Ave Maria - G.Caccini
Jordanie. Un nouveau virus a été découvert dans le pays, qui détruit les tomates et les poivrons
Et maintenant… la pénurie de lait ?
Le lait pourrait bientôt être introuvable dans nos rayons.
« Les produits laitiers se classent en trois catégories : le lait (cru, frais, pasteurisé, stérilisé, en poudre), les fromages, les yaourts (fromages blancs et laits fermentés). La crème fraîche e t le beurre sont issus du lait mais sont riches en matières grasses et pauvres en calcium. Ils ne sont donc pas comptés dans les produits laitiers. Ce sont des aliments dont il est recommandé de limiter la consommation.
67 litres de lait et 24 kg de fromage sont consommés chaque année en France par habitant selon FranceAgriMer, établissement national des produits de l’agriculture et de la mer ».
Ce n’est pas moi qui le dit ! Ce sont les Dernières Nouvelles d’Alsace le quotidien qui ne fait pas franchement dans l’alarmisme de bas étages.
« Notre pays est le deuxième producteur européen de lait de vache, mais en vingt ans, le nombre d’éleveurs a été divisé par deux.
Cette année 2021 aura été vraiment particulière car elle a également connu une diminution de la ressource laitière. La collecte de lait a diminué de 2 % par rapport à 2020, et cette baisse s’est poursuivie au 1er trimestre 2022.
Après l’inflation des prix liée à la pandémie de coronavirus, puis la guerre en Ukraine, c’est la sécheresse qui pourrait bien peser sur la production de lait en France. Celle-ci pourrait en effet compromettre la production de fourrage pour alimenter les vaches. Dix départements français ont déjà actuellement dépassé le seuil d’alerte sécheresse au mois de mai, avec un déficit pluviométrique de 70 %. Les éleveurs s’inquiètent car leur activité demande d’importantes ressources en eau.
Le vice-président de la Fédération nationale des producteurs de lait (FNPL) explique : « Pour faire du lait, il faut du fourrage. Pour avoir du fourrage, il faut de l’eau. En général, au printemps, la production augmente. Mais avec le temps sec que l’on a cette année, ce n’est pas le cas. On est inquiet pour l’avenir. »
Il faut augmenter le prix du lait de 20 % !
« Les charges des éleveurs sont en hausse tandis que les revenus sont en baisse. Certains n’arrivent plus à rembourser leurs emprunts. Vendre leur exploitation laitière devient leur seule chance de survie. Mais un producteur qui s’arrête n’est jamais remplacé. Selon Syndilait – l’organisation professionnelle regroupant en France la majorité des fabricants de laits de consommation liquides –, il faudrait augmenter le prix du lait d’environ 20 % pour compenser les augmentations des coûts de l’électricité, du carton, du plastique et du transport. »
Les blocages de prix ne marchent jamais. JAMAIS.
Pourquoi ?
Simple.
A très court terme vous pouvez bloquer le prix quelques semaines. Mais lorsque l’inflation s’installe le coût de production lui augmente. Si le prix est bloqué alors produire est rapidement plus assez rentable et la production cesse tout simplement.
Si vous voulez bloquer des prix il faut subventionner le producteur.
Si vous subventionnez, alors cela peut marcher, tant que votre Etat est solvable et que ses caisses sont suffisamment pleines pour payer les litrons de lait de toutes les familles de ce pays.
Avec nos 3.000 milliards d’euros on ne peut pas dire que nos caisses soient réellement pleines.
« Face à la sécheresse, à l’inflation et à la baisse du nombre de producteurs, la menace d’une pénurie de lait est bien présente en France. D’après l’Insee, l’inflation va continuer d’accélérer dans les prochains mois. Nous risquons de devoir importer du lait pour satisfaire notre forte demande ».
Dommage que le lait ne se stocke pas plus longtemps, c’est qu’il va falloir finir par vraiment investir dans une vache. En attendant le lait en poudre se conserve bien !
Christine Lagarde de la BCE ne sait pas ce qui se passera et c’est une bonne nouvelle !
C’était jeudi dernier sur Ecorama.
Les taux vont évidemment devenir positifs, et ce n’est pas très difficile car même avec des taux directeurs à +0.5 % au lieu de -0.5 % l’économie devrait supporter cela sans trop de problème.
Le vrai sujet c’est le taux d’intérêt réel.
Et plus les taux nominaux deviennent positifs, plus en réalité les taux d’intérêt réels deviennent… négatifs !
Plus ça va mieux, moins ça va bien !
Je vous explique tout dans cette vidéo.
Charles SANNAT
Pourquoi le Chili a-t-il mis en place une législation sur les neurodroits ?
Dans la nuit du 29 au 30 septembre 2021, le Chili était le premier Etat à inscrire dans sa Constitution la protection des cerveaux de ses citoyens contre des technologies qui viseraient à “augmenter, diminuer ou perturber” leur intégrité mentale. Cette loi sur les neurodroits et pour la protection des données neuronales est la première du type dans le monde. Mais à quoi sert-elle, que faut-il entendre par données neuronales ? Et surtout quelles sont les arguments qui permettent de justifier un tel texte ? Explications.
Nous avions récemment présenté un article sur l’injection de nanotechnologies via les vaccins Covid permettant aux nanomatériaux injectés de traverser le barrière hémato encéphalique pour s’insérer dans le réseau neuronal et interagir avec les synapses dans le but d’induire artificiellement des pensées et donc des comportements. Ce type d’article peut laisser certains lecteurs incrédules. Et certains ont pu conclure qu’il s’agissait de science-fiction.
Au Chili, le sujet est pris très au sérieux, il est surtout médiatisé car le meilleur moyen de tenir l’opinion publique dans l’ignorance et de sélectionner l’information. On ne reviendra pas sur ce thème largement et régulièrement traité dans le Courrier des Stratèges.
Des neurodroits pour protéger ses pensées du piratage
Dès avril 2021, le Sénat chilien avait adopté un projet de réforme constitutionnelle sur la reconnaissance des neurodroits pour protéger l’intégrité mentale des citoyens. En septembre 2021, la nouvelle loi vise à protéger les données mentales, à établir des limites sur les neurotechnologies et notamment la transcription technologique d’informations dans le cerveau et à limiter le développement des neuroalgorithmes qui visent à déterminer les comportements humains. Inutile de préciser que la porte de Pandore est ouverte et que le droit ne protégera pas les citoyens pour deux raisons très simples : 1. la personne manipulée ne s’en rend pas compte, 2. La preuve d’une manipulation via des nanotechnologies manipulant le cerveau est quasi impossible à présenter.
« Il s’agit de s’assurer que personne n’altère l’état mental d’une personne, comme sa mémoire ou d’empêcher quiconque d’exploiter les données d’un individu sans son consentement préalable, par exemple pour améliorer les capacités mentales de certains individus (militaires etc.) par stimulation neuronale. L’intégrité mentale vise à prévenir d’éventuels hacks de cerveaux, par exemple en cas de prise de contrôle d’un implant neuronal ».
Ce serait les travaux de la société Neuralinkco-fondé par Elon Musk – une tête de pont du Forum de Davos – qui auraient influencé le parlement chilien.
La neuromodulation et le risque de piratage du cerveau
Grâce à ce type de dispositifs, « les neurotechnologies réalisent des progrès extraordinaires pour aider les personnes incapables de parler ou de marcher. Les personnes atteintes d’Alzheimer pourront peut-être bientôt retrouver la mémoire, souligne la chaîne (Al-Jazeera English). Mais, comme l’arme nucléaire, [ces technologies] peuvent être utilisées à mauvais escient ». Les scientifiques se posent des questions sur l’utilisation qui peut être faite de ces implants neuronaux. Et c’est aussi notre préoccupation au regard de ce que nous observons dans les sérums vaccinaux contre Covid.
Mais le Chili ne s’est pas arrêté à un seul texte, il a déposé en février 2022 un autre projet de loi (N° 21422) qui propose d’interdire toute discrimination à l’embauche à l’égard des personnes génétiquement modifiées. De quelles modifications peut-il s’agir si ce ne sont celles qui sont induite par la vaccination contre Covid et que nous avons également évoqué dans un article en mars 2022 ?
Ce que les chercheurs du civil spécialisés dans ces technologies ne précisent pas, c’est que le complexe militaro industriel américain a testé ces technologies sur des militaires pendant la guerre en Irak. Il y a 12 ans, j’ai pu visionner une vidéo sur le sujet alors que la censure de Youtube n’était pas aussi stricte qu’aujourd’hui. La scène se déroule dans une caserne militaire américaine. La vidéo montrait un militaire (porteur d’une technologie implantée émettrice) qui décrivait à l’avance le comportement qu’il allait inculquer par sa seule pensée à un autre militaire (équipé d’un implant récepteur). Le premier avait alors annoncé et provoqué une bagarre impliquant le second, tout en étant à bonne distance des événements.
Pour comprendre les mécanismes des technologies inoculées à l’insu des patients via les vaccins contre Covid, nous renvoyons le lecteur à notre dossier complet intitulé « Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés ».
Estrosi dit ce matin sur Europe1 qu’il faut profiter du chaos au #stadedefrance pour mettre en place « la reconnaissance faciale » ! Au moment où un rapport du Sénat la réclame aussi ! Vous les voyez venir ?!
#Estrosi dit ce matin sur Europe1 qu’il faut profiter du chaos au #stadedefrance pour mettre en place « la reconnaissance faciale » !
— Florian Philippot (@f_philippot) May 31, 2022
Au moment où un rapport du Sénat la réclame aussi !
Vous les voyez venir ?!
Boris Johnson est l'un des gouvernants les plus virulent contre la Russie...Bah voilà le résultat de sa STUPIDITÉ !!! "La hausse des coûts a créé une "bombe à retardement" pour les propriétaires de petites entreprises britanniques, a averti le président de la Fédération des petites entreprises (FSB), avec près d'un demi-million d'entreprises risquant de faire faillite en quelques semaines".
Les Rothschild et le satanisme
Lord Jacob Rothschild avec la grande prêtresse satanique Marina Abramović au Royal Academy of Art, posant devant la toile de Sir Thomas Lawrence « Satan summoning his Legions » (Satan convoque ses légions) – 1797.
Quatre remèdes à la variole-phobie
Quel exploit ! En une semaine, la variole du singe a réussi à chasser de la une des journaux la guerre en Ukraine , la grippe covid et l’effondrement économique en cours. Parce que l’alerte est sérieuse et qu’il faut s’inquiéter de cette nouvelle menace infectieuse ? Je suis évidemment d’un avis contraire : comme tous ses prédécesseurs, ce nouveau péril viral est une baudruche appelée à se dégonfler quand les virocrates paniquards et les médias de grand chemin auront fini de se faire mousser. Voici quatre raisons de roupiller sur ses deux oreilles et d’observer tranquillement ce numéro de singeries du coin de l’œil.
1- C’était prévu, donc prévisible
Je présume que vous êtes au parfum : ce nouvel épisode de la série « Apocalypse virale » était déjà scénarisé et une première répétition des acteurs a eu lieu l’année dernière. En mars 2021, le Nuclear Threat Initiative (NTI) , en partenariat avec la Conférence sur la sécurité de Munich, a en effet procédé à une simulation de pandémie de variole du singe. L’exercice prenait comme base qu’un pays africain fictif était le théâtre d’une flambée de « monkeypox » d’origine terroriste et que celle-ci s’étendait aux pays voisins avant de déferler dans le monde entier en faisant 270 millions de morts. Une variole fabriquée en laboratoire et utilisée comme arme, c’est aussi le scénario d’épouvante que Bill Gates redoute depuis des années et qui a été pris au sérieux aux États-Unis puisque ce pays a constitué un stock de 100 millions de vaccins antivarioliques. Et bien avant encore , en 2012, la Commission Européenne a financé l’édition de la bande dessinée « Infected » qui préfigurait la « crise sanitaire » de 2020 mais dont l’intrigue démarrait avec l’apparition d’un redoutable virus simien infectant les humains. Comble de tous ces hasards, l’exercice du NTI prévoyait que l’attaque bioterroriste commencerait le 15 mai 2022 et se mondialiserait avant début juin. Or justement, il y a maintenant plus de 100 cas de variole du singe rapportés par l’OMS dans une douzaine de pays occidentaux, où la maladie n’est pourtant pas endémique. Il n’en fallait évidemment pas plus pour mettre le feu à la complosphère et enflammer des lanceurs d’alerte hurlant que les « élites globalistes » sont passées à la deuxième étape d’un programme génocidaire, avec comme instrument de ce crime de masse une particule virale tripatouillée dans des labos militaires. Fantasme ou réalité ? Vous connaissez ma réticence à souscrire à ce genre d’hypothèse. Pour moi, ce qui est prévu et planifié n’est pas forcément provoqué. Les plandémistes mondialistes guettent le moindre départ de feu pour en tirer les marrons et faire avancer leur agenda de « great reset », mais ce ne sont pas nécessairement eux qui allument les incendies. Et jusqu’à preuve certaine du contraire, aucun virus artificiel n’ a jamais pu être créé ni utilisé à des fins bioterroristes ailleurs que dans des films ou des BD de science-fiction. Ce qui me paraît plus probable, c’est que les tireurs de ficelle ont accès à des outils de prévision et d’anticipation que nous ignorons. Ainsi, fin 2019, ils ont pu lancer la « psy op’ » covidienne en tablant que la saison grippale serait légèrement atypique et que l’hystérie médiatique suffirait à déclencher la panique. Et en 2022, ils pouvaient s’attendre à ce que le monkeypox s’évade d’Afrique pour s’aventurer plus au Nord. Comment font-ils pour deviner ? Je ne sais pas, moi : les éruptions solaires ? Une conjonction astrale particulière ? L’effet connu et attendu d’une pollution chimique ou de l’adjonction d’un adjuvant dans les vaccins ? Comme vous le savez aussi, Néosanté privilégie cette dernière explication possible. L’émergence de la grippe covid est clairement liée à la commercialisation de nouveaux vaccins antigrippaux et celle de la variole du singe pourrait fort bien découler de la vaccination anticovid. Sur le net, on peut trouver des images d’effets secondaires cutanés des injections expérimentales qui font furieusement penser aux pustules varioliques. Et leur surgissement dans les pays les plus vaccinés mériterait à mon sens qu’on s’interroge sur cette étrange coïncidence. Quand une prophétie épidémique se réalise, il faudrait toujours suivre la piste toxique au lieu de s’emballer pour des machinations diaboliques et des manipulations biologiques hypothétiques.
2- L’épouvantail n’a rien d’épouvantable
Y-a-t-il spectre plus effrayant que la variole ? Rien qu’au siècle dernier, cette maladie horrible a fait 300 millions de victimes, son taux de létalité étant estimé à 30%. Un cadavre pour trois cas avérés, c’est autre chose que le gros rhume qui a fauché mille fois moins. Certes, la version supposément transmise par le singe est moins agressive que la forme humaine. Son pouvoir létal culminerait néanmoins à 10% et avoisinerait 1% pour la variante africaine qui semble avoir pris souche en Occident. Mais ça, cette mortalité-là, c’est en Afrique ! Ici, à l’image d’Ebola, ce poxvirus n’a jamais tué personne et d’après les premiers échos, il n’est pas près de le faire. Contrairement à ce qu’a tweeté le virocrate belge Emmanuel André, il existe un traitement efficace et même sans traitement, l’affection évolue naturellement vers la guérison. Les symptômes ? Fièvre, fatigue, maux de tête et douleurs articulaires, rien de bien grave s’il n’y avait ces éruptions de boutons qui disparaissent aussi spontanément. Il n’empêche : les images de pustules purulentes impressionnent et font croire que nous avons affaire au fléau d’antan qui tuait massivement et grêlait la peau des survivants. L’épouvantail va encore effrayer les pigeons qui seront prêts à obéir à tout pour se protéger du nouvel ennemi invisible. En guise d’antidote à l’hystérie potentielle, je préconise la lecture de deux livres récemment parus en français. Dans « Qu’est-ce qui nous rend réellement malades ? », le chapitre consacré à la variole raconte notamment comment deux villes anglaises ont vaincu le mal au XIXème siècle, en assainissant les quartiers les plus miséreux et en supprimant… la vaccination. Alors que la maladie tuait de moins en moins en moins, ce sont en effet les campagnes d’inoculations qui ont réveillé l’épidémie et suscité des vagues dévastatrices. Je vous conseille surtout de vous procurer « Vaccination, la grande désillusion », ouvrage dans lequel le Dr Suzanne Humphries révèle que l’incidence de la variole a toujours épousé celle de la scarlatine, cette dernière étant même plus meurtrière que sa jumelle synchronique. Les courbes épidémiques sont identiques, or il n’y a jamais eu de vaccin pour la scarlatine qui a pourtant disparu sans être médicalement éradiquée. Ce simple fait historique devrait faire prendre conscience que les vaccins ne servent à rien et que les grands fléaux de jadis se sont évaporés dès que les conditions de vie et d’hygiène se sont améliorées. En Europe et en Amérique contemporaines, la variole du singe n’aura certainement pas le même impact qu’en Afrique.
3- Le terrain est très étroit
Encore plus spectaculairement que le covid, le monkeypox « occidental » démontre d’ailleurs le monopole pathogène du terrain. Il s’avère qu’une grande majorité, si pas la totalité des personnes contaminées, sont des homosexuels de sexe masculin. Ici en Belgique, c’est même une sous-catégorie très particulière d’homos qui est touchée : les 4 infectés avaient participé au festival fétichiste Darklands qui a eu lieu du 4 au 9 mai à Anvers. Si vous avez plus de 18 ans et que vous n’êtes pas vite choqué, je vous invite à visiter le site de cet événement hallucinant. Parmi les activités proposées, il y avait notamment une excursion en car à travers la cité portuaire, non pour en admirer les sites culturels, mais pour assister au spectacle d’un homme déguisé en chien et urinant sur des murs ou des réverbères. Authentique ! Ce n’est bien sûr pas l’orientation sexuelle des festivaliers que je soupçonne d’être causale, ni même leur outrances pornographiques témoignant d’une grande souffrance intérieure. Les fantasmes pervers sont des fantômes cruels forgeant leurs chaînes dans la prime enfance et les traumatismes transgénérationnels. Mais je suis ahuri par ce que l’OMS a écrit sur son site et qui a été dupliqué dans le journal Le Soir : pour l’Organisation Mondiale de la Santé, qui met en garde contre la discrimination et la stigmatisation, le tropisme de la variole « pour les communautés d’hommes ayant des rapports avec des hommes » serait seulement dû « au comportement positif de recherche de santé dans ce groupe démographique ». Autrement dit, il n’y a pas de cas dans la population générale parce que les homos mâles, eux, se soignent et se dépistent mieux ! Plus délirant que ça, je ne vois pas. Et bien sûr, l’organisme onusien nous prévient que les clusters gay vont s’égayer dans la nature et que tout hétéro en contact étroit avec un autre, mêmes les enfants, sont à risque de contracter le virus baladeur. Manifestement, ils nous refont le coup du sida et leur prisme idéologique les empêche de voir que la maladie est manifestement le lot des homophiles s’adonnant à une sexualité hors-normes. Est-ce vraiment un hasard si, paraît-il, les cloques varioliques fleurissent sur les zones génitales ? Selon les experts, cette localisation est fort peu ordinaire. Le sexe débridé n’est cependant qu’un cofacteur tandis que la vraie cause se cache ailleurs. Concernant le syndrome d’immunodéficience acquise, l’hypothèse toxique du Pr Duesberg penche pour le recours aux poppers et autres drogues « récréatives » par des individus qui sont aussi des noctambules invétérés et de gros consommateurs d’antibiotiques. Et pour la variole du singe ? Les mêmes causes pouvant donner des effets différents, l’anamnèse donnerait probablement des résultats semblables. Mais il doit forcément y avoir une influence comportementale ou environnementale qui passe encore inaperçue. Et si c’était le vaccin covid ? Je serais très curieux de voir s’ il y a un seul non-vaxxé parmi les variolés. Si tous ont reçu la piqûre, on tiendrait là la pièce qui manque au puzzle. Ce qui est sûr, c’est que la pathologie n’émerge visiblement pas sur n’importe quel terrain et que celui-ci est très étroit, c’est-à-dire peu fréquent et certainement pas arpenté par le tout-venant. Ce dernier peut aimer, masser et caresser en toute insouciance.
4- Le confinement, ça va marcher
L’arrivée de la variole permet aux mêmes marioles de revenir sur les plateaux télés. En Belgique, c’est l’inénarrable Marc van Ranst qui tient le premier rôle. Vous savez, c’est ce virologue qui a involontairement fait le buzz avec une vidéo où on le voit expliquer comment manipuler les médias et terroriser les gens en début d’épidémie. Il avait réussi son coup en 2009 avec la grippe H1N1, il a récidivé avec succès avec la grippe covid, et il met encore la presse dans sa poche avec la même recette ! Cette fois, toutefois, il ne préconise plus de masquer et de confiner tout le monde et se contente de conseiller un isolement hospitalier des malades et de leurs contacts, pendant 21 jours car c’est la durée d’incubation du virus. C’est une très bonne chose, la quarantaine des seuls infectés et de leurs proches car la méthode a déjà fait ses preuves … contre la variole ! Si vous l’ignorez, la légende selon laquelle cette maladie a été éradiquée par la vaccination de masse est erronée. Comme c’est écrit en toutes lettres dans le rapport final de l’OMS et comme le raconte le biologiste Michel Georget dans son livre « L’apport des vaccinations à la santé publique : la réalité derrière le mythe », c’est en effet la stratégie de « surveillance-endiguement » qui a permis de mettre fin au fléau alors que les campagnes vaccinales échouaient lamentablement. Les instances sanitaires ont aussi « vacciné en anneau » l’entourage des contaminés mais il est notoire que celui-ci était rarement atteint. C’est donc bien la quarantaine systématique des malades qui a donné le coup de grâce à la variole humaine dans les années 60-70. Dans la vision pasteurienne, la victoire provient bien sûr du confinement du virus et de ses porteurs. La maladie « extrêmement contagieuse » se serait éteinte parce que l’agent infectieux ne circulait plus. Dans une autre perspective, il est beaucoup plus évident qu’un feu s’éteint quand on ne l’alimente plus en combustible. La variole s’est fait la malle parce que les derniers malades ont été coupés de leurs lieux de vie misérables et pris en charge médicalement, la médecine ne se résumant heureusement pas à l’administration de médicaments. À terrain qui progresse, épidémie qui régresse. Et à mon avis, c’est ce qui va se passer avec le monkeypox : les homos déjantés vont être plongés dans un contexte bien plus favorable à la santé et seront nécessairement sevrés de leurs assuétudes malsaines, ce qui va coïncider avec le recul des « infections ». En plaidoyer pour ma chapelle antipasteurienne, je signale ce que j’ai maintes fois souligné dans le dossier covid : il n’y a pas non plus de « patients zéro » trouvés et de chaînes de transmission identifiées pour la variole du singe, et ce dans aucun pays, ce qui est une faille colossale dans la théorie virale et une illustration claire qu’il n’y a pas de contagion, du moins pas au sens classique du terme. Quelle que soit la bonne explication, il est en tout cas très probable que la technique de « surveillance-endiguement » soit suffisante pour étouffer dans l’œuf l’épidémie. Maintenant, il ne faudrait pas que les injecteurs fous entrent dans la danse. Aux États-Unis et en France, les autorités songent déjà à vacciner à tour de bras. L’Espagne et la Grande-Bretagne ont déjà commandé leurs doses. Or même des disciples de Pasteur décommandent formellement de vacciner lors des flambées épidémiques, et contre la variole en particulier. Si vous lisez cet article récemment publié par le Dr Vincent Reliquet, vous aurez froid dans le dos et penserez sans doute, comme moi, qu’un nouveau désastre vaccinal n’est pas exclu. Ce qui est peut-être le but….
La face cachée du soja
En bref
- De nombreux « experts » de santé, et de nombreux médias vantent les bienfaits des produits à base de soja non fermenté (tels que le tofu, le lait de soja, le fromage de soja, etc.), mais les risques liés à leur consommation sont en réalité bien plus importants que les bienfaits qu’ils apportent
- Le soja contient de nombreuses hormones puissantes qui peuvent avoir des effets dévastateurs sur votre santé. Les femmes sont particulièrement vulnérables aux phyto-œstrogènes et aux isoflavones du soja, car ce sont de puissants goitrogènes qui nuisent à la thyroïde et provoquent fatigue et stérilité
- Par ailleurs, des milliers d’études ont établi un lien entre le soja non fermenté et la dénutrition, les troubles digestifs, l’effondrement du système immunitaire, le déclin cognitif, les troubles de la reproduction, le cancer et les maladies cardiaques
- Ne donnez JAMAIS à votre bébé de lait maternisé à base de soja - cela revient à lui donner chaque jour une quantité d'œstrogènes équivalant à cinq pilules contraceptives
Si vous deviez étudier attentivement les milliers d’études qui ont été publiées sur le soja, je suis convaincu que vous en arriveriez à la même conclusion que moi - c’est-à-dire que les risques liés à la consommation de produits à base de soja non fermenté sont DE LOIN plus importants que leurs bienfaits potentiels.
Notez que je parle bien des produits à base de soja non fermenté.
Depuis des siècles, les peuples d’Asie consomment des produits à base de soja fermenté, tels que le nato, le tempeh, et la sauce soja, et profitent de leurs bienfaits. Le soja fermenté n'a pas les effets désastreux sur votre organisme qu’ont les produits à base de soja non-fermenté.
Malheureusement, de nombreux américains qui ont une hygiène de vie saine se sont fait duper et manipuler, et pensent que les produits transformés à base de soja non-fermenté, tels que le lait de soja, le fromage de soja, les burgers de soja et la crème glacée au soja, sont bons pour leur santé.
Pourquoi les aliments à base de soja sont-ils devenus si populaires ?
Les produits à base de soja semblent être sortis de nulle-part, et ont immédiatement été considérés comme les « produits santé miraculeux » du 21ème siècle, ce qu’ils étaient en effet.
Entre 1992 et 2006, les ventes de produits à base de soja sont passées de 300 millions de dollars à près de 4 milliards de dollars, presque du jour au lendemain, d'après l’Association pour les aliments à base de soja d’Amérique du Nord.
Cette croissance s’explique par un changement radical des comportements vis-à-vis du soja. Ce changement n’était pas un accident - il était le résultat d'investissements massifs dans la publicité par l’industrie du soja, qui a rencontré un vif succès.
Le soja est en effet un commerce très lucratif. Entre 2000 et 2007, les fabricants américains de produits alimentaires ont introduit plus de 2.700 nouveaux aliments à base de soja, et de nouveaux produits au soja apparaissent continuellement dans les rayons de nos épiceries. D'après l’enquête de 2008 sur les attitudes des consommateurs en matière de nutrition(réalisée par le ‘United Soybean Board’) :
- En 2007, 85 % des consommateurs considéraient les produits à base de soja comme des produits sains
- 33 % des américains consommaient des aliments ou boissons à base de soja au moins une fois par mois
- 70 % des consommateurs pensaient que l’huile de soja était bonne pour la santé
- 84 % des consommateurs croyaient la déclaration de la FDA selon laquelle la consommation quotidienne de 25 grammes de protéines de soja réduit le risque de maladie cardiovasculaire
C’est là une tragique histoire de commercialisation habile et de mensonges éhontés qui ont touché le plus grand nombre et généré d'immenses profits pour l'industrie du soja, affectant la santé de la plupart de ceux qui se sont laissés convaincre et duper en adoptant le soja non-fermenté sur le long terme ...
La face cachée du soja
La majeure partie du soja vendu dans votre supermarché n’est pas bon pour la santé. Le soja fermenté fait exception, j’y reviendrai plus en détail.
Le pire est le soja génétiquement modifié, qui est fortement contaminé par des résidus de pesticides, car le fait qu’il soit génétiquement modifié permet aux producteurs de l’asperger de Roundup, le puissant et toxique herbicide, afin d’améliorer la production en tuant les mauvaises herbes.
Contrairement aux Asiatiques, qui consomment en petites quantités des produits à base de soja entier, non génétiquement modifié, les fabricants de produits alimentaires occidentaux séparent le soja en deux produits qui valent de l’or - les protéines et l’huile. Or ces produits n’ont rien de naturel ni de sain.
Le Dr. Kaayla Daniel, auteur du livre The Whole Soy Story (‘Toute la vérité sur le soja’), évoque les milliers d’études qui associent le soja à la malnutrition, à des troubles digestifs, à l’effondrement du système immunitaire, à des dysfonctionnements thyroïdiens, au déclin cognitif, à des troubles de la reproduction et à la stérilité - et même au cancer et aux maladies cardiovasculaires.
Voici quelques exemples des problèmes de santé qui sont associés à la consommation de soja :
- Cancer du sein
- Lésions cérébrales
- Malformations chez les nouveau-nés
- Troubles de la thyroïde
- Calculs rénaux
- Affaiblissement du système immunitaire
- Graves allergies alimentaires, potentiellement mortelles
- Altération de la fertilité
- Risques durant la grossesse et l’allaitement
Les défenseurs du soja affirment que les aliments à base de soja (ils englobent ceux à base de soja fermenté et ceux à base de soja non-fermenté) vous protègent du cancer du côlon, de la prostate et du sein, aussi bien que des AVC, de l’ostéoporose et de l’asthme.
Mais ces enthousiastes ne parlent jamais des études qui ont fait la lumière sur les aspects négatifs du soja et sur tous les dangers qu’il représente pour votre santé, sur la base de recherches approfondies.
Par ailleurs, malheureusement, 80 % du soja produit dans le monde est utilisé pour l’alimentation des animaux d’élevage, et c’est pourquoi la culture du soja contribue à la déforestation.
Certains propagandistes suggèrent que la solution à ce problème serait que nous devenions tous végétariens - une recommandation irresponsable qui relève d'une totale ignorance de la nutrition - alors qu’il serait beaucoup plus judicieux de réformer profondément le mode d’élevage et d'alimentation du bétail.
Dans le livre ‘The Whole Soy Story’ (Toute la vérité sur le soja) vous découvrirez :
• Les véritables raisons qui font que le soja n’est PAS un aliment sain
• Des témoignages véridiques et choquants de personnes dont la santé et la vie ont été mises en danger par la consommation de produits à base de soja
• Des preuves solides qui associent le soja à la malnutrition, à des troubles digestifs, à des dysfonctionnements thyroïdiens, au déclin cognitif, à des troubles de la reproduction, à l'affaiblissement du système immunitaire - et même aux maladies cardiovasculaires et au cancer
• Le fait qu'il n’a JAMAIS été démontré que le soja est un aliment sûr, et vous découvrirez la vérité sur la propagande mensongère qui a joué un rôle majeur pour le rendre aussi populaire en Amérique
• Le Dr. Kaayla Daniel nous fait part de ses connaissances et de ses conseils vitaux sur ce sujet dans l’interview exclusive qu’elle a accordée au Dr. Mercola.
Pourquoi le soja est-il un aliment si dangereux ?
Voici un résumé des problèmes posés par le soja :
1) 91 % du soja cultivé aux États-Unis est génétiquement modifié (OGM) — La modification génétique a pour objectif de le rendre résistant au Roundup, l’herbicide toxique. Si cela a pour but d'augmenter les rendements agricoles et de vous proposer un soja moins cher, le revers de la médaille, c’est que votre soja est bourré de ce pesticide toxique.
Les plantes renferment également des gènes d’une bactérie qui produit une protéine, qui n’a jamais fait partie de l'alimentation de l’homme.
Le soja génétiquement modifié est associé à une augmentation des allergies. Fait inquiétant, la seule étude publiée jamais conduite sur l’alimentation humaine et les aliments génétiquement modifiés, a démontré que le gène qui est inséré dans le soja génétiquement modifié est transféré dans l’ADN de nos bactéries intestinales, où il continue d’être actif.
Cela signifie que des années après avoir cessé de consommer du soja génétiquement modifié, des protéines potentiellement allergènes peuvent continuer d’être produites dans vos intestins.
2) Le soja contient des toxines naturelles que l’on appelle des « anti-nutriments » — Les aliments à base de soja renferment des facteurs antinutritionnels tels que des saponines, des soyatoxines, des phytates, des inhibiteurs de protéase, des oxalates, des goitrogènes et des œstrogènes. Certains de ces facteurs interfèrent avec les enzymes dont vous avez besoin pour digérer les protéines.
3) Le soja contient de l’hémagglutinine — L’hémagglutinine est une substance qui favorise la formation de caillots, c’est-à-dire qu’elle pousse les globules rouges à s'agglutiner. Ces cellules agglutinées sont incapables d'absorber correctement l’oxygène et de le distribuer vers les tissus.
4) Le soja contient des goitrogènes— Les goitrogènes sont des substances qui bloquent la synthèse des hormones thyroïdiennes et qui interfèrent avec le métabolisme de l’iode, perturbant ainsi le fonctionnement de la thyroïde.
5) Le soja contient des phytates — Les phytates (ou acide phytique) se lient aux ions métalliques, empêchant l'absorption de certains minéraux, notamment du calcium, du magnésium, du fer et du zinc - qui sont tous des co-facteurs d'une biochimie optimale dans votre organisme.
Ceci est particulièrement ennuyeux pour les végétariens, car manger de la viande réduit les effets bloqueurs de minéraux de ces phytates (il est donc utile - si vous mangez du soja - de consommer également de la viande).
6) Le soja est très riche en génistéine et en daidzéine, des isoflavones — Les isoflavones sont un type de phyto-œstrogènes, des composés végétaux proches des œstrogènes humains. Ces composés imitent et parfois bloquent les œstrogènes, et il a été démontré qu'ils ont des effets néfastes sur divers tissus humains.
Les phyto-œstrogènes présents dans le soja sont connus pour perturber la fonction endocrinienne, ils sont également susceptibles de provoquer la stérilité et de favoriser le développement du cancer du sein.
Deux verres de lait de soja par jour peuvent apporter suffisamment de ces composés pour perturber votre cycle menstruel. Bien que la FDA règlemente les produits contenant des œstrogènes, aucune mise en garde n’est faite à l’encontre du soja.
7) Le soja renferme des doses toxiques d’aluminium et de manganèse — Le soja est lavé à l'acide dans des cuves en aluminium, qui peuvent transférer aux produits finis à base de soja d’importantes quantités d'aluminium. Le lait maternisé au soja contient jusqu’à 80 fois plus de manganèse que le lait maternel.
8) Le lait maternisé au soja met en danger la santé de votre bébé — Aux États-Unis, près de 20 % des bébés sont aujourd'hui nourris avec du lait maternisé à base de soja, or les œstrogènes contenus dans le soja risquent de nuire de façon irréversible au développement des organes sexuels et reproducteurs de votre bébé.
On estime que les bébés nourris avec du lait maternisé au soja reçoivent quotidiennement l’équivalent en œstrogènes de cinq pilules contraceptives.
Il faut également parler du problème des pesticides et des manipulations génétiques. Les aliments à base de soja sont non seulement massivement pulvérisés avec des pesticides, mais également génétiquement modifiés.
Vouloir éviter de consommer des aliments génétiquement modifiés est en soi une raison suffisante pour éviter les produits à base de soja... À moins que vous ne souhaitiez servir d'animal de laboratoire pour cette expérience massive et non contrôlée conduite par la biotechnologie industrielle.
Quels produits à base de soja sont bénéfiques pour votre santé ?
Je veux qu'il soit clair que je ne suis pas opposé à tous les produits à base de soja. Le soja peut être extrêmement sain, mais UNIQUEMENT s'il est issu de l’agriculture biologique, et correctement fermenté.
Après un long processus de fermentation, les taux de phytates et « d'anti-nutriments » présents dans les fèves de soja diminuent, et elles deviennent alors bénéfiques pour votre système digestif.
Vous avez peut-être entendu dire que les japonais ont une espérance de vie plus longue et un taux de cancer plus faible que les américains, parce qu’ils consomment beaucoup de soja - mais ils consomment principalement du soja fermenté, et ce depuis toujours. Les produits à base de soja fermenté sont les seuls que je recommande.
Voici les principaux produits à base de soja fermenté que vous pouvez trouver :
- Le Tempeh, un cake à base de graines de soja fermentées à la texture ferme et au goût de noisette et de champignons.
- Le miso, une pâte salée au soja fermenté à la texture onctueuse (généralement consommée avec la soupe miso).
- Le Nato, préparation à base de graines de soja fermentées, à la texture collante et à la saveur forte, qui rappelle le fromage.
- La sauce soja, traditionnellement préparée à base de graines de soja fermentées, de sel et d’enzymes ; méfiez-vous cependant de certaines marques proposées sur le marché, qui sont fabriquées artificiellement, à partir d'un processus chimique.
Notez que le tofu ne fait PAS partie de cette liste. Le tofu n’est pas fermenté, et ne fait donc pas partie des aliments à base de soja que je recommande.
La vitamine K2 : l'un des plus importants atouts du soja fermenté
L’un des principaux avantages du soja fermenté, en particulier du nato, c’est qu'il s'agit de la meilleure source alimentaire qui soit de vitamine K2.
La vitamine K2 est essentielle pour prévenir l'ostéoporose, les maladies cardiovasculaires et les maladies cérébrales, telles que la démence, et pour vous protéger contre de nombreux types de cancers, tels que le cancer de la prostate, du poumon, du foie, et la leucémie. La vitamine K agit en synergie avec la vitamine D pour vous maintenir en bonne santé.
La vitamine K est parfois qualifiée de « vitamine oubliée » car ses importants bienfaits sont souvent méconnus. Son nom a pour origine le mot « coagulation » (« koagulation » en Allemand), et fait référence à son rôle essentiel dans la coagulation sanguine.
La nattokinase - une enzyme dérivée du nato - est d'ailleurs plus sûre et plus puissante que l'aspirine pour dissoudre les caillots sanguins, et elle est utilisée depuis plus de 20 ans en toute sécurité.
Si vous aimez le nato, ou d'autres aliments à base de soja fermenté, sachez qu’ils peuvent vous apporter plusieurs milligrammes de vitamine K2 chaque jour (cette quantité excède de loin même les quantités de vitamine K2 présentes dans les légumes vert foncé). Malheureusement, de nombreuses personnes n’apprécient pas le goût des aliments à base de soja fermenté, et se privent ainsi de leurs bienfaits.
Si vous ne souhaitez pas manger de nato pour obtenir votre dose de vitamine K2, la meilleure autre solution est de prendre un supplément de vitamine K2 (MK-7). Souvenez-vous que la vitamine K doit être prise avec une source de matière grasse afin d’être correctement absorbée. Je conseille aux adultes une dose d’environ 150 mcg de vitamine K2 par jour.
Conseils pour reconnaître les aliments à base de soja, qu’il faut éviter
Le principe de base dont il faut se souvenir, c’est qu’à moins que le soja soit fermenté (tempeh, miso, nato ou sauce soja traditionnelle), il vaut mieux s’en passer.
Voici certains des aliments à base de soja qu’il faut éviter :
- Le tofu
- Les PVT (Protéines végétales texturisées) ou isolats de protéines de soja, qui contiennent d'importantes quantités de msg, qu'il faut absolument éviter :
- L’huile de soja
- Le lait de soja
- Le fromage de soja, la crème glacée et les yaourts au soja
- La « viande » de soja (des produits sans viande préparés à base de PVT)
- Les protéines de soja
- Les edamames
- Les laits maternisés au soja
Le meilleur moyen d'éliminer le soja non fermenté de votre alimentation est d'éviter tous les aliments transformés, d'acheter plutôt des aliments entiers et de les cuisiner vous-même. Si vous achetez malgré tout des aliments emballés, lisez bien les étiquettes pour voir s'ils contiennent du soja.
La loi sur la protection des consommateurs et sur le marquage des allergènes alimentaires, qui est entrée en vigueur aux États-Unis en janvier 2006, exige que les fabricants de produits alimentaires mentionnent la présence de soja sur les étiquettes, car il s'agit de l’un des huit plus importants allergènes alimentaires.
Si le soja se cache sous forme de colorants, d’arômes, ou de mélanges d'épices ajoutés aux aliments, il doit donc clairement apparaître sur les listes d'ingrédients.