est co-écrit avec le scénario de la catastrophe financière : pour relancer l’activité, la Banque Centrale Européenne fabrique de la monnaie (de singe) qui provoque de l’inflation qui est jugulée par une hausse d’impôts sur les classes moyennes. Autrement dit, c’est la richesse de l’Européen moyen qui sera, à travers un euro numérique inquisiteur, mise à contribution pour rembourser les immenses dettes contractées depuis le début de la crise du COVID pour financer des achats auprès de l’hyper-capital américain.

De là à penser que les turbulences actuellement à l’oeuvre sur les marchés financiers (nous avions largement prévenu de leur arrivée) sont cousues de fil blanc pour justifier une débâcle de grande ampleur au terme de laquelle tout le monde applaudira des deux mains à la mise en place d’une monnaie numérique liberticide, il n’y a qu’un pas.

Bref, l’euro numérique, c’est la spoliation programmée de l’épargnant moyen, et tout indique que des théoriciens économiques ont d’ores et déjà écrit le scénario à venir. Dans leur esprit, c’est le prix à payer pour faire disparaître les vieux Etats-Nations européens.

Comprenez que c’est la fin de la France qui s’annonce.

La fabrication du consentement !

Klaus Schwab devant la John F. Kennedy School of Government de Harvard en 2017 : « Ce dont nous sommes très fiers, c'est que nous pénétrons les cabinets mondiaux des pays avec nos jeunes leaders mondiaux du WEF… comme Trudeau. Hier j'ai été à une réception du gouvernement canadien et j'ai constaté que la moitié de ce gouvernement, même plus que la moitié, faisait partie du Forum économique mondial.»

La seule solution au Grand Reset par le frère Bugnolo sous- titré en français

📢🔴🇦🇩 Le député européen roumain Cristian TERHEŞ explique la manière dont la Commission européenne est en train de progressivement mettre en place le crédit social à la chinoise à travers un identifiant digital unique, qui sera aussi lié au «réchauffement climatique»

📢🇫🇷🔴 Nathalie Marquay annonce que Jean-Pierre Pernaut a été victime de 4 mini AVC depuis l'administration de sa 3e dose de vaccin.

💉🔴 Témoignage d'un commandant de bord sur les effets secondaires de la vaccination

Cryptomonnaies, actions, le carnage se poursuit ?

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La femme adopte ce chien du refuge pour animaux. C'est juste magnifique

Bill Gates met en garde contre une « pandémie bioterroriste » à venir si les gouvernements n’obtempèrent pas !

 Le milliardaire mondialiste Bill Gates a exhorté les dirigeants du monde entier à se préparer à une « attaque bioterroriste » imminente qui se traduira par une pandémie bien plus meurtrière que celle du Covid.

Lors d’une interview accordée à Policy Exchange au président de la commission parlementaire de la santé, Jeremy Hunt, mercredi, Bill Gates a appelé à la création d’un nouvel organe de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Au cours de l’interview, Bill Gates a exigé que des dizaines de milliards de dollars soient injectés dans le financement d’un « groupe de travail sur les pandémies » de l’OMS.

Le milliardaire mondialiste a fait valoir que parce qu’il a « prédit » que le monde ne serait pas préparé à la pandémie actuelle de Covid-19 dans un Ted Talk de 2015, l’humanité devrait tenir compte de ses nouveaux avertissements. Bill Gates a fait l’éloge de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande pour leur « gestion compétente » tout au long de la pandémie de Covid.

Ces deux pays ont mis en place des mesures de confinement parmi les plus draconiennes au monde.

En ce qui concerne le financement de la prochaine vague de préparation à la pandémie, Bill Gates a demandé aux États-Unis et au Royaume-Uni d’être les principaux bailleurs de fonds.

Il faudra probablement un milliard de dollars par an pour un groupe de travail sur les pandémies au niveau de l’OMS, qui se charge de la surveillance et de ce que j’appelle les « jeux de germes » », a-t-il déclaré à Hunt.

Les « jeux de germes » décrits par Bill Gates impliquent des situations hypothétiques telles que « que faire si un bioterroriste apportait la variole dans dix aéroports ?

« Il existe des épidémies d’origine naturelle et des épidémies causées par le bioterrorisme qui pourraient même être bien pires que ce que nous avons connu aujourd’hui », a-t-il expliqué.

Bill Gates a appelé à la création d’un plus grand nombre d’usines pour produire « des vaccins bon marché, éradiquer la grippe, se débarrasser du rhume, faire en sorte que les vaccins soient juste un petit patch que vous mettez sur votre bras ».

S’exprimant presque comme une personne faisant du chantage, Bill Gates a déclaré avec sarcasme que les billions de dollars et les millions de vies perdues pendant la pandémie de Covid devraient suffire à convaincre les nations de dépenser davantage pour se préparer aux pandémies.

Le fondateur de Microsoft n’est pas la seule personne à s’inquiéter du retour de la variole via des agents bioterroristes.

En juin, la FDA a approuvé le Tembexa (brincidofovir) pour traiter la variole.

Selon le site web de la FDA, « Bien que l’Organisation mondiale de la santé ait déclaré la variole, une maladie infectieuse contagieuse et parfois mortelle, éradiquée en 1980, on craint depuis longtemps que le virus responsable de la variole, le virus variolique, puisse être utilisé comme arme biologique. »

L’agence fédérale a approuvé le premier médicament ayant une indication pour le traitement de la variole en 2018.


Pour ceux qui n'auraient pas encore compris ce qui se cache derrière le Pass Vaccinal....

Risquer une méningite pour savoir si on a un rhume....😓

Traduisez ici (choix multiples)