L'évêque Athanasius Schneider a parlé à Medias-Press.info le 24 septembre. Points forts.
• Je crois que le compromis de la part des responsables du Saint-Siège, de nombreux évêques et même de prêtres et de laïcs d’esprit traditionnel, avec l’énorme mal de l’industrie fœtale en croissance quotidienne, dont le produit important est les vaccins souillés par l’avortement, c’est aussi un manque de courage pour lutter sans compromis contre le mal monstrueux qu’est l’industrie fœtale.
• Personne ne peut douter que nous vivons à une époque qui présente clairement les caractéristiques d’une dictature athée mondiale et où le péché et la rébellion contre Dieu ont atteint des proportions presque inimaginables.
• Le Motu Proprio et la lettre d’accompagnement commettent une injustice contre tous les catholiques qui adhèrent à la forme liturgique traditionnelle, en les accusant en généralisant de semer la discorde.
• De plus, le ton désobligeant de ces documents à l’égard de la forme liturgique traditionnelle conduirait tout observateur impartial à conclure que de tels arguments ne sont qu’un prétexte et une ruse, et qu’il s´agit ici d´une autre chose.
• Un trésor liturgique valable et très estimé depuis près de mille ans n’est pas la propriété privée d’un pape, dont il peut disposer librement. Par conséquent, les fidèles, les séminaristes et les prêtres doivent demander le droit d’utiliser ce trésor commun de l’Église, et s’ils se voient refuser ce droit, ils peuvent néanmoins l’utiliser.
• La diffusion croissante des célébrations de la Messe traditionnelle révèle à tous qu’il existe – après un examen honnête et plus approfondi – une véritable rupture entre les deux rites aussi bien rituellement que doctrinalement.
• Le rite traditionnel est, pour ainsi dire, un reproche constant aux autorités du Saint-Siège qui leur veut dire : « Vous avez fait une révolution dans la liturgie. Retournez à une vraie continuité entre les deux formes liturgiques ».
• La réforme liturgique que les Pères du Concile avaient à l’esprit est celle que Paul VI a approuvée en 1965 et que les Pères du Concile ont célébrée lors de la dernière session.
• Il faut jeter un regard large sur la crise extraordinaire qui frappe l’Église depuis près de 60 ans et qui a atteint des proportions vraiment terrifiantes sous le pontificat du pape François.
• Je pense qu’il y a, tout à fait, encore des évêques dans l’église qui vivent l’intégrité de la foi et de la liturgie avec conviction et l’aiment. Cependant, il n’y a pas un grand nombre d’évêques qui s’engagent pour cela publiquement. Parfois, la raison en est la faiblesse humaine et la peur d’être exposé, ou la peur d’une attaque ; dans certains cas, c’est la peur de ne pas pouvoir faire carrière ou même d´être relevé de sa charge.
#newsKfpmyxroyn
• Je crois que le compromis de la part des responsables du Saint-Siège, de nombreux évêques et même de prêtres et de laïcs d’esprit traditionnel, avec l’énorme mal de l’industrie fœtale en croissance quotidienne, dont le produit important est les vaccins souillés par l’avortement, c’est aussi un manque de courage pour lutter sans compromis contre le mal monstrueux qu’est l’industrie fœtale.
• Personne ne peut douter que nous vivons à une époque qui présente clairement les caractéristiques d’une dictature athée mondiale et où le péché et la rébellion contre Dieu ont atteint des proportions presque inimaginables.
• Le Motu Proprio et la lettre d’accompagnement commettent une injustice contre tous les catholiques qui adhèrent à la forme liturgique traditionnelle, en les accusant en généralisant de semer la discorde.
• De plus, le ton désobligeant de ces documents à l’égard de la forme liturgique traditionnelle conduirait tout observateur impartial à conclure que de tels arguments ne sont qu’un prétexte et une ruse, et qu’il s´agit ici d´une autre chose.
• Un trésor liturgique valable et très estimé depuis près de mille ans n’est pas la propriété privée d’un pape, dont il peut disposer librement. Par conséquent, les fidèles, les séminaristes et les prêtres doivent demander le droit d’utiliser ce trésor commun de l’Église, et s’ils se voient refuser ce droit, ils peuvent néanmoins l’utiliser.
• La diffusion croissante des célébrations de la Messe traditionnelle révèle à tous qu’il existe – après un examen honnête et plus approfondi – une véritable rupture entre les deux rites aussi bien rituellement que doctrinalement.
• Le rite traditionnel est, pour ainsi dire, un reproche constant aux autorités du Saint-Siège qui leur veut dire : « Vous avez fait une révolution dans la liturgie. Retournez à une vraie continuité entre les deux formes liturgiques ».
• La réforme liturgique que les Pères du Concile avaient à l’esprit est celle que Paul VI a approuvée en 1965 et que les Pères du Concile ont célébrée lors de la dernière session.
• Il faut jeter un regard large sur la crise extraordinaire qui frappe l’Église depuis près de 60 ans et qui a atteint des proportions vraiment terrifiantes sous le pontificat du pape François.
• Je pense qu’il y a, tout à fait, encore des évêques dans l’église qui vivent l’intégrité de la foi et de la liturgie avec conviction et l’aiment. Cependant, il n’y a pas un grand nombre d’évêques qui s’engagent pour cela publiquement. Parfois, la raison en est la faiblesse humaine et la peur d’être exposé, ou la peur d’une attaque ; dans certains cas, c’est la peur de ne pas pouvoir faire carrière ou même d´être relevé de sa charge.
#newsKfpmyxroyn
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire