Ave Maria - G.Caccini

LES CONSEILLEURS NE SONT PAS LES PAYEURS .....!!! QUE CEUX QUI ONT DES OREILLES ......!!!!!


 RUSSIE UKRAINE 


1 ère question .

Si les rôles étaient inversés !! Si à la place de l’Ukraine ..c’était la France et son président !! Si à la place de la Pologne ou de la Roumanie etc….etc… , c’était l’Angleterre , ou l’Allemagne …ou la Belgique….ou la Suisse …..Si donc à la place de tous ceux qui sont frontaliers à la RUSSIE en ce moment même …Si c’était ceux qui à l’heure actuelle sont loins de ces frontières ….même l’oncle Sham muel !!! EN SERAIT IL DE MÊME !!!???

Question que devrait également se poser les pays limitrophes…de la RUSSIE !!!???

Car il y a une grande différence …entre envoyer des armes …à des peuples qui vont se battre À NOTRE PLACE !!!

Et être nous mêmes au milieu des tirs et des bombardements !!!

En boxe …ce n’est pas l’entraineur …qui prend les coups ….mais c’est à lui que revient la gloire …si son poulain gagne !!!

Il a beau donner les meilleurs conseils ….quand l’adversaire est de taille ….faut savoir frapper au bon moment !!!! Et ce qu’il faut surtout ….C’EST LE LAISSER AU SOL….!!!!!

Le perdant qui s’est retrouvé au sol ….grâce à l’effet de surprise ….ne s’avouera jamais vaincu …il attendra le bon moment …pour prendre sa revanche !!!

Ce qui nous emmène à la 

2ème question 

De nouvelles négociations ( après celles , et à cause desquelles POUTINE a pris la décision de se défendre …et non pas d’attaquer)….!!

De nouvelles négociations changeraient elles quelque chose …ou comme le boxeur qui attend d’être compter 8 pour se relever , serviraient elles à se préparer à la contre attaque !!????

Est ce que POUTINE aurait gain de cause ..sur ce qu’il demande depuis des années …et est ce qu’il serait libre de pouvoir circuler sans se méfier , d’un éventuel « ACCIDENT » !!!????

Donc …est ce que POUTINE est  la personne à abattre !!????


L'OMS signe un contrat avec Deutsche Telekom pour la création d'un certificat vaccinal numérique mondial

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Alors que le monde se concentre sur le conflit russo-ukrainien, l'OMS s'est discrètement associée à Deutsche Telekom pour développer un certificat numérique mondial COVID-19.

Le contrat entre l'agence mondiale de la santé et la société de télécommunications vise à utiliser un logiciel basé sur un code QR pour afficher les preuves de vaccination partout dans le monde.

En plus des injections expérimentales de COVID-19, l'application inclura d'autres vaccinations que l'OMS juge nécessaires pour la population mondiale.

Le partenariat public-privé entend construire l'infrastructure numérique pour obliger les citoyens à « montrer leurs papiers » partout sur la planète.

Une autre «théorie du complot» confirmée pour ceux qui ont mis en garde contre les pass de vaccins numériques au cours des deux dernières années.

Reuters a rapporté :

L'Organisation mondiale de la santé a signé un contrat avec T-Systems, filiale de Deutsche Telekom (DTEGn.DE), pour créer une solution logicielle de vérification électronique mondiale des certificats de coronavirus, a indiqué la société de télécommunications.

La solution logicielle basée sur le code QR sera également utilisée pour d'autres vaccinations, telles que la poliomyélite ou la fièvre jaune, a déclaré T-Systems dans un communiqué mercredi, ajoutant que l'OMS soutiendrait ses 194 États membres dans la mise en place d'une technologie de vérification nationale et régionale. .

Les détails financiers de la transaction n'ont pas été divulgués.

« La santé est un domaine de croissance stratégique pour T-Systems », a déclaré Adel Al-Saleh, PDG de T-Systems.

T-Systems a précédemment travaillé avec SAP (SAPG.DE) pour développer l'application allemande de traçage et de vérification Corona-Warn-App et un système de vérification numérique des vaccins COVID-19 à l'échelle européenne.

Les Américains ont également travaillé sur un laissez-passer national pour les vaccins, qui s'est déployé dans environ la moitié du pays :

Source

Plan écrit à l'avance....

Le Grenier de l’éco : Charles Sannat

De quel droit ? On a consulté les députés ? Un vote a eu lieu ???

Ils utilisent les Big Tech pour vous censurer, ils utilisent l'État profond pour vous espionner, ils utilisent les agences de renseignement pour vous piéger, ils utilisent les médias pour vous calomnier, ils utilisent leur système pour vous persécuter, ils truquent les élections, ils ruinent vos vies et en même temps ils prétendent que ce sont eux qui défendent la démocratie et la justice. C'est tout un tas de conneries !

Quand les Américains, les Anglais ont tué des dizaines de milliers d'Irakiens, sous de faux prétexte, en ne s'excusant jamais, a-t-on demandé le gel des avoirs bancaires de Bush & Co ? A-ton interdit l'espace aérien aux USA ? A-t-on équipé d'armes les Irakiens ? Expliquez moi la différence ?

Voici les néo-nazis d'Azov auxquels Facebook permet de faire des éloges.

Tulsi Gabbard est membre du Parti Démocrate US. Elle a siégé à la chambre des représentants de 2013 à 2021. Ecoutez ce qu'elle dit sur le Président Ukrainien que le monde découvre et adule ! Et c'est pour ce type que vous voulez prendre les armes ?

Toujours intéressant d'entendre ce que disaient "nos" Politiques AVANT. Ici Zemmour 20 jours avant. Difficile déjà de tenir un raisonnement devant des journalistes conditionnés. Poutine n'avait encore rien fait, et ils n'avaient jamais dénoncé les bombardement du gouvernement Ukrainien sur son propre peuple !

Le président Ukrainien Zelinsky qui danse en cuir et talons aiguilles. 🧐 Décidément, entre Macron Trudeau et Zelensky, les dirigeants mondialistes, c’est tout un programme !

JE VOUS SALUE MARIE ...PLEINE DE GRÂCE .....LE SEIGNEUR......POUR CEUX QUI NE CONNAISSENT PAS CETTE PRIÈRE ...C'EST LE MOMENT ......!!!!!!!!!!


 

Pour ceux qui ne savent pas qui est Zelensky, le jeune président de l’Ukraine qui sollicite depuis son bunker des renforts militaires internationaux toutes les cinq mins, sachez que c’est un saltimbanque qui jouait du piano avec sa bite. La même crédibilité que Ariane du Lancet🤣

Protocoles de Toronto


 

le document concernant les protocoles de Toronto qui concerne le texte publié au dessus.

ARMES BIOLOGIQUES ...!!???? NOTRE ARGENT (PUBLIC) SERT IL À DÉVELOPPER DES ARMES BIOLOGIQUES EN UKRAINE ...QUE CEUX QUI ONT DES OREILLES ......!!!!

 

Ukraine. La Russie détruit des labos-bunkers d'armes biologiques

Dans Ukraine. Les Russes vont découvrir l'énorme complexe de laboratoires américains d'armes biologiques, nous avons annoncé que le Pentagone, exploite plusieurs laboratoires d'armes biologiques en Ukraine. Confirmant les nombreuses rumeurs qui ont circulé ces jours-ci via les chaînes Telegram telles que Simon Parkes, le site de renseignement militaire Real Raw News a publié il y a quelques minutes que Poutine a appelé Donald Trump à plusieurs reprises depuis le début de l'invasion, pour lui communiquer les détails du déroulement d'opérations.

Avant hier, jeudi, il lui a dit -toujours selon Real Raw News- que ses troupes avaient déjà détruit 13 laboratoires d'armes biologiques dans toute l'Ukraine, dont certains souterrains, c'est pourquoi ils ont dû procéder à plusieurs explosions pour les considérer comme détruits. Poutine a des informations selon lesquelles l'Institut américain de la santé, l'Institut français de la santé et le Centre allemand de recherche sur les maladies infectieuses ont versé des milliards des contribuables de ces pays à l'Ukraine, pour développer des armes biologiques, et que le président Zelensky lui-même a participé à des pots-de-vin. Poutine a promis de montrer la preuve de ce qu'il dit en temps voulu. ( mercredi un député ukrainien a accusé le président Zelensky d'avoir un compte millionnaire dans le paradis fiscal du Costa Rica, ce qui convient parfaitement).
Poutine a déclaré à Trump qu'il avertissait Zelensky depuis février 2020 que s'il ne démantelait pas ces laboratoires, il le ferait lui-même, donc lui seul est responsable de ce qui se passe.
Certains d'entre vous ont sûrement lu qu'hier, l'armée russe a pris une petite île appartenant à l'Ukraine dans la mer Noire, appelée Snake Island. Eh bien, selon les informations de Poutine recueillies par Real Raw News, sur cette île, le Mossad israélien développait une arme biologique dévastatrice qui se propagerait dans l'air (par des chemtrails, bien sûr), qui tuerait 100 % des personnes touchées. 
Après avoir vérifié que les habitants de l'île ne voulaient pas abandonner l'île/laboratoire qu'ils gardaient, le navire Slava a commencé un bombardement de l'île qui a anéanti tous les gardiens.
D'après la chronique, il apparaît que la marine russe a utilisé des armes thermiques, puisque Poutine a déclaré à Trump qu'ils avaient vérifié que les armes biologiques avaient été complètement détruites.  Enfin, Poutine assure qu'ils ne tirent que sur des cibles militaires et, en fait, aucun immeuble résidentiel n'a été touché à Kiev et le courant n'a même pas été coupé.
aucun bâtiment civil n'a été touché.
Aucune structure médicale, seuls des militaires ukrainiens, français anglais et américains sont décédés et les 13 labos ont été détruits."

Les biolabs secrets américains en  Ukraine et en Géorgie

LUI FAUT IL UN MORCEAU DE PAPIER .....POUR CONNAÎTRE CE QUE SEUL LE COEUR PEUT EXPRIMER !!????


 CE QUI N'EST PAS EXPRIMER PAR LE COEUR...C'EST LE MAL LUI MÊME QUI EN EST L'AUTEUR !!!!

BERGOG QUI NE MONTRE AUCUNE COMPASSION ,...POUR CE QUI SE PASSE à L'HEURE ACTUELLE !!! SE SENT IL SEULEMENT CONCERNÉ PAR CE QUI SE PASSE DANS CE MONDE !!!! QUE CELUI QUI A DES YEUX ET DES OREILLES .....LES DÉTOURNE DE CE FAUSSAIRE QUI N'A PLUS RIEN à FAIRE ...SUR LE SIÈGE DE PIERRE .....!!!!

EST CE QUE LES DÉS SONT JETÉS......!!!?????


 SI LES OCCIDENTAUX AVAIENT LES ARMES POUR COMBATTRE ET BATTRE L'OURS ...AURAIENT ILS ATTENDUS JUSQU'À AUJOURD'HUI....!!??? 

Énorme malaise sur LCI. Interview d'une Ukrainienne, ils pensaient qu'elle allait taper sur Poutine.

Ils sont forts les merdias…

  Il y a 50 ans, à Saint-Pétersbourg, la rue m’a appris une règle : 

si la bagarre est inévitable, il faut frapper le premier. V. Poutine


 

Le jour où la patience de la Russie a pris fin

 La date d’aujourd’hui, communément écrite 22.02.2022, sera facile à retenir pour les futurs écoliers. Diverses personnes s’en souviendront de diverses manières. Les habitants de Donetsk et de Lougansk, les deux villes anciennement ukrainiennes, aujourd’hui redevenues russes, qui ont été soumises à des conditions proches du génocide depuis le renversement du gouvernement par les États-Unis en 2014, se souviendront d’avoir dansé dans les rues avec jubilation, tiré de nombreux feux d’artifice, brandi des drapeaux russes et hurlé l’hymne national russe. Pour eux, c’est le jour où est arrivé un nouvel espoir que leur cauchemar qui dure depuis huit ans sera bientôt terminé et que la vie reviendra enfin à la normale.

Russian-Ukraine Crisis: Putin Recognizes Independence Of Luhansk And Donetsk

Le nouveau chancelier allemand, mal informé, a involontairement contribué à cette situation en déclarant que l’idée d’un génocide causé par les Ukrainiens dans le Donbass est ridicule. Compte tenu de l’histoire de la région, le spectacle public d’un dirigeant allemand utilisant les mots « génocide » et « ridicule » dans la même phrase a rendu ce moment riche en possibilités. Voici l’information qui manquait à ce chancelier, apparemment assez faible d’esprit. Il y a eu 9 282 morts du côté du Donbass (dont 70 % de civils) et 114 enfants. Les morts du côté ukrainien (les troupes ukrainiennes et divers mercenaires assortis qui attaquaient et assiégeaient le Donbass depuis 2014) étaient au nombre de 20 186. Et ce, avant la reprise des bombardements ukrainiens de ces derniers jours. On comptait également plus de deux millions de réfugiés du Donbass en Russie, plus d’un million en Ukraine et environ 50 000 en Biélorussie.

La plupart des Russes se souviendront également de ce jour avec soulagement, car c’est le jour où leur gouvernement a enfin – enfin ! après huit années littéralement sanglantes – décidé qu’un règlement négocié en Ukraine n’aurait tout simplement jamais lieu et qu’il était inutile d’attendre davantage pour aller de l’avant et faire le ménage. C’était cathartique pour eux d’entendre leur président déverser un torrent de vérité sur l’Ukraine, la qualifiant de concoction bolcheviste de terres historiquement russes pour la plupart, qui n’a tout simplement jamais été destinée à devenir un État indépendant, soulignant qu’elle n’a jamais payé sa part de la dette extérieure de l’ère soviétique (la Russie l’a payée pour elle), qu’elle a refusé de remettre les actifs russes avec lesquels elle s’est incidemment retrouvée, et a plutôt absorbé plusieurs centaines de milliards de dollars de subventions russes, qu’elle a extorqué de l’argent pour l’utilisation de son gazoduc de construction soviétique qu’elle a obtenu gratuitement, et qu’elle a dilapidé et volé le reste de son vaste patrimoine soviétique. Il a également mentionné les ambitions déclarées de l’Ukraine de rejoindre l’OTAN et d’envahir la Crimée, ce qui déclencherait automatiquement une guerre mondiale. Il a mentionné l’ambition déclarée de l’Ukraine d’utiliser le plutonium provenant de ses stocks de combustible nucléaire usé et de ses fusées datant de l’époque soviétique pour concocter des armes de destruction massive – une situation à laquelle il fallait tout simplement faire face. Enfin, il a clairement indiqué que tous les crimes de guerre ukrainiens des huit dernières années ont été soigneusement documentés et que tous ces criminels de guerre seront traduits en justice.

Ce discours est intervenu peu de temps après une session télévisée du Conseil de sécurité russe au cours de laquelle tous les principaux ministres ont pris la parole et se sont tous prononcés en faveur de la reconnaissance des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk. Le Premier ministre Mishustin a déclaré qu’ils se préparaient depuis un certain temps aux inévitables retombées et qu’ils y étaient prêts, alors faisons-le. Le ministre des affaires étrangères, Sergei Lavrov, interrogé sur l’opportunité de poursuivre les négociations avec l’Occident au sujet de l’Ukraine, a répondu que c’était « une question de goût », mais que rien n’en sortirait jamais. Et le ministre de la défense Shoigu a simplement dit, très calmement : « Allons-y. Faisons-le. » La réponse à la question de savoir pourquoi la Russie a attendu si longtemps pour prendre cette mesure est qu’elle n’était pas prête : l’économie russe n’avait pas encore été blindée contre toutes les sanctions possibles ; toutes les méthodes diplomatiques pour résoudre le problème n’avaient pas été essayées ; et l’armée n’était pas tout à fait prête à gérer la situation rapidement et efficacement.

Puis vint la cérémonie de signature, au cours de laquelle Vladimir Poutine, Denis Pushilin de la République populaire de Donetsk et Leonid Pasechnik de la République populaire de Lougansk ont signé les documents leur accordant la reconnaissance. Dans ces ordres d’une page figurait un ordre de Poutine à l’armée russe de pourvoir à l’établissement de la paix. Une question très intéressante se pose quant aux frontières dans lesquelles cette paix sera établie. Voyez-vous, après le renversement anticonstitutionnel du gouvernement démocratiquement élu à Kiev en 2014, Donetsk et Lougansk ont fait sécession en tant que régions intactes. Plus tard, au cours de l’« opération anti-terroriste » de Kiev (le préfixe « anti-«  étant ici plutôt superflu), ces régions en sont venues à être partiellement occupées par les forces ukrainiennes. Il semble absurde d’imaginer que la Russie, en reconnaissant l’indépendance et la souveraineté de Donetsk et de Lougansk, ait également reconnu l’occupation partielle de ces régions par l’Ukraine. Il est beaucoup plus probable que les forces russes demandent maintenant poliment aux forces ukrainiennes de quitter les lieux avant une certaine date limite ou, à défaut, d’être tuées ou capturées.

Enfin, les dirigeants occidentaux ne s’en rendront peut-être pas compte tout de suite (ils semblent être dans un état mental plutôt désastreux [1]), mais il est probable qu’ils finiront par réaliser que le 22.02.2022 a été le jour où leurs conneries ont définitivement cessé de fonctionner. L’idée qu’ils répandent la liberté et la démocratie plutôt que la mort et la misère (comme le prouve l’Ukraine, en plus d’une longue liste d’autres pays qu’ils ont « libérés » et « démocratisés ») est plus qu’absurde. L’idée que les États-Unis sont un hégémon mondial et qu’ils peuvent dicter leurs conditions à tout le monde a fondu comme neige au soleil.L’unité de l’OTAN n’est qu’un couple de mots sans signification sur un morceau de papier. Dire des bêtises, comme exiger que la Russie respecte les termes des accords de Minsk (selon lesquels elle n’a aucune obligation) n’a aucun effet. [2]
Il leur faudra peut-être un peu plus de temps pour se rendre compte qu’imposer des sanctions supplémentaires à la Russie est un excellent moyen pour eux de payer le pétrole 200 dollars le baril tout en se gelant dans le noir. À un moment donné, ils se rendront également compte qu’ils n’ont pas d’autre choix que d’accorder les garanties de sécurité exigées par la Russie, car ils l’ont déjà fait, en paroles et en actes, et qu’il n’est pas possible de se soustraire à leurs engagements en matière de sécurité. La courbe d’apprentissage sera assez abrupte pour eux et on peut se demander s’ils sont capables d’apprendre. La seule capacité qu’ils ont démontrée est celle de répéter la même litanie de mensonges, encore et encore. Ayant été élevés à dessein pour servir les intérêts des banques et des entreprises, ils ne sont peut-être pas capables du niveau requis de pensée rationnelle. Et cela soulève une autre question : Qu’est-ce que les peuples occidentaux vont faire à leur sujet ?

Titre d un média de presse….

En réalité.... Juste envie de vomir en fait mais des médias !

Ils ont tué beaucoup de Russes "Ukrainiens", et c'est ces milices que le Monde soutient ????

Poutine reparle des Nazis.

Là aussi les médias disent que Poutine a appelé l’armée à prendre le pouvoir. Non ! À protéger les civils !

Vaccins Janssen

Pour ceux qui veulent lire son enquête sur les gentils américains et leurs labos de la mort

Houlà cela bombarde de partout, tout est détruit dit-elle ! Pendant qu'une femme derrière elle, rentre paisiblement des courses.... LA HONTE !!! MÉDIAS DE LA HONTE !!!

Le Ministère Russe de la défense a déclaré : "Le service de sécurité de l'Ukraine prépare une mise en scène selon les plans bien connus des Casques blancs en Syrie. Des vidéos sont tournées dans les villes ukrainiennes avec des massacres présumés parmi la population civile ukrainienne."

Attention les médias bobos de gauche se déchaînent contre Poutine, alors que le seul responsable est ce type, le président Ukrainien qui a renié le droit à deux Provinces de son pays majoritairement RUSSES de se déclarer indépendantes et les a attaqué dans le silence assourdissant des médias mensongers.

🔴La République bolivarienne du Venezuela, à travers une déclaration, exprime sa préoccupation face à l'aggravation de la crise en Ukraine. De la même manière, elle regrette "la moquerie et la violation des accords de Minsk par l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN).

📢🔴🇲🇫 Romain Bressonnet, sur Sud Radio "On a laissé faire le régime de Kiev et on va le payer très cher..."

🔴 Nouveau soupçons sur la ''fabrication'' de la covid : Des scientifiques ont découvert un petit morceau d'ADN correspondant à la séquence brevetée par Moderna 3 ans avant le début de la pandémie.

🔴 Dominique de Villepin ferme le clapet à BHL sur le plateau de France 2.

SE DÉBARRASSER EFFICACEMENT DE SES OPPOSANTS !!!

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J’ai analysé quelques sources d’information et je peux offrir quelques réactions rapides à ce qui est en train de se passer. L’opération est plus importante que ce que j’avais prédit. Cependant, je ne crois toujours pas que la Russie veuille envahir l’Ukraine.

Voyons d’abord ce que la Russie a déjà fait en utilisant UNIQUEMENT SES ARMES D’ATTAQUE :

  • Les défenses aériennes ukrainiennes ont cessé d’exister.
  • L’armée de l’air ukrainienne a cessé d’exister.
  • La marine ukrainienne a cessé d’exister.
  • Le commandement et le contrôle ukrainiens sont gravement perturbés et de nombreux postes de commandement ont été détruits.
  • Plus un aérodrome militaire en Ukraine n’est opérationnel.
  • De nombreux dépôts de munitions, de pétrole et de lubrifiants ont été détruits.
  • La Russie contrôle tout l’espace aérien de l’Ukraine et toutes les eaux côtières de l’Ukraine, dans les mers Noire et d’Azov.

Ensuite, voyons ce que les forces de la LDNR et de la Russie font, apparemment, en ce moment :

  • Les forces de la LDNR ont percé les défenses Ukie en deux endroits et ont pénétré à 7-10 km derrière la Ligne de Front.
  • Ces forces ont avancé avec un appui-feu de la Russie.
  • Les forces ukies ont construit des fortifications pendant 8 ans, donc la progression contre le gros des forces terrestres ukies est lente. CEPENDANT :
  • Il semble que les Russes aient décidé d’encercler l’ensemble des forces ukrainiennes dans le Donbass par un mouvement en tenaille du nord au sud.

Je pense que la Russie va encercler l’ensemble des forces ukrainiennes le long de la Ligne de Front, puis attendre qu’elles se rendent, minimisant ainsi les pertes des deux côtés. En d’autres termes, les Russes tentent d’enfermer les Ukies dans un chaudron opérationnel et d’éliminer ces forces.

Deuxièmement, Poutine a clairement énoncé les objectifs russes : démilitariser et dénazifier l’Ukraine.

Le premier élément, le désarmement, est déjà bien avancé.

La dénazification implique une sorte de changement de régime. Des rapports font état de la présence de forces russes près de Kiev et je pense qu’une « chasse aux nazis » sera menée d’une manière ou d’une autre.

Il est intéressant de noter que les Russes ont totalement encerclé la ville de Kharkov, mais n’y ont pas (encore) pénétré. Cela est parfaitement logique sur le plan militaire, mais cela indique également, du moins c’est ce qu’il me semble, que la Russie veut éviter autant que possible de s’engager dans des opérations de combat offensif dans les grandes villes et veut également éviter de tuer des civils. Il ne faut pas oublier que les militaires qui ont pu prendre Grozny en 2000 peuvent *facilement* et *rapidement* prendre d’assaut n’importe quelle ville ukrainienne (ne serait-ce que parce que les Ukrainiens et les Tchétchènes sont presque totalement opposés en termes de capacités de combat).  Mais pourquoi se donner tant de mal ?

Lorsque cela sera possible, les Russes encercleront les villes ukrainiennes, les bloqueront et attendront que les drapeaux blancs apparaissent.

Je ne peux pas dire si c’est possible ou non, et ce qui se passera bientôt à Mariupol sera intéressant : cette fois, oui, la ville sera libérée, mais il sera intéressant de voir quelle résistance les forces de la LDNR/Russie rencontreront.

Au fait – quelqu’un connaît-il des webcams/géocams pour Mariupol ?

Conclusions intermédiaires :

En gros, ce 08.08.08 à une échelle beaucoup plus grande : entrer, désarmer, se retirer.

Mes suppositions (pas plus, il est bien trop tôt pour le dire !) sont les suivantes :

  • Les forces ukrainiennes le long de la Ligne de Front seront encerclées et neutralisées. Une fois cet objectif atteint, la plupart de la menace terrestre ukrainienne disparaîtra tout simplement. Les vrais nazis seront abattus, les autres désarmés et renvoyés chez eux. Leurs armes iront à la LDNR.
  • Les forces de la LDNR et de la Russie avanceront profondément à l’intérieur de l’Ukraine, mais seulement pour exécuter des missions spécifiques, après quoi elles seront retirées jusqu’à la frontière légale de la LDNR (avec quelques exceptions possibles pour des raisons spécifiques et locales).
  • Les dirigeants ukrainiens s’enfuiront et des scènes semblables à celles de Kaboul sont possibles.  Certains seront rattrapés.

Le régime nazi de Kiev sera remplacé par un autre régime qui acceptera un cessez-le-feu russe et l’ouverture de négociations directes avec la LDNR et la Russie. Finalement, un cessez-le-feu général sera proclamé.

Je continue de penser qu’une opération terrestre de l’OTAN (polonaise ?) dans les régions de Lvov et d’Ivano-Frankovsk est probable. Officiellement pour « protéger nos alliés et amis » mais en réalité avec deux objectifs :

  • Sauver la face
  • Établir un mini-Banderastan sous contrôle polonais en Ukraine occidentale.
  • Nourrir la hyène de l’Europe

Le Kremlin peut penser autrement, mais cela ne me pose pas de problème tant qu’un régime semi-civilisé et semi-sain est mis au pouvoir à Kiev.

Il y aura des élections, bien sûr, que personne à l’Ouest ne reconnaîtra au départ. Mais ce n’est pas grave. Personne en Russie ne se soucie plus de l’oncle Shmuel ou de ses laquais européens.

Maintenant, Biden (je me suis forcé à l’écouter, encore une fois !) imite Obama et promet que des sanctions infernales paralyseront la Russie. Bernhard, de Moon of Alabama, a fait un commentaire intéressant aujourd’hui : « La bourse russe est en baisse mais l’or, le pétrole et le gaz sont en hausse et la Russie n’a jusqu’à présent perdu aucun argent ». Je suis sûr qu’il a raison.

Et, oui, à court ou moyen terme, les sanctions auront également des effets négatifs sur certains secteurs de l’économie russe. Toutefois, à moyen et à long terme, je pense que les coûts de l’énergie constitueront pour la Russie une véritable manne financière. Lors de la réunion du Conseil de Sécurité russe, Mishustin est apparu totalement détendu, concentré et calme.

En outre, comme je l’ai mentionné hier, la récente flambée des prix de l’énergie au cours du dernier mois a déjà remboursé à la Russie tout l’argent investi dans le NordStream2, et ce, AVANT les (inévitables) procès à venir contre l’Allemagne 

……….

Je reçois des e-mails de toutes sortes de sources concernant des villes ukrainiennes déjà libérées. Le problème est qu’il y a, comme prévu, BEAUCOUP de faux, y compris de la part d’intérêts russes anti-Poutine. Donc, plutôt que de risquer de me tromper et d’énumérer ces villes, je vais simplement faire quelques commentaires, puis faire une pause.

  1. Je m’attendais à une opération russe de niveau opérationnel, mais ce que je vois aujourd’hui est clairement une opération stratégique. C’est beaucoup plus important que ce à quoi je m’attendais.
  2. Nous en sommes aux toutes premières phases de l’opération, mais je vois tous les signes habituels d’un effondrement stratégique ukrainien.  Demain matin, nous devrions en savoir beaucoup plus.
  3. La première phase de frappe de l’opération a été extrêmement réussie et les forces terrestres ukrainiennes sont maintenant non seulement sans aucune sorte de couverture ou de soutien (l’armée de l’air et la marine ukrainiennes sont volatilisées aujourd’hui), mais elles sont également sans ordres : non seulement le QG ukrainien dans le Donbass a été totalement détruit, mais les Russes sont, sans aucun doute, en train de poser leur couverture de guerre électronique sur toute la zone d’opérations.
  4. Je pense que d’ici demain soir, l’enveloppement opérationnel des forces ukrainiennes dans l’est de l’Ukraine sera terminé. Après cela, il ne restera que deux types de soldats ukrainiens : ceux qui se sont rendus et ceux qui sont morts.
  5. Les Russes ont approché ou même encerclé plusieurs grandes villes ukrainiennes. Je ne vais pas les énumérer maintenant. Pourquoi ? Parce que d’ici demain, cette liste sera confirmée.
  6. La Biélorussie soutient pleinement la Russie (Lukashenko a été très catégorique à ce sujet aujourd’hui), tout comme l’Iran. Nos amis chinois ont été plutôt réservés et n’ont émis que des généralités bien intentionnées, voyons si cela change à l’avenir.
  7. Je soupçonne également que demain sera le dernier jour où les PSYOP américaines tenteront de contrôler le récit, après quoi il y aura trop de téléphones portables équipés de caméras pour dissimuler l’ampleur du désastre.
  8. Pour cette raison, je m’attends toujours à un faux drapeau majeur.
  9. Les Polonais et les Hongrois ont déclaré qu’ils craignaient un afflux massif de réfugiés et qu’ils déployaient donc davantage de forces à la frontière pour « contrôler la situation ». Ces forces pourraient être facilement et rapidement déplacées à l’intérieur de l’Ukraine occidentale pour s’emparer des régions de Lvov et d’Ivano-Frankovsk. Le meilleur de tout (pour eux) est qu’ils peuvent être pratiquement sûrs que les Russes ne s’y opposeront pas. Et comme toutes les installations de l’OTAN en Ukraine sont actuellement détruites, les Russes peuvent jeter cet os (essentiellement nazi) et lointain à qui le veut dans l’UE (les Hongrois sont probablement trop malins pour cela, mais les Polonais ? ??).  Quoi qu’il en soit, je m’attends à une opération mineure de l’OTAN dans l’ouest de l’Ukraine dans les deux prochains jours. Franchement, je m’en moque éperdument.
  10. Un autre risque MAJEUR est la présence en Ukraine de BEAUCOUP de très dangereuses infrastructures civiles (dont 15 réacteurs nucléaires qui fonctionnent à peine). Les Ukrainiens en ont déjà fait sauter au moins un (assez petit) près de Lugansk. J’espère que les forces spéciales russes et biélorusses sécuriseront ces installations dès que cela sera humainement possible.
  11. Ensuite : surveillez la flotte russe de la mer Noire. Quelque chose me dit que demain, nous la verrons BEAUCOUP et, probablement, tout le long de la côte ukrainienne.
  12. Enfin, et surtout. L’Irak a montré que c’est une chose de détruire une armée, et une autre de gérer une insurrection, même si elle n’est armée que d’armes légères et de RPG. Je reste catégoriquement opposé à toute occupation russe moyenne ou longue de l’Ukraine. Je suis convaincu que Poutine déclarera bientôt la fin des opérations de combat majeures (ne serait-ce que parce qu’il ne restera plus beaucoup d’ennemis) et que de nombreuses forces russes commenceront à se retirer. Mais le cauchemar d’avoir des centaines de milliers de fusils d’assaut distribués à « la population » mais qui, en réalité, ont armé ce que l’OTAN voudra considérer comme une « insurrection de l’arrière »va commencer. Et je veux que les Ukrainiens mènent cette bataille par eux-mêmes, avec un peu d’aide russe si nécessaire, mais pas en se cachant derrière les forces russes. Donc, BEAUCOUP de choses dépendent du peuple ukrainien : les jours à venir nous montreront qui et ce qu’ils sont. Il est temps pour eux de faire ce qu’il faut.

C’est tout. J’aimerais que nous ayons plus d’informations, mais ici nous devons nous arrêter et attendre.

Demain, nous en saurons BEAUCOUP plus.

Bonne nuit à tous

Andrei

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone

APRÈS AVOIR TOUT TENTÉ POUR ESSAYER D'ÉVITER LA GUERRE ....V.POUTINE SE SENT POUSSÉ ....À CE QUI PEUT ÊTRE ....L'IRRÉPARABLE !!! QUE CEUX QUI ONT DES OREILLES ....

 V. Poutine : Chers citoyens de Russie ! Chers amis !

Aujourd’hui, je pense qu’il est à nouveau nécessaire de revenir sur les événements tragiques qui se déroulent dans le Donbass et sur les questions essentielles pour assurer la sécurité de la Russie même.

Je commencerai par ce que j’ai dit dans mon discours du 21 février de cette année. Je parle de quelque chose qui nous préoccupe particulièrement, des menaces fondamentales qui, d’années en années, étape par étape, sont créées de manière flagrante et sans cérémonie, année après année, par des politiciens irresponsables de l’Ouest contre notre pays. Je fais référence à l’expansion du bloc de l’OTAN vers l’Est, qui rapproche son infrastructure militaire des frontières de la Russie.

Il est bien connu que, depuis 30 ans, nous essayons avec constance et patience de parvenir à un accord avec les principaux pays de l’OTAN sur les principes d’une sécurité égale et indivisible en Europe. En réponse à nos propositions, nous nous sommes constamment heurtés soit à des tromperies et à des mensonges cyniques, soit à des tentatives de pression et de chantage, alors que dans le même temps, l’Alliance de l’Atlantique Nord, malgré toutes nos protestations et nos préoccupations, ne cesse de s’étendre. La machine de guerre est en marche et, je le répète, s’approche au plus près de nos frontières.

Pourquoi tout cela arrive-t-il ? Pourquoi cette façon insolente de [nous] parler depuis une position d’exclusivité, d’infaillibilité et de permissivité ? D’où vient cette attitude indifférente et dédaigneuse à l’égard de nos intérêts et de nos demandes parfaitement légitimes ?

La réponse est claire, [pour nous] tout est clair et évident. L’Union soviétique s’est affaiblie à la fin des années 1980 avant de s’effondrer complètement. Toute la suite des événements qui se sont alors déroulés est aujourd’hui une bonne leçon pour nous ; elle a montré de manière convaincante que la paralysie du pouvoir et de la volonté est le premier pas vers une dégradation total et une disparition complète. Il a suffi que nous perdions un temps notre confiance, et voilà le résultat, l’équilibre des forces dans le monde a été rompu.

Cela a conduit au fait que les traités et les accords précédents, ne sont plus dans les faits appliqués. Les tentatives de persuasion et les demandes ne servent à rien. Tout ce qui ne convient pas aux Puissants, à ceux qui ont le pouvoir, est déclaré archaïque, obsolète et inutile. Et vice versa : tout ce qui leur semble avantageux est présenté comme la vérité ultime, à faire passer à tout prix, sans ménagement, par tous les moyens. Les contradicteurs sont brisés.

Ce dont je parle maintenant ne concerne pas seulement la Russie, et ces préoccupations ne sont pas seulement les nôtres. Cela concerne l’ensemble du système des relations internationales, et parfois même les alliés des États-Unis eux-mêmes. Après l’effondrement de l’URSS, une redistribution du monde a effectivement commencé, et les normes établies du droit international – et les principales, fondamentales – adoptées à la fin de la Seconde Guerre mondiale et ont largement consolidé ses résultats – ont commencé à gêner ceux qui se sont déclarés vainqueurs de la guerre froide.

Bien sûr, dans la vie pratique, dans les relations internationales et dans les règles qui les régissent, il faut tenir compte des changements de la situation mondiale et de l’équilibre des forces. Toutefois, cela devait être fait de manière professionnelle, sans heurts, avec patience, en tenant compte et en respectant les intérêts de tous les pays et en comprenant sa propre responsabilité.

Mais non – un état d’euphorie né de leur supériorité absolue, une sorte d’absolutisme moderne, qui plus est, sur fond de faible niveau de culture générale et d’arrogance de ceux qui ont préparé, adopté et fait passer les décisions qui n’étaient profitables que pour eux-mêmes. La situation a commencé à évoluer d’une manière différente.

Il n’est pas nécessaire d’aller bien loin pour trouver des exemples. Premièrement, sans aucune autorisation du Conseil de sécurité des Nations unies, ils ont mené une opération militaire sanglante contre Belgrade, en utilisant des avions et des missiles en plein cœur de l’Europe. Plusieurs semaines de bombardements continus ont été effectués sur des villes et des infrastructures indispensables à la vie. Nous devons rappeler ces faits, car certains collègues occidentaux n’aiment pas se souvenir de ces événements, et lorsque nous en parlons, ils préfèrent pointer du doigt non pas les normes du droit international, mais des circonstances, qu’ils interprètent comme bon leur semble.

Puis vint le tour de l’Irak, de la Libye et de la Syrie. Le recours illégitime à la force militaire contre la Libye et la perversion de toutes les décisions du Conseil de sécurité des Nations unies sur la question libyenne ont conduit à la destruction totale de l’État [libyen], à la création d’un immense foyer de terrorisme international et à la plongée du pays dans un désastre humanitaire et dans l’abîme d’une longue guerre civile qui se poursuit encore. La tragédie qui a condamné des centaines de milliers, des millions de personnes non seulement en Libye, mais dans toute la région, a créé une migration massive de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient vers l’Europe.

Un sort similaire était réservé à la Syrie. L’action militaire de la coalition occidentale dans ce pays, sans le consentement du gouvernement syrien et sans l’autorisation du Conseil de sécurité des Nations unies, n’est rien d’autre qu’une agression, une intervention.

Mais l’invasion de l’Irak occupe également une place de choix dans cette liste, bien entendu sans aucune base juridique. Le prétexte était que les États-Unis disposaient prétendument d’informations fiables sur la présence d’armes de destruction massive en Irak. Pour le prouver publiquement, devant le monde entier, le secrétaire d’État américain a secoué un genre de tube contenant une poudre blanche, assurant à tout le monde qu’il s’agissait d’une arme chimique développée en Irak. Et puis il s’est avéré que c’était une manipulation, du bluff : il n’y avait pas d’armes chimiques en Irak. Incroyable, étonnant, mais les faits restent les faits. Des mensonges ont été proférés au plus haut niveau de l’État et du haut de la tribune de l’ONU. Le résultat a été d’énormes pertes humaines, des destructions et une incroyable poussée de terrorisme.

D’une manière générale, il semble que presque partout, dans de nombreuses régions du monde, là où l’Occident vient établir son ordre, il y laisse des blessures sanglantes, non cicatrisantes, les plaies du terrorisme international et de l’extrémisme. Tous les exemples ci-dessus sont les plus flagrants, mais loin d’être les seuls exemples de mépris du droit international.

Cela inclut la promesse faite à notre pays de ne pas étendre l’OTAN d’un pouce vers l’Est. Une fois encore, ils nous ont trompé ou, dans le langage populaire, tout simplement arnaqué. Oui, on entend souvent dire que la politique est un sale métier. Peut-être, mais pas aussi sale que cela, pas à ce point quand même. Après tout, un tel comportement de pipeur de dés est non seulement contraire aux principes des relations internationales, mais surtout aux normes de moralité et d’éthique généralement acceptées. Où sont la justice et la vérité ici ? Rien que des mensonges et de l’hypocrisie.

D’ailleurs, les politiciens, les analystes politiques et les journalistes américains eux-mêmes écrivent et disent que ces dernières années qu’un véritable « Empire du mensonge » a été créé aux des États-Unis. Il est difficile de ne pas être d’accord avec cela – c’est vrai. Mais, disons-le : les États-Unis restent quand même un grand pays, une puissance à la base d’un système.

Tous ses satellites ne se contentent pas de l’approuver docilement, d’acquiescer, de reprendre en cœur [ses positions] à chaque occasion, mais aussi de copier son comportement et acceptent avec enthousiasme les règles qu’ils leur proposent. Avec raison, on peut dire avec certitude que l’ensemble du soi-disant bloc occidental, formé par les États-Unis à son image et à sa ressemblance, est ce même « Empire du mensonge ».

Quant à notre pays, après l’effondrement de l’URSS, malgré l’ouverture sans précédent de la nouvelle Russie moderne et sa volonté de travailler honnêtement avec les États-Unis et d’autres partenaires occidentaux, dans des conditions de désarmement réellement unilatéral, ils [l’Ouest] ont immédiatement essayé de nous enfoncer, de nous achever et de nous détruire pour de bon. C’est exactement ce qui s’est passé dans les années 90 et au début des années 2000, lorsque le soi-disant Occident collectif a soutenu activement le séparatisme et les bandes de mercenaires dans le sud de la Russie. Quels sacrifices et quelles pertes cela nous a coûté, quelles épreuves nous avons dû traverser avant de pouvoir enfin de définitivement briser les reins du terrorisme international dans le Caucase. Nous nous en souvenons et ne l’oublierons jamais.

En fait, jusqu’à récemment, les tentatives de nous utiliser dans leurs intérêts, de détruire nos valeurs traditionnelles et de nous imposer leurs pseudo-valeurs, qui nous rongeraient, nous, notre peuple, de l’intérieur n’ont pas cessé. Ces attitudes ils les imposent déjà agressivement dans leurs pays et elles mènent directement à la dégradation et à la dégénérescence, car elles sont contraires à la nature humaine elle-même. Cela n’arrivera pas [ici], cela n’a jamais marché pour personne. Cela ne marchera pas non plus maintenant.

En dépit de tout cela, en décembre 2021, nous avons tenté une nouvelle fois de parvenir à un accord avec les États-Unis et leurs alliés sur les principes de la sécurité en Europe et au non-élargissement de l’OTAN. Tout a été en vain. La position des États-Unis n’a pas changé. Ils ne considèrent pas qu’il est nécessaire de parvenir à un accord avec la Russie sur cette question essentielle pour nous, ils poursuivent leurs propres objectifs et ne tiennent aucun compte de nos intérêts.

Et bien sûr, dans cette situation, nous nous posons la question : que faire ensuite, à quoi s’attendre ? L’histoire nous apprend qu’en 1940 et au début de 1941, l’Union soviétique a tenté d’empêcher ou, du moins, de retarder le déclenchement de la guerre. Pour ce faire, il faut notamment essayer littéralement jusqu’à la dernière minute de ne pas provoquer un agresseur potentiel, ne pas prendre voir de reporter les mesures les plus nécessaires et les plus évidentes pour se préparer à repousser une attaque inévitable. Et les mesures qui ont finalement été prises étaient désastreusement tardives.

En conséquence, le pays n’était pas préparé à faire face à l’invasion de l’Allemagne nazie, qui a attaqué notre Patrie sans déclaration de guerre le 22 juin 1941. L’ennemi a été arrêté puis écrasé, mais à un coût colossal. La tentative de plaire à l’agresseur à la veille de la Grande Guerre patriotique a été une erreur qui a coûté cher à notre peuple. Au cours des premiers mois de combat, nous avons perdu de vastes territoires stratégiquement importants et des millions de personnes. Nous ne ferons pas une telle erreur une deuxième fois, nous n’en avons pas le droit.

Ceux qui aspirent à la domination du monde déclarent publiquement, en toute impunité et, je le souligne, sans aucune justification, que nous, la Russie, sommes leur ennemi. En effet, ils disposent aujourd’hui d’importantes capacités financières, scientifiques, technologiques et militaires. Nous en sommes conscients et évaluons objectivement les menaces qui sonnent constamment à notre adresse dans le domaine de l’économie, ainsi que notre capacité à résister à ce chantage impudent et permanent. Je le répète, nous les évaluons sans illusions et de manière extrêmement réaliste.

Dans le domaine militaire, la Russie moderne, même après l’effondrement de l’URSS et la perte d’une grande partie de son potentiel, est aujourd’hui l’une des puissances nucléaires les plus importantes du monde et dispose en outre d’avantages certains dans un certain nombre d’armements de pointe. À cet égard, personne ne doit douter qu’une attaque directe contre notre pays entraînerait une défaite et des conséquences désastreuses pour tout agresseur potentiel.

Cependant, la technologie, y compris celle de la défense, évolue rapidement. Le leadership dans ce domaine a changé et changera de mains [souvent]. Mais l’aménagement militaire des territoires adjacents à nos frontières, si nous le permettons, se poursuivra durant des décennies, peut-être même pour toujours, et constituera une menace toujours plus grande et totalement inacceptable pour la Russie.

Aujourd’hui déjà, alors que l’OTAN s’étend vers l’Est, la situation de notre pays empire et devient chaque année plus dangereuse. De plus, ces derniers jours, les dirigeants de l’OTAN ont explicitement parlé de la nécessité d’accélérer, de forcer l’infrastructure de l’alliance jusqu’aux frontières de la Russie. En d’autres termes, ils renforcent leur position. Nous ne pouvons plus nous contenter de regarder ce qui se passe. Ce serait complètement irresponsable de notre part.

La poursuite de l’expansion de l’infrastructure de l’Alliance de l’Atlantique Nord et l’aménagement militaire du territoire de l’Ukraine sont inacceptables pour nous. Le problème, bien sûr, n’est pas l’organisation de l’OTAN elle-même – elle n’est qu’un instrument de la politique étrangère américaine. Le problème, c’est que sur les territoires qui nous sont adjacents – je tiens à le préciser, nos territoires historiques – se crée une « anti-Russie » ennemie, placée sous un contrôle extérieur total, qui est intensivement colonisée par les forces armées des pays de l’OTAN et qui est gavée des armes les plus modernes.

Pour les États-Unis et leurs alliés, il s’agit d’une politique dite d’endiguement de la Russie, d’un dividende géopolitique évident. Pour notre pays, c’est en fin de compte une question de vie ou de mort, la question de notre avenir historique en tant que Nation. Et ce n’est pas une exagération – c’est tout simplement comme ça. Il s’agit d’une menace réelle, non seulement pour nos intérêts, mais aussi pour l’existence même de notre État, pour sa souveraineté. C’est la ligne rouge qui a été évoquée à plusieurs reprises. Ils l’ont franchi.

Dans ce contexte, [revenons sur] la situation à Donbass. Nous constatons que les forces qui ont réalisé un coup d’État en Ukraine en 2014, se sont emparées du pouvoir et l’ont conservé au moyen de procédures électorales essentiellement décoratives, ont définitivement refusé de résoudre le conflit de manière pacifique. Pendant huit ans, huit infiniment longues années, nous avons tout fait pour que la situation soit résolue par des moyens pacifiques et politiques. En vain.

Comme je l’ai dit dans mon allocution précédente, il est impossible de regarder ce qui se passe là-bas sans compassion. Il n’était tout simplement plus possible de le tolérer. Il faut arrêter immédiatement ce cauchemar – le génocide contre les millions de personnes vivant là-bas. Ceux-ci n’espèrent plus que [dans l’aide de] la Russie, ils n’espèrent plus qu’en vous et moi. Ce sont ces aspirations, ces sentiments et cette douleur des gens qui nous ont poussés à prendre la décision de reconnaître les Républiques populaires de Donbass.

Ce qu’il me semble important de souligner. Les principaux pays de l’OTAN, afin d’atteindre leurs propres objectifs, soutiennent en Ukraine les ultra-nationalistes et les néonazis, qui, à leur tour, ne pardonneront jamais aux habitants de Crimée et de Sébastopol leur libre choix de se réunifier à la Russie.

Ils [les ultra-nationalistes et les néonazis] tenterons, bien évidemment, de s’infiltrer en Crimée, comme ils l’ont fait dans le Donbass, pour y faire la guerre et tuer des gens sans défense.

Tout cela comme l’on fait bandes punitives des nationalistes ukrainiens, les supplétifs d’Hitler pendant la Grande Guerre patriotique. Ils déclarent aussi ouvertement qu’ils revendiquent un certain nombre d’autres territoires de la Russie.

L’ensemble du déroulement des événements et l’analyse des informations qui nous parviennent montrent que l’affrontement entre la Russie et ces forces est inévitable. Ce n’est qu’une question de temps : ils se préparent et attendent le moment opportun. Maintenant, ils revendiquent également la possession d’armes nucléaires. Nous ne permettrons pas que cela se produise.

Comme je l’ai dit précédemment, la Russie a accepté les nouvelles réalités géopolitiques après l’effondrement de l’URSS. Nous respectons et continuerons à respecter tous les pays nouvellement formés dans l’espace post-soviétique. Nous respectons et continuerons à respecter leur souveraineté, et un exemple de cela est l’aide que nous avons apportée au Kazakhstan, qui a été confronté à des événements tragiques et à des défis pour son statut d’État et son intégrité. Mais la Russie ne peut se sentir en sécurité, ne peut se développer, ne peut exister avec une menace constante émanant du territoire de l’actuelle Ukraine.

Permettez-moi de vous rappeler qu’en 2000-2005, nous avons riposté militairement aux terroristes dans le Caucase, défendu l’intégrité de notre État et préservé la Russie. En 2014, nous avons soutenu la population de Crimée et de Sébastopol. En 2015, nous avons utilisé nos forces armées pour mettre une barrière fiable aux infiltrations de terroristes depuis la Syrie vers la Russie. Il n’y avait pas d’autre moyen pour nous de nous défendre.

La même chose se produit maintenant. Vous et moi n’avons simplement pas eu d’autre possibilité de défendre la Russie, notre peuple, que celle que nous serons forcés d’utiliser aujourd’hui. Les circonstances nous obligent à agir de manière décisive et immédiate. Les Républiques populaires de Donbass ont demandé l’aide de la Russie.

À cet égard, conformément à l’article 51 de la partie 7 de la Charte des Nations unies, avec l’autorisation du Conseil de la Fédération de Russie et conformément aux traités d’amitié et d’assistance mutuelle avec les Républiques populaires de Donetsk et de Louhansk ratifiés par l’Assemblée fédérale le 22 février de cette année, j’ai pris la décision de mener une opération militaire spéciale.

Son but est de protéger les personnes qui ont été soumises à des abus, à un génocide par le régime de Kiev pendant huit ans. Et à cette fin, nous chercherons à démilitariser et à dénazifier l’Ukraine, à traduire en justice ceux qui ont commis de nombreux crimes sanglants contre des civils, y compris des citoyens de la Fédération de Russie.

Dans le même temps, nos plans n’incluent pas l’occupation de territoires ukrainiens. Nous n’avons pas l’intention d’imposer quoi que ce soit à qui que ce soit par la force. Dans le même temps, nous entendons de plus en plus souvent ces derniers temps à l’Ouest que les documents signés par le régime totalitaire soviétique, qui consacrent les résultats de la Seconde Guerre mondiale, ne devraient plus être appliqués. Quelle pourrait être la réponse à cette question ?

L’issue de la Seconde Guerre mondiale est sacrée, tout comme les sacrifices consentis par notre peuple sur l’autel de la victoire sur le nazisme. Mais cela ne contredit pas les hautes valeurs des droits de l’homme et des libertés, fondées sur les réalités des décennies d’après-guerre. Elle n’annule pas non plus le droit des nations à l’autodétermination consacré par l’article premier de la Charte des Nations unies.

Permettez-moi de vous rappeler que ni lors de la fondation de l’URSS ni après la Seconde Guerre mondiale, personne n’a jamais demandé aux habitants des territoires qui constituent l’actuelle Ukraine la manière dont ils voulaient organiser leur vie. Notre politique est fondée sur la liberté, la liberté de choix pour chacun de déterminer son propre avenir et celui de ses enfants. Et nous pensons qu’il est important que tous les peuples vivant sur le territoire de l’Ukraine actuelle, tous ceux qui le souhaitent, puissent exercer ce droit – le droit de choisir.

À cet égard, je lance également un appel aux citoyens de l’Ukraine. En 2014, la Russie avait l’obligation de protéger les habitants de Crimée et de Sébastopol contre ceux que vous appelez vous-même des « nazillons ». Les habitants de Crimée et de Sébastopol ont fait le choix d’être avec leur Patrie historique, avec la Russie, et nous l’avons soutenu. Encore une fois, nous ne pouvions tout simplement pas faire autrement.

Les événements d’aujourd’hui ne visent pas à porter atteinte aux intérêts de l’Ukraine et du peuple ukrainien. Il s’agit de protéger la Russie elle-même contre ceux qui ont pris l’Ukraine en otage et tentent de l’utiliser contre notre pays et son peuple.

Encore une fois, nos actions relèvent de l’autodéfense contre les menaces que l’on fait peser sur nous et contre une calamité encore plus grande que celle qui se produit aujourd’hui. Aussi difficile que cela soit, je vous demande de le comprendre et j’appelle à la coopération pour que nous puissions tourner cette page tragique le plus tôt possible et avancer ensemble, sans permettre à quiconque de s’immiscer dans nos affaires, dans nos relations, mais en les construisant de manière indépendante, afin de créer les conditions nécessaires pour surmonter tous les problèmes et, malgré les frontières étatiques, nous renforcer de l’intérieur en tant qu’entité unie. Je crois en cela – c’est notre avenir.

Je dois également m’adresser aux militaires des forces armées de l’Ukraine.

Chers camarades ! Vos pères, grands-pères, arrière-grands-pères ont à leur époque combattu les nazis, en défendant notre Patrie commune, ce n’est pas pour qu’aujourd’hui les néonazis prennent le pouvoir en Ukraine. Vous avez prêté serment au peuple ukrainien, et non à la junte antipopulaire, qui vole l’Ukraine et maltraite ce même peuple.

N’exécutez pas les ordres criminels [de cette junte]. Je vous appelle à déposer les armes immédiatement et à rentrer chez vous. Soyons clairs : tous les membres de l’armée ukrainienne qui se plieront à cette exigence pourront quitter la zone de guerre sans entrave et retourner auprès de leurs familles.

Permettez-moi d’insister une fois de plus : toute la responsabilité d’une éventuelle effusion de sang reposera entièrement sur la conscience du régime au pouvoir sur le territoire de l’Ukraine.

Maintenant, quelques mots importants, très importants pour ceux qui pourraient être tentés de l’extérieur d’interférer dans les événements qui se déroulent. Quiconque tente d’interférer avec nous, et encore moins de mettre en danger notre pays et notre peuple, doit savoir que la réponse de la Russie sera immédiate et vous conduira à des conséquences auxquelles vous n’avez jamais été confrontés dans votre histoire. Nous sommes prêts à faire face à tout développement d’événements. Toutes les décisions nécessaires ont été prises à cet égard. J’espère que je serai entendu.

Chers citoyens de Russie !

Le bien-être, l’existence même d’États et de peuples entiers, leur succès et leur viabilité trouvent toujours leur origine dans le puissant système de racines de leurs cultures et de leurs valeurs, dans l’expérience et les traditions de leurs ancêtres, et ils dépendent bien sûr de leur capacité à s’adapter rapidement à une vie en constante évolution, de la cohésion de la société, de sa volonté de se consolider, de rassembler toutes les forces pour aller de l’avant.

On a toujours besoin de forces – toujours – mais les forces peuvent être de différentes qualités. La politique de « l’Empire du mensonge » à laquelle j’ai fait référence au début de mon discours est basée avant tout sur la force brute et directe. Dans de tels cas, nous disons : « Vous avez la force, vous n’avez pas besoin d’intelligence ».

Mais vous et moi savons que la vraie force réside dans la justice et la vérité, qui sont de notre côté. Et si cela est vrai, alors il est difficile de ne pas convenir que la force et la volonté de combattre sont le fondement de l’indépendance et de la souveraineté, le fondement nécessaire sur lequel seul on peut construire son avenir, son foyer, sa famille, sa Patrie.

Chers compatriotes !

Je suis sûr que les soldats et les officiers des forces armées russes qui sont loyaux envers leur pays rempliront leur devoir avec professionnalisme et courage. Je ne doute pas que tous les niveaux de pouvoir et les spécialistes responsables de la stabilité de notre économie, du système financier et de la sphère sociale, ainsi que les dirigeants de nos entreprises et de l’ensemble du monde des affaires russe travailleront de manière harmonieuse et efficace. Je compte sur la position consolidée et patriotique de tous les partis parlementaires et des forces publiques.

Après tout, comme cela a toujours été le cas dans l’histoire, le destin de la Russie est entre les bonnes mains de notre peuple multiethnique. Cela signifie que les décisions que nous avons prises seront mises en œuvre, que nos objectifs seront atteints et que la sécurité de notre patrie sera garantie de manière fiable.

J’ai confiance en votre soutien et en la force invincible que nous donne l’amour de notre Patrie.

Texte original en russe : Site du Kremlin



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