L'humanité est accablée par... : des guerres, des révolutions, des crises aiguës, des vagues de chômage, des ruines gigantesques, des bouleversements terribles. des assassinats politiques, des déchirements sociaux, des craintes et des angoisses, des dépressions sans précédent.
Les mœurs changent, la morale est a la baisse, l'autorité est minée, foi nationale et foi religieuse sont attaquées, la civilisation est ébranlée. D'où vient tant de mal ? Des Français? des Anglais? des Italiens? des Américains? des Polonais? des Arabes? des Esquimaux? Non ! Cependant, il y a des gens qui avouent leur culpabilité, qui s'en vantent, qui expliquent pourquoi, dans quel but, pour quel profit. Ils disent d'où vient le grand mal, où il conduit.
Cela ne date ni d'aujourd'hui ni d’hier….[1]
Vous n'avez qu'à lire !
1- Un plan Juif de conquête mondiale
Dans son numéro du 1er juillet 1880; Le Contemporain , grande revue parisienne, publiait un long article intitulé Compte rendu de Sir John Readcliff sur les événements politico-historiques survenus dans les dix dernières années . C'était le texte d'un discours prononcé à Prague par le rabbin Reichorn, en 1869, sur la tombe du grand rabbin Siméon-ben-Jéhouda. Ce document a aussi été reproduit dans le livre La Russie Juive , de Calixte de Vodsky, puis par The Britons , Londres, La Vieille France (No 214) et de nombreux autres journaux. ''La Vieille France révélait que Readcliff fut tué peu après la publication du document, et que le Juif qui le lui avait fait tenir (Lasalle) fut tué en duel.
Voici le discours prononcé par le rabbin Reichorn:
Tous les cent ans, nous, les Sages d'Israël, avons accoutumé de nous réunir en Sanhédrin, afin d'examiner nos progrès vers la domination, que nous a promise Jéhovah, et nos conquêtes sur la chrétienté ennemie. Cette année, réunis sur la tombe de notre vénéré Siméon-ben-Jéhouda, nous pouvons constater avec fierté que le siècle écoulé nous a rapprochés du but, et que ce but sera bientôt atteint. L'or a toujours été, sera toujours la puissance irrésistible. Manié par des mains expertes, il sera toujours le levier le plus utile pour ceux qui le possèdent, et l'objet d'envie pour ceux qui ne le possèdent pas. Avec l'or, on achète les consciences les plus rebelles, on FIXE LE TAUX DE TOUTES LES VALEURS, le COURS DE TOUS LES PRODUITS, on subvient aux EMPRUNTS DES ÉTATS qu'on tient ensuite à sa merci. Déjà les principales banques, les Bourses du monde entier, les créances sur tous les gouvernements sont entre nos mains. L'autre grande puissance est la presse. En répétant sans relâche certaines idées, la presse les fait admettre à là fin comme vérités. Le théâtre rend des services analogues. (Note: le cinéma n'existait pas alors). Partout la presse et le théâtre obéissent à nos directives. • Par l'éloge infatigable du régime démocratique, nous diviserons les chrétiens en partis politiques, nous détruirons l'unité de leurs nations, nous, y sèmerons la discorde. Impuissants, ils subiront la loi de notre Banque, toujours unie, toujours dévouée à notre cause. Nous pousserons les chrétiens aux guerres en exploitant leur orgueil et leur stupidité. Ils se massacreront et déblayeront la place où nous pousserons les nôtres. La possession de la terre a toujours procuré l'influence et le pouvoir. Au nom de la justice sociale et de l'égalité, nous morcellerons les grandes propriétés; nous en donnerons les fragments aux paysans qui les désirent de toutes leurs forces, et qui seront bientôt endettés par l'exploitation. Nos capitaux nous en rendront maîtres. Nous serons à notre tour les grands propriétaires, et la possession de la terre nous en assurera le pouvoir. Efforçons-nous de remplacer dans la circulation, l'or par le papier-monnaie; nos caisses absorberont l'or, et NOUS RÈGLERONS LA VALEUR DU PAPIER, ce qui nous rendra maîtres de toutes les existences. Nous comptons parmi nous des orateurs capables de feindre l'enthousiasme et de persuader les foules; nous les répandrons parmi les peuples, pour leur annoncer les changements qui doivent réaliser le bonheur du genre humain. Par l'or et par la flatterie, nous GAINERONS LE PROLÉTARIAT, qui, se chargera d'anéantir le capitalisme chrétien. Nous promettons aux ouvriers les salaires dont ils n'ont jamais osé rêver, mais nous élèverons aussi le prix des choses nécessaires, tellement que nos profits seront encore plus grands. De cette manière, nous préparerons les révolutions que les chrétiens feront eux-mêmes et dont nous cueillerons les fruits. Par nos railleries, par nos attaques, nous rendrons leurs prêtres ridicules, et plus odieux; leur religion aussi ridicule, aussi odieuse que leur clergé. Nous serons alors maîtres de leurs âmes. Car notre pieux attachement à notre religion, à notre culte, en prouvera la supériorité de nos âmes. Nous avons établi déjà de nos hommes dans toutes les positions importantes. Efforçons nous de fournir aux goyim des avocats et des médecins; les avocats sont au courant de tous les intérêts; les médecins, une fois dans la maison, deviennent des confesseurs et des directeurs de conscience. Mais surtout accaparons l'enseignement. Par là nous répandrons les idées qui nous sont utiles, et nous pétrirons les cerveaux à notre gré. Si l'un des nôtres tombe malheureusement dans les griffes de la justice chez les chrétiens, courons à son aide; trouvons autant de témoignages qu'il en faut pour le sauver de ses juges, en attendant que nous soyons nous-mêmes les juges. ''Les monarques de la chrétienté, gonflés d'ambition et de vanité, s'entourent de luxe et d'armées nombreuses.. Nous leur fournirons tout l'argent que réclament, leurs folies, et nous les tiendrons en laisse. Gardons-nous d'empêcher le mariage de nos hommes avec les filles chrétiennes; car, par elles, nous pénétrons dans les cercles les plus fermés. Si nos filles épousent des goyim, elles ne nous seront pas moins utiles, car les enfants d'une mère juive sont à nous. Propageons l'idée de l'union libre, pour détruire chez les femmes chrétiennes l'attachement aux principes et aux pratiques de leur religion. Depuis des siècles, les fils d'Israël, méprisés, persécutés, ont travaillé à se frayer une voie vers la puissance. Ils touchent au but. Ils contrôlent la vie économique des chrétiens maudits, leur influence est prépondérante sur la politique et sur les mœurs. A l'heure voulue, fixée d'avance, nous dé chaînerons la Révolution qui, ruinant toutes les classes de la chrétienté, nous asservira définitivement les chrétiens. Car ainsi s'accomplira la promesse de Dieu, faite à Son peuple .
(Naturellement, les Juifs ont renié ce document. N'ont ils pas souvent renié l'authenticité des évangiles?, Une dénégation de plus ou de moins, ce n'est pas ce qui les fatigue. Le Canadian Jewish Congres a trouvé un argument formidable: Reichorn, qui parla en 1869, n'a jamais existé parce qu'on ne trouve pas son nom dans la liste des rabbins enterrés dans le vieux cimetière de Prague fermé en 1787. Le Canadian Jewish Congress nous réfère, comme preuve, à la Jewish Encyclopedia qui, au vol XI, affirme que les épîtres de saint Paul sont des faux. On voit par là ce que valent les arguments juifs).
L'amour de la patrie :
DR BERNARD FISCHER, rabbin. Chres tomatie talmudique , p. 230:
Ne nous trompons pas et avouons ouvertement que toutes les peines que nous prendrons pour inoculer un patriotisme enthousiaste au judaïsme talmudique seront perdues. Le judaïsme est assez vieux et, dans ses migrations pénibles, il a eu trop d'expériences amères pour qu'il puisse encore se livrer à cette inclination enfantine de grand style, nom que je désirerais donner à l'amour de la patrie
Les dessous de la lutte pour le prolétariat :
Le Juif Baruch Lévi, intime de Karl Marx, Adolphe Crémieux et Rothschild, écrivait à Karl Marx la lettre suivante, reproduite dans de nombreux livres et journaux :
Dans la nouvelle organisation de l'humanité, les enfants d'Israël se répandront sur toute la surface du globe et deviendront partout, sans opposition, l'élément dirigeant, surtout s'ils 'réussissent à imposer aux classes ouvrières le ferme contrôle de quelques-uns d'entre eux. Les gouvernements des nations formant la République Universelle passeront sans effort aux mains des Juifs sous le couvert de la victoire du prolétariat. La propriété privée sera alors supprimée par les gouvernants de race juive, qui contrôleront partout les fonds publics. Ainsi se réalisera la promesse du Talmud que, lorsque le temps du Messie arrivera, les Juifs posséderont les biens de tous les peuples de la terre.
(Lettre citée dans La Revue de Paris , 1er juin 1928, page 574)
Bien renseignés :
Dr EHRENPREIS, grand rabbin de Suède, dans le Judisk Tidskrift , No 6, août-sept. 1929:
Theodor Herzl a prévu vingt ans à l'avance les événements avant que nous en ayons fait l'expérience, les révolutions, amenées par la Grande Guerre, et il nous prépara pour ce qui allait arriver.
(Les Protocoles des Sages de Sion , que plusieurs auteurs attribuent à Herzl, ont aussi annoncé les événements actuels vingt ans à l'avance !)
L'écroulement de Gog :
BRITISH ISRAËL TRUTH , 1906, par les Juifs Dinnis Hanau et Aldersmith:
Le retour complet, définitif et triomphant des Juifs, aura lieu après l'écroulement de Gog (la Russie [2]). Nous pouvons attendre des changements considérables de la Grande Guerre qui s'en vient, qui est suspendue sur les nations d'Europe. Selon notre interprétation des prophéties, l'Empire turc sera démembré, et alors une grande puissance comme l'Angleterre ne peut pas permettre qu'une autre puissance occupe la Palestine.
(Bien noter la date de ce document).
2- LE TERRIBLE COMPLOT
Programme d'enjuivement du monde entier :
Le Jewish World , l'un des principaux journaux juifs d'Angleterre, publiait à Londres, le 9 février 1883, les lignes significatives suivantes :
La dispersion des Juifs a fait d'eux un peuple cosmopolite. Ils sont le seul peuple vraiment cosmopolite et, en cette qualité, ils doivent agir et ils agissent comme un DISSOLVANT DE TOUTE DISTINCTION DE RACE OU DE NATIONALITÉ. Le grand idéal du Judaïsme n'est pas que les Juifs se rassemblent un .jour dans un coin de la terre pour des buts séparatistes, mais que le monde entier soit imbu de l'enseignement juif et que, dans une fraternité universelle des Nations — Un plus grand Judaïsme en fait — toutes les races et religions séparées disparais sent. En tant que peuple cosmopolite, les Juifs ont dépassé le stage que représente dans la vie sociale la forme nationale du séparatisme . Ils ne pourront plus jamais y revenir. Ils ont fait du monde entier leur home et ils tendent maintenant leurs mains aux autres nations de la terre pour qu'elles suivent leur exemple. Ils font plus. Par leur activité dans littérature et dans la science, par leur position dominante dans toutes les branches de l'activité publique, ils sont en train de couler graduellement les pensées et les systèmes non-juifs dans des moules juifs.
Benjamin Disraeli avoue la conspiration juive :
Benjamin Disraeli (lord Beaconsfield) fut premier ministre d'Angleterre. Ce Juif publia en 1858 un livre intitulé The Life of Lord George Benlinck — a Political Biography . A la page 357 de ce livre, voici ce que Disraeli écrivait :
Qu'une insurrection éclate contre la tradition et l'aristocratie, contre la religion et le droit de propriété. Alors la destruction du principe sémitique, la destruction de la religion juive, soit sous sa forme mosaïque ou chrétienne, l'égalité naturelle de l'homme et l'abolition du droit de propriété sont proclamées par des société secrètes qui for ment des gouvernements provisoires, et des hommes de race juive sont trouvés à la tête de chacune de ces sociétés. Le peuple de Dieu coopère avec les athées; les plus habiles accumulateurs de richesse s'allient aux communistes; la race particulière et choisie donne la main à toute la lie et toute l'écume des bas-fonds de l'Europe! Et tout cela parce qu'ils (les Juifs) veulent détruire cette ingrate chrétienté qui leur doit même son nom et dont ils ne veulent plus endurer la tyrannie .
A la même page, quelques lignes plus bas, Disraeli écrit, au sujet de la célèbre révolution de frévrier 1848 qui a plongé plusieurs pays dans le chaos:
Si ce n'avait été des Juifs, cette perturbation indésirable n'aurait pas ravagé l'Europe .
Les glandes de l'humanité :
Poème composé par le Juif Louis Lévy en 1918, édité par la maison Nytnordisk Forlag , de Copenhague, (récité par l'acteur juif Samuel Besekow à une fête en faveur du Karen Hajjesod, à Copenhague, 8 déc, 1935, d'après le Berlingske Tidende du 9 décembre 1935, devant un auditoire juif en délire:
Les temps sont venus, — et une seule chose importe maintenant, — c'est que nous nous manifestions pour ce que nous sommes : une nation entre les nations, — les princes de l'argent et de l'intelligence. Un soupir va s'élever de toute la terre, et les foules frémiront tandis qu'elles écouteront attentivement la sagesse qui réside chez les Juif. Qui ignore ce que signifient les glandes du corps humain ? Eh ! bien, maintenant, par un judicieux instinct de conservation, les Juifs se sont fixés dans les glandes de la communauté moderne des peuples. Les glandes de cette communauté des peuples, ce sont : les Bourses, les banques, les ministères, les grands quotidiens, les maisons d'édition, les commissions d'arbitrage, les sociétés d'assurances, les hôpitaux, les palais de la paix. Il y a quelques publicains et quelques pécheurs, des savants et des professeurs qui affirment qu'il n'y a pas de Question Juive. Demandez-le donc au premier voyou qui passe dans la rue, il est mieux renseigné. Par sa jalousie belliqueuse, ce rustre est un antisémite ! Naturellement, il faudrait que le peuple juif ait une représentation internationale et un territoire national qui lui soit propre. . Mais ne croyez pas que les Juifs de l'Europe Occidentale bougeront d'un pas. En apparence, tout restera inchangé, et pourtant tout sera transformé. Jérusalem deviendra la papauté nouvelle. Jérusalem ressemblera à une araignée laborieuse filant une toile dont les fils d'électricité et d'or brilleront sur le monde entier. Le centre de ce réseau d'or d'où partiront tous les fils, ce sera Jérusalem.
Par qui le monde est gouverné :
BENJAMIN DISRAELI, Juif, dans ,son livre Coningsby , 1844 :
Et en ce moment même, en dépit de siècles ou de dizaines de siècles de dégradation, l'esprit juif exerce une vaste influence sur les affaires d'Europe. Je ne parle pas de leurs lois auxquelles vous obéissez toujours, de leur littérature dont vos cerveaux sont saturés, mais l'intellect israélite actuel. Vous ne verrez jamais un grand mouvement intellectuel en Europe auquel les Juifs n'auront pas largement participé. Cette mystérieuse diplomatie russe qui alarme tant l'Europe est organisée et menée principalement par des Juifs; cette GRANDE RÉVOLUTION (celle de 1848); QUI SERA EN FAIT UNE SECONDE REFORME, PLUS IMPORTANTE QUE LA PREMIÈRE, et de laquelle on sait si peu de choses en Angleterre, SE DÉVELOPPE SOUS LES AUSPICES DE JUIFS qui monopolisent en grande partie les chaires professorales d'Allemagne. Neander, le fondateur du Christianisme Spirituel, et qui est professeur royal de théologie à l'Université de Berlin, est Juif. Benary, également célèbre, et de la même université, est Juif. ... Il y a de cela quelques années, on s'adressa à nous de Russie. En vérité,, il n'y a jamais eu entre la Cour de St. Pétersbourg et ma famille (Rothschild) des liens d'amitié... Cependant, les circonstances inclinèrent vers un rapproche ment entre les Romanoff et les Sidonia (Rothchild). Je résolus d'aller moi-même à St. Pétersbourg. J’eus, en arrivant, une entrevue avec le ministre des Finances de la Russie, le Comte Cancrine ; je me trouvai en face du fils d'un Juif lithuanien. L'emprunt était en rapport avec les affaires d'Espagne. Je voyageai d'une traite. J'obtins, dès mon arrivée, une audience du ministre espagnol, Señor Mendizabel ; je me trouvai en face d'un de mes semblables, le fils d'un nuevo christiano, un Juif d'Aragon. Par suite de ce qui transpirait à Madrid, j'allai tout droit à Pa ris pour y consulter le Président du Conseil français ; je me trouvai en face du fils d'un Juif français, un héros, un Maréchal de l'empire, et il n'y avait là rien d'étonnant, car où seraient les héros militaires sinon parmi ceux qui adorent le Dieu des Armées ?
—Et Soult, est-il Juif ?
— Oui, et bien d'autres maréchaux français, le plus célèbre d'entre eux, par exemple, Masséna, dont le vrai nom est Mannasseh,-. .. mais revenons à mon anecdote. Le résultat de nos consultations fut qu'il serait bon de faire appel à quelque puissance septentrionale en qualité d'amie et de médiatrice. Nous fixâmes notre choix sur la Prusse, et le Président du Conseil fit une démarche auprès du ministre prussien qui assista quelques jours plus tard à notre conférence. Le Comte Àrnim entra dans le cabinet, et je me trouvai en face d'un Juif prussien. Vous voyez bien, mon cher Coninçsby que LE MONDE EST GOUVERNE PAR DE TOUS AUTRES PERSONNAGES QUE NE S'IMAGINENT CEUX QUI NE SONT PAS DANS LA COULISSE.
(Pages 219-252)
Les 300 despotes :
WALTER RATHENAU, Juif, ministre en Allemagne, dans la Wiener Press du 24 décembre 1921 :
Trois cents hommes seulement, dont chacun connaît tous les autres, gouvernent les destinées de l'Europe. Ils choisissent leurs successeurs dans leur propre entourage. Ces Juifs allemands ont en mains les moyens de mettre fin à toute forme de gouvernement qu'ils jugent déraisonnable .
À suivre….
NOTES
[1] La première indication historique de la connexion entre les Juifs, l'argent et le pouvoir semble provenir de Cicéron, vers 59 avant JC. Son discours Pro Flacco offre la défense d'un propréteur romain en Asie du nom de L. V. Flaccus qui a été accusé de détournement de cargaisons juives d'or destinées à Jérusalem. (Rappelons que Rome a conquis la Judée à peine quatre ans auparavant.).
Cicéron commence par une déclaration révélatrice:
Vous savez à quel point c'est une grande foule, comment ils collent les uns aux autres, à quel point ils sont influents dans les assemblées informelles. Je vais donc parler à voix basse pour que seuls les jurés puissent entendre; car ceux qui ne veulent pas qui les inciteraient contre moi et contre tout homme respectable.
Une deuxième allusion précoce à la richesse juive vient de l'empereur Claude dans son troisième édit de 41 après JC. Abordant les troubles civils à Alexandrie, Claudius distingue les Juifs, qui vivent «dans une ville qui n'est pas la leur». «Ils possèdent une abondance de toutes les bonnes choses» mais abusent de leur richesse en continuant de s'opposer aux autorités locales et en semant la discorde générale. Dans un sens, écrit Claudius, les Juifs pourraient être blâmés «d'avoir fomenté fléau général qui infeste le monde entier».
Puis en l’an 100 après JC, nous avons la critique bien connue de Tacite, dans ses Histoires. Au milieu d'une discussion sur «la race des hommes haineux envers les dieux» - il parle d’un peuple qui est «vil et abominable», ainsi que «dépravé» - il remarque que les Juifs de la diaspora, «les pires racailles de tous les peuples», ont travaillé sans relâche pour envoyer "tribut et contributions à Jérusalem, augmentant ainsi la richesse des Juifs". Il est clair que cette richesse a été utilisée à des fins pernicieuses.
Vers l'an 220, Cassius Dio a écrit son histoire romaine dans laquelle il décrit les deuxième et troisième soulèvements juifs, respectivement en 115 et 132 après JC. De ce dernier événement, Dio explique que «Partout, les Juifs montraient des signes d'hostilité envers les Romains». Et ils ont évidemment pu utiliser leurs richesses pour soudoyer d’autres afin qu’ils leur viennent en aide: «ainsi, de nombreuses nations les rejoignaient par empressement à gagner de l’argent». Il est clair qu'il a fallu des richesses considérables pour payer «de nombreuses nations» pour les acheter afin de combattre à leurs côtés. Et il est évident que les Juifs ont réussi à en attirer une multitude d'autres: «la terre entière, pourrait-on presque dire, était en train de s'agiter».
Bien qu'ils perdraient dans ces soulèvements, les Juifs ont réussi à se regrouper et à réaffirmer leur pouvoir - un pouvoir devenu légendaire en 300 après JC . C'est à cette époque que Justin l'historien a écrit son long traité Historiarum Philippicarum. Le livre 36 traite de l'origine ignoble du peuple juif et explique la croissance et la cohésion de cette tribu singulière. Leur théologie pragmatique a fusionné la religion avec la politique d'une manière qui s'est avérée très réussie; en conséquence, "il est presque incroyable de voir à quel point ils sont devenus puissants."
Puissants, en effet. Vers 420, le poète romain Rutilius Namatianuspouvait écrire, dans son De redito suo, sur la capacité des Juifs, malgré leur défaite formelle par les Romains, à continuer d'exercer une influence dominante: “Ce sont leurs propres conquérants qu'une race conquise maintient "
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